ï i f j ; "... B E S C R î P T ï '
•anciennement -réunies à celles du Parlement qui en avoit la Jurifdiétion. Elle fut établm'sà
•ïinflar de celle ,4e Parias par-Edit de -M à s ^ ^ lp s j|j|%'s|t-'E3>i p6ftèJd..‘ Ji\*J0S$|lerisJ le
premier co lo ris ,.de deux GbêValié’rs-.d’bonnepr,, <fotfes7W |^J® n la ille rs-^J^ i^ t4 l ^ ® t e ,^ t '
quatre Correétewsyfix Auditeurs) unJ^vgGà^é^taïrocureiirgénéraux, quaoelSêèrécaüiteS)
■nnaReceveur,foun Contrôleur 4gsiRentes, un Payeur des Gages, un premier Hmffiejr. Elle
tConnoît ;&®.Çqmptes ?deg. Receveurs des Tailles & du Diofn a in e , reçoit l’es aveux- é&édé-
xôm%Unçns dLS.T.eries.qui relevent djijlgtoi, & elle a l’économattdes Bénéfiees.vacans etl
.légales, au- rnoyspi de l^cquHîtionvâei Offices. 4*liCpnomts,-e&Ca.[‘i^]. a". Les .Tfféfyricfà de
Frajice. n^^iàiCsiènt.quIun même, corps avçt-leKpàr.®iènt; 8z la'.-Ckàinhi^dfisiComp tes,/mais
ils en furent féparés & établis en Corps de Compagnie par Edit de 16 aS^jSa't'J,urifdi<Sipil
eft réflmtAyx mêmes terMes^que, ceux des autres Burek fx g d ^ ^ f éfoti’ôrsîiaei France.; Iis
âyôii.nD la.çoimqiiïjnL^diÿDoma^nf avant rengagement qui en a été faitA^feïl*kütra[te celle
de la liquidation des Lods & Ventes quL^échoistit auispr-ont du -Roinj.aVüipi l'affiflaace près
de l’Intendant dans les départemens des Tailles & l’adjudication des travaux nécefïàires aux
jjgM^jCJ>enMB>foiits & GliaulTées, en veriu.de C®jpnufioB®^^rfflP|p®â:^ll^i0ne,-'.auffi
3am û isMes tiiamus,,dc .Vérificateurs!ides» Comptes-.d ^ Erânuikj j LicAïu 'h jç .;ji meulière
des Eaux & Forêts.a été créée en i <58g~avec airrihitmfude Jurtfdi&omdakwtcuté^ l’étendue
de :ifefttt.iitiBiitb.' . dam : Lieutenant,
d’un Gard e-M arteau 4 ’umrGïéffier.jî&’ êdéiquaSte, ;%rgens^ar®™êfbjijO'4 °. Les
E le c tio n s turegÉ é^mîes en p la te 4es.Etats {uppriméiTen SI55 S a fix Bureaux établis
à Grenoble y Vienne, Valence, Montélimart, Gap 8c Romans; chacun de ces Bureaux, eft
.compofé d’u n f jéfidmmun Lieutenant, quatre Élus &c. & une Recette particulière, excepté
le’ îîurfeau de Gap, qui,'aoeEçâEe .la-Reccttg q ^B riin^pn.:«5gLc^ jB ^ M c.efl».d.iflillu
l’Intendant au ÏJépartement de ,chaque. C an to n ,'^ îb u o n ^ srè 'ioe premiérê sirttb^&feSfeiE
des ^ liî[ie^ ^ es.*Qârpis, de^la. J^ei n^aMu/Iab icyL bM y q lue<r_di.S;<(\le r mx, &.c' ƒ b- La
JuJBce d es G a b elles fè -réduit à un Contrôleur- à Grenoble, un Vifiteur à Briançon, & un
feroit fort utile dètriûltîplief cette maniéré de rendre la
Juftice, Iorfqu’on Ivoudra ia rendre gratüiteîrienïr &MÉM
date, quod gratis accepifiis. dit-il , / à ’Ghabeuil &
» à Saint-Marcellin, une Judiciaire Royale des Conventions,
» laquelle n’a d’autorité que fur ceux qui s’y font fournis
«* par des aâes formelsi Cette ■-Courra »été iriftituéebpour
»> l’expédition plus prompte: des affaires des lÿurchands ?
» & l’on n’ÿ reçoit jamais d’exceptions en fait de dettes,
?». que celle d’une quittance ; toute autre; eompenfation
■m ou njoyen propofé ne pouvant arrêter l’exécution pair
». elle ordonnée. On les nomme par cette raifon-Je Jlyle
» rigoureux-». I l paroît néanmoins, continue M. Bouchu ,
que cWjtftïfdiâions font peu fréquentées, puifque ces
charges font vacantes depui's- très-long-tems aux Parties
Cafuelles. /Les difficultés •viéndroient-elles de^lîoppo'fî'tion
des1 Juges ' or^itfaire's? à l’exeç,ution■ ;d'e-cés Jûrifdiéfcions
Çyojlphmires?- ' ’
- [i] La Chambre des Comptes fuit immédiatement le Parlement
dans: les cérémonies, avec cette diftinétion néan-:
-moins que-'dâtisflès Ëglifçs le Parlement prenant pour
lui les hauts lièges d&.’la *§aüdfre
I la Chambre des Comptés. On prétend que c’eft un reftô .
de la préféance que ce Tribunal, avoit autrefois fur le
Cpnfeil^Delphinal; 'elle étoit d’ailleurs érigée en Chambre
,'des Tldhg-tems' a v a it'.il’e^e^f^; du^Cpniëil, T>$1»
■' phi’nal emtPârJëment, comme- on le voit par les Lettres-;
Patentes de Oharies V I , du 11 Janvier” 1383 ( vieux flylé|.'
Son Premier Préfidêht eut attributioh des mênles droits
idôht;jÔâit/le Premier -Préfident de la Cham'bre des Comptes
de Paris, par ùnè ^Bëclaràtion.;éüt ÎMOii '.iîentfi H , du i'fi
Janvier i y y ^ 'E l l e eut le fort des autréVCMmbres ’des
Comptes en iy d é & 1 ^ 8 :5 & dans la >%ite <elle: fut unie
au Parlement de Dauphiné ,_comme on l’apprend de l’E d it
qui la d'éfunit du Parlements,-,^ l’éjtabjit à l’mftar de celle
de Paris au mois de Mars i<$2§ ;|ü|vi|>td’yvn autre a u ^ o i t
de Juin, 163 3 , portant quê lé Parlement & la Cham'bre
des Comptes de Dauphiné fenpient réglés comme le Parlement
Ôc la Chambre des Comptes de Paris* Elle avoit
D E L 'A F R A N £ Ë\ Æ
f u g é * ^ t ó t e m a l ^ ^ M c e ^ g ^ Â l e f t mas->
chandifë «re,., jiotorvu' qu’on fe '.premie aux GreSiers du Roi. 6°.. Mais en revanche) comme
Roi en-Wnpîfn^,, W u M
.po^ GrenoMm
à O'mn ^ l e v l i ^ ^ é fôrÊ
& * 4 w r p ro d ü& , Gommeice h
id e s Im p Q f i t i® s î ' i
5 ^ . I I I . 'È m
ROianj e ; a uJi,d ■a IA même limites que la Province. IJ j a ï». un (Pouver/zéitr C<
V . u n ' Z , - A - , ^ ^ ^ i j ^ l f o i j n , ÿ P V l l n ^ r è ' I f t ’L h ? M
^ f id e n t. ^n !^ r% £ e !é e ' ^ ^ ^ ÿ ’wkmandans pai;!|fe è-s'pVrÆfe$,V%'oii ceM
é&>' t^pWlLI1^ B H H B
F ^AïMè Juillet
» Ô U y e r n e r n e n b î W u ^ ^ ^ ^ J ‘
^ ^ ® r o \ m c e ; 6 b u n 9 . xf eM (le VilêntinViis & D io i * 7 ’ \r a î? !ty & ti S B * p T
H ,llev^^G.vâutlanrftica Cour
lin |% u f f e s ^ ® % n p ; Quatre AèiMhanr VlMM&àmÊ: Vê F/Once
Vienne & V a lâ iA / ET frotverA &.
F ie ià ê n a m -d e -R û i '8t ^ f ’jé c ^ p h ê r ^ a n l ' 4 é s V if lê & Eîiilcîpaïl'fé
f d O r a n g e , & c .
‘b e o i i l ^ e e b f i n e f g p m p a g n i a j L f c | o f | e ‘ c ^ i n P r é v i t
b r W e s . ÿ q u a to rz e ré ftd e ô c ê s fo u s lfe s ^ o is
Lieutenans, dont un à Gre/zotó) le fécond à BMence, ^ a te^ifièmej
E n vM tu d e l’È d 'i t ^ e 1 7 I 6 i
auffi .-Ja^ connoiffànée . des affaires d u Domaine , qui
ëcheoient. â î|i(profit du Roi -, mais par Arrê t de l’an
H ép o , cettfe njatière a été adjugée aux Tréforiers\de,
France' : P ^ f f io l affure qu e . ce n’eft que dans les E g f i s
de N. D. & de S. André de Grenoble, que les Officiers
des Comptes ' ont da droite au Choeur fur le Parlement.
Cette Chambre dès Comptes a eu plufieurs Officiers dif-
lingués dans'"les L ettre s; f g ÿ u x .Premiers Préfidens*
wmiMâiûg' $ BôiJJïeux & Bour-chchu de Valbonnàis fu
pour l’immottalifél|f^ .'^
l^w^pS-jlivant tin E ta t foütnî 'ptr. M. Expilly àù mot
Drt/y/zmé, les appoihfëmens>,v& cmoliirneris du Gouverneur
B du H;rEreqtMan^HiCjdhSr^’de^ii;.--^ • S
Etat, fe montent
ißieuterians qe,^ô|:À|^dit^^^
‘ ' ■ * *
■ Total.........
te ne.renferine 'pàlïtoec^d.*
tout l'Etat Militaire.
t2] Éés a des iGouvëri
particuliers & des L ie u te n a h ^ d e r ^ ^ fq h t 'É riaû^