s à i - d e 5 c R / P r . i o #
ç l j, e [ t ] , fituéé fiir la peu é rivière'ide Berre, à peu d'e difanpevdu Rhône,-, f i t la rJjTrttydp
L\cln en ProiélicêvlicuMsiücupe, <n\>iJ»ÿ^^n^Gncniüi..ffial:^àt'ileux liet£s|d^i.P,pnt14ain.t-
r nùvqut d 3Bfcs»P eflf "t y qu’on*iiogv c à Biefïqjfi-tl*, chez
AI. I amp J ‘Ij&ÿî^qu< u t-ibqpîstf-. L.1.V1X du Pari og^I , r3fvrSrft.nl mt L s ,q î^ ^ ÿ lu > i s ,
*JIufic îrs'uiumn 1 s erm d‘ {fe^-,Ycemn od it^naTbret1 \ t. d^r\tj.q ».
trié plus hau ^ » ï^ jg f iÉ i^ C E ^ u F S ^ y l l g e à u n e
Kfrrt.'tit| V u g ^ iu l. ti^Tdtd'lccigé. ru iü ^ a p lia . jginc a n ii^ ^ i 'd t.s trcrablçg^ni d c ù r ^
depuis Juin 1772, à Juillet 1773 [2 ]; 40 Suze,,B u g c à l’on trouve chez M. Ribail,
5* ■1A R . X ! I
n % S ^ m î é jE , ~ À M S c r 'Æ e n M l h ’'R s Ê f im U ^ A
jj M :r 85 >'
?^ S 0 ¥ lîé^ Ê si E <N- ' n B l l l i i D . ^ g 1
j*~j Defcription particùhène d t^ ^ u ic ipm té^ ^ Q ra n g ^ L ,
ï , \ P iM W Ç ï P i b T Ê u ’O R f e K O ip P a u i r d ^ ^ j Æ ^ P
f j t f at-UnUbment t partie du Goiïiavffic t f e q. ‘
■-La 1 ) Jcripubu-du Lj-mplune feroit, (fcjpç uugTjplj ^
D e s c r ip tio n d u n P u w q u i U u c 'iio ijj.^U tf g u ç iy
1 1 I i i ® c , p r r n u ik c r e de u t t c .j ï jH m i p n ‘ 11ipt” ^ T j
H H H ce
une (le celles qui poÆJ>^cnc ^cs luge rb J> d J g ijei 1 K ^ b ù ’,1 '
ifs plus uineics & lesimcn\ coriftîÿbpï jtTlqaaÆ'^^meuanieïit «Q‘AC
£Î] C'eil de-Iù, félon M. G uettard, que vient le nom
d u Bourg de, Pierre-La ce. Le haut de ce rocher ifolé &
calcaire , au milieu d'une plaine fableufe, eft_ p la t, & peut
ê tre regardé comme une maffe de p ie rre , large & étendue.,
Pa ra -La ta , qui eft le -nopi latin de Pierre-Latte.
Quelle peu t être la caufe qui ait^ifdjë , ce .monticule au :
milieu d’un bufiïn r H foupçonne que les montagnes cal-
caires de Donzaire & de Mondragon, qui terminent le
badin aux deux extrémités i étoient lices p a t des montâ-
gnès intermédiaires, dont la d e ftru ftio nA formé le'-badin,
& dont les galeis-, qui couvrent la pla in e , fônt-Sles .déb
ris, &c. Voyez , 1a Defcription de ce beau badin, dans
l’endroit cité à la note -précédente.
£2] Voyez le Journal de Pkyjîque, de M. 1 A bbé RoGer
d e c etems-Ià , & la Minéralogie de M. Guettard , p .- 4 f
& 4 6 , fur la caufe d’un tremblement de terre-audL con-
tinu. n.
H L’Bifioire de la Principauté £ Orange, a été publiée
par Jofeph d, -JE [c,,. Greffier & g rde de: Archives de
la i Principauté, ‘fqus;-cc titre Xablcau\dé-, H aire.des.
Primes St P y é d1 Orange, diyifé en quatre parties ,
félon les quatre races qù: y o nt régi é ïouyera némei t,,
depuis, fan. 793 , commençant à Guillaume au C o rn e r,
premier Prince d 'Oran g e , jufqu'à F réd éric -Hen rid è Naflàu,
à préfent rég n an t, . illuftré de 1 . 1, . & enrichi
’dé-pi'uïieuts belles- A.ntiquj(m:;,avec. leurs t iUos douces ;
à la H ay e , de l’Imprimerie . de, Théodore Pilaire , grand
in-.fol. de plus de -pôp. pages. Sup.êrbe;. édition , ornée do
Gravures précieufes, & .dédiée au Pri nce d’Orange. On ar
encore les Hifloires d’Ôrange par Bcfcqfficr & Frédérjp#.
O n its, qui n'ont traité,que des. Antiquités; & l'Hiftoiro
de la v ille & Principauté d’Orange, par le P. Benavcn-
cure dc.Sçfleron., Capucin, publiée en 1741,:
D & L A F R À N Ù. È. ï'83 :
% hB B ^ S ce ter © ÎE^xiisëîpàune.ÿ en pluïïe®rs': P; tagiî1 1 es, d injt.' le premier
cc n Preli^J t lHiftoire Ancieiine de 'ce' Pays, & la Defci i'ptiçna de: fc ' Antiquités ; le /ccoiul,
;^j'#es: Pri^l 1 1 H H S jM u a la B n i o n B troifièm l’Hiftoire Naturelle & Écono^-
mique de cette Principauté ; & le quatrième, la Partie Defcriptive.
Antiquités d’Orange.
La fondation de 1 ville d’Ortangk f i l eft ncertaine & inconnu, £, êôn}m'é celles de là ;
if f iitl P l ' f k J p F A i * 1 b u iB ^ ^ y i q R ÿ t L a i i d j j a c i c T B g ^ Æ f f l ^ l ^ ^ ^ ^ p u i l t i j j ^ 11 .^ f é to ^ g g :
B g . P '1 ^ c'^ -yC » ,1 ’ Ç ( 5 i I j ^ L M A fla iir - iA rK ‘,c1r l
f voyez ci M u S , 1 wÊÊ& , nîjy, sfd-*,‘1 Jfli , ^ i l ïW S r o & i
, ' f l -1 > t ju i f I P ^ ^ 38
à caufe des rivières d’iigues:, d Maync i&autresqi fertilifent cette belle contrée. (Voy. Mén
fer la langue Celtique, par M. Bullet ,-tom. x , pag, 83 ). Selon d’autres. Auteurs ,. cet ë
ville âp'it fa fondation aux Phocéens d’ACe , qui àprès avoir fondé; la République de Marfeille,
s’étendirent dans les terres, où ils bâtirent plufieurs vilies, comme les noms & les terminaifons
grecques le déCgnent ; telle qu Orange, îppellée j ar Strabon.^ ïorr, Avignc Æ enion, &c.
çomine on le verra dans la Defcription de, Provence.
Quoi quiî I I foit de l’origine Grecque o£:G^ulqifèâê la ville d’Ôrange, elle étoit la Capital
: des C avares, dont le pays étoit bien pltis é'Cen|u^^ n’ell la Principauté:'d?Ö range, puiA •
,qu ifs poffédoient encore Avignon, Cavaillon, Carpcntras, &c. On peut voir M s 1I I lome :
'd ii D:aup!ùne, ci -dev r n t p ge 1 4 , & dans le tokifc premier de la Defcription [de ■ Fra/icè}
page 23 , la conquête do pays des Allobroges, p r Domitius-CEnobarbusj.aïeul de Néron,
& par Fabius-Màxifnus,..quï îfifënï élever un arc de triomphe à- Orangé^ i:n .iiuiHipirc de la
• célébré viéioirer qu’ils ’remportèrent près l’erabouclVure de la Sorgue, fur 1 s Cavares, les
Allobrôges & les Arvernes cènlmandés parie RoiBituit. Selon d lire , ce fuperbo monu
ment fut élevé par Marins, après les brillantes viéloires qu il remporta coup fer cçmp'fu : les !
[1] Les noms s dit ŸHiJlouen d*b range, font les finages
des ëHôfèsÿjMJs n o n t été introduits ,q(ue pour, repréfènter la
nature 3 dexcè à ^uoi^ils^ont appropriés. C’eft de cette opi-
,nê Û^^e ^mMmo lo g ifies
de fables ''Sa; , d d f p ^ j a g M V ' u t î l e s ' d’^llleur.,
L e nom d é ra n g e , défiguré d î T aufio qui étoit
celui de cette ville j a donne lieu à bièn^dps fyfièmes.
, Qtrabon 'l’appelle AraiJion3 & dit qpeic’e to i^ une'- Colonie
des Phocéen^J^p Marfeille : hac autem Colonia ipup.cutuy erac,
'iGeogr. L, IV. Ptolomée > Liv. 2 , Ü^ppe'lfeJ Aràüfipji; cette
termmaifon' ion annoncé'^ep' effet xun nom êc unè->ôngijne
grecques. Ammien-Marccllin fembl'e'auffi être dans la meme
opinion : A^Phoceâ, AJiaûeus ^ipulS^Harpall inctcmeniiam
\yita.ns'6yri regis pi &fecli lêâliàm navig io peïiit^ cujüs'pdrs în Ica-
liâ VdiarUt ir; ViennenjîMaJJiUam, D em feeutis oetaùbus oppida
aùcta virium copia injluuêre nonpauca^'&c. Li. 1 j , c. 234 Vo,tàj|
rauÆ 1, .StCiQ ù ition^'^^SÆ-ài/iô'Mm
s’eft formé le nomdàtin y^nw^Oy & les autres qu’o’n 1. trouve '
' f a n s |^ ||v e r s A uteurs, Arauflca 3A'urajîca, Aîiraicaj /'uren~\
§ de ‘:
q iL ^ i ^ é iÿ ' Orange.-. Efii' eïfëf dg c é jfip lp ^
devoit faire ^penfer 'que" île^ôm- ÏÏOràng.è' ne-lui’ 'avoir été
d o n ^ ^w -,c a u fe q u e ^ ^ f o ||^ ^m m f^ fi,^ p n vdevoirtp r f j ^
duire beaucoup dVan^w;' ce ''qui a été le fentiment d;e 1
quelques Auteurs. La Pife penfe' >au^'contraire, p .4 ,, qu’on
n e lui à-'â'onné Gejnoirî qu e par-;’an'fi-;pfj;i.pliraîp par.
pèce d ’iro n ie , l’oranger ne pouvant y venu à caufie^e lim -
pétuofité, du vent d’aurou» ( aura ) ®CLfQuifi^fréq.qelnjn
& y caufe dfes ouragans.,’ "êe qui a encore ’fait ,croif<è à d’auK
t r e s j^ E v À n ^ w m U p ^ d ^ :'q ÿ è ï l ^ q t 4©Mng'e.n^verîo^
v m e m m m S È i Ë t Ê M