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^toire que c’éft un ;)puçur d'inftruraens,. Mais d’autres inftrumens qii’oii W t
fur la bafe, une Polairef.-trois boëtes si une aucrépiece de bois, donnent lieu
de-croire qu’il etoit plutôt failèur, que joueur d’inftrumens. La femme ëftre-
prçfèntée debout à côté du mari, elle porte au-deffus de fctunique un grand
peple qui luiÿouvre la tête, & dont elKs’enveloppe» Il y a encre lafètanoe de
fhomme une petite fille, & de l’autre côté du mari deux plus petits garçpns.
Ôn (udiroit d’abordjque ce font leurs enfans, fi l'on neroit accoutume dé Voir
toujours dans .ces monument Grecs de petits enfans auprès de ceux même: qui
n’en avoient point.
mentis dedmitn virant ; fed alia -qua: in bafi çemtra- eapuc qpertt,y& amiçtrar. puetaftat,
-tur dolabrum.inftramentaiÜo tres pyiidesBc mentent Ugnetira «vocant Imftunt,: funtenimibi, qua pt>- e/TclIibeIra Ws-ftatltn puMtaraturM|n*- i-.« i~.~~H ™™i -
tins inftnimemorum opificem., miam ribicinem vcl tis „„ Græcis „ temper .u .., P puerait S I .....................hifee momtmentibicinem
vcl tis Græcis lèmper puerait viderentur vide
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citharcedum arguant. Muliet
lattis canjugis fui etiam, qui nullos unquam habuiflè libetps âfiftta
ïk a t, fupiaque tunicam magnum vélum gtftac, q uo mantur,
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