
jÜ U L MU S . campestrls.
Ormt Commun.
Allemand'» Orme Commun, Ormeau » Ormille.
Anglais, Common ElmJ
Fleurit en Avril t>.
P e n t r a n d r le , D i g y n i e .
Ord, Nat* de L r N N é lui. Les S cabres»
C a r a c tè r e » G é n é r iq u e s . Calice 5-fide, Coroile nulle. CapCule (JSamara) comprimée,
membrane ufe.
C a r a c tè r e s S p é c i f iq u e s . (Selon Wi l l d .} Feuilles à bafe inégale, doublement ferrées. Fleurs
pélotonnées, presque fesfiles, à cinq étamines; fruits glabres.
Une fleur Séparément a; beaucoup grosfle b. Les fleurs font ramas fé e s dans des ombelles tr is
' f erre'es- Le calice est coloré et per fl fiant. U ovaire à deux fligmates c , le même grosfi d. Les
Jlyles font rougeâtres du côté intérieur. Les anthères font fillonnés , et d’ un pourpré fon d. Le
fru it est presque or bi cul.lire , é ch ancre' au fomm-t. On le voit, mais point parfaitement m ir ,
avec le calice perjiflant, à la fig. e . Le même, tout mûr f. La graine est enfermée au centre
du fruit. On la voit, mife à découvert, en g. La base inégale et oblique des feuilles fournit
un caractère particulier dans la plupart des espèces de ce genre ; - elles font plus longues du
côté intérieur et f cabres. Cet arbre fleurit, avant que les feuilles forent développées. C'est un
des plus grands arbres de la Hollande, qui atteint fouveht une hauteur de 70 pieds et au delà.
loiXf ri ,U 8, 6 I U s a S e M é d i c in a l . L’écorce intérieure de cet arbre est compofée de couches lamei-
mici!aPÎnU^fprUnJ ° U8T e 6t d’ -n g°Ut an,er et Elle' donne avec de l’eau une décoction très
-r ’ r C contient aussi beaucoup de tannin et un peu de fel commun. Le Docteur Lyson s
V° U 2*/ ' 204*') s’esc fervi avec lin &rand fuccès de ta décoction de cette écorce pour gué’ ir
:e" de la peau» rui'tout Ia *aIe invétérée;; laguérifon était lente mais fure., On doit choifir l’écorce
des arbres d’un moyen âge, et on doit la cueiller au printems.
i i Yst très uri 1 r°ao f "! ' q “ %' %=■ b° is est Pe t o t • ' d u r> ‘i ' * R l l , et réfifte longtems â la putréfaction.
L ,5 . - ' „ “ C‘ le dans la cccftruction des ponts et autres ouvrages hydroteehniques. Il approche en dureté du
noueux es? ; T l r°rt PeUt ’emPl05rer P°ur “ us ouvrages, qui exigent un bois dur. Le bols
charbons * P‘ f de et pIus d“rable- c’est encore un très bon combuliiblc, qui donne de bous
Mon G oh» 8» les pauvres en Norvège fe fervent du mucilage de cette écorce, préparé par la macépar
le bétail HR p‘T pct,rlr Ia fanne de ,«ralncs ™olns mûres ou gelées. -Les jeunes feuilles font mangées
par le bétail, et on peut meme en nourrir les vers à foie en cas de befbin, lorsque les feuilles du mûrier
manquent; mats les lieu,s font nuilibles aux abeilles, CE H a h A a T, cité par G a t TeT u o Tf) L es
o i s e a u x a iment b eaucoup l a g r a in e ; c ’ e st d onc fans r a i fo n , q u e H o u t t o i » e u é ton né de la 'o r o r „
Û Û Y t rY ^ V e 7 f p '^ ,’atUre Wr0,tM™'r P;°dUl' H “ Bra”de 1 uantltlS Je fontenoes!que très rarement l’endroit convenable, oïl elles puisfent germer, et qui, par consé quqeuni t ne mtrroauisvleenntt
d t ' s - S r ’ o '" “ B e" eS f0nt d’une Brand,i utllité > P“ ‘siu ’ ^ fervent à la nourriture
, P Jble” ,P'an,ter arbre fur les bards d« Pairies, car U ne nuit point à l’herbe
a tO Z JH L manière de guérir les tumeurs et les crevasfes de cet arbre, fe
Vaagazyn van Landbouw, Deel //, blz» 29a. enz. trouve décrite dans le