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daines ialées &>une eijpèce d’àrdbife , &c. Les ■ enviions: de N.yons & k:mpliüàg{iie’âei)éi/<ïf> ’
Ëmeufe j r le vent P a tic j , font es .Q g Z&wâj-L11.»! tr.0we. des naines de'îçiÇ&r wr.,
«ne -plâtriere, in e mine d vitrée \v une î âiçe'; qu îlifiée du nom de fo i aine fa lu -
taire., fk c .(.p a g e .74). La.partie fableufe s’étend .jniqtfà cec endroit. La -jelierre}. [ppéculâirè..
ou, carrière 1 j 1 tre d C ht nul h ' ‘ r ■" n. f t Jc n fo L -t« B lls^MBaraiiableKp.^<.V
U y a an banc^e’gràndes huîtres des Indes près de Vauréas,. ^ u ttm ^ JEfimM-fit efticéleBie
.. en Dauphiné par fa pùïëïiéyia feyeiîce;,.. ïes manafaCtuies'de Ààps & de.-chspeaux, & par
Les Foulons que la bonté desargilles du voiGnage. y a fait établir.' On y fàitaufli du ■
va ria i', & c. [i~]. On trouve au midi de Dieu-le-fit des pierres qui ont dès ,èmp éiïites de
thadrepàiies, de nautiles:,râe. peignes, &c. des corps ronds reflèmblant à .ëfë' .gros ■ chajhpignohsi,.
raarz/u...fk; quartier de Rouvière qui eft yoifin, renferme une pierre calcaire d’un verd
plus où .moins beau 8c füfcepriblegde poli, parlèméede cés différens folBies., ■ & .d’un petit
niadrépore'toâkchu d’un verd plus vi£ _ 1! ;
Le Pays ds^Grest a. Grenoble, comprenant le Diois,. le 'Champlàur & fintéileur de
îa partie calcaireforme le fujet du quatrième MemoîrtÊwtâe~78 J.—CÿèftÿJî|i le penchant
' d’un .rocher 'jen pli de' peignes, d cames, à’iidîtres pé 1I1 e , &c. eft à la tcte d’une
chaîne, calcaire qui .le. continue. julqu’à Chabeuil & ÿdnfeeii-iRoyàn.- au bas'deocettgichajiie..’
•régnént .des coteaux làbleüx qui s’étendent jufquau Rhône, & qui prouvent ipe les enfon-
cemens .de montagnes où ■. ils- fe trouvent, étoient.déjà-formés,’. & que c’étoient .des efpèces
d’anfes où. ces cailloux portés par les -flots, & arrêtés pai les mont gîtes, s amonceloient, ;
■ ailement. 1 s c rps marins d roch rs t Içâfeêspr uv 1 de Jy.it côté;; que ceux-ci doivent...
leur forniàtion à la même carde; mais par des dépôts ançéHéars. L’entrelacement des .parties
fableufe, calcaire & -gramtétife, eft un fait. digne; dé remarque^- & un lùjet digne de.
réflexions pour les .Narnhiliffies. Mais .ce-qu’il y a de. Jîn.gulie.r, ç’eft que les fontaines- !
falées . femblént être plus communes dans la partie làblëiafe que dans , les autres. Il y eh
a deux à quelques lieues de' Creft. La fontaine acidulé & aérienne flu Pont de Baret près, ;
fiqy^§-,%qtd a de^l^réputano^.n^nteroit que^jpjp^dM'flîuisîft^FBffin^^aes' bâtimehs^
mm 'i l I l ne fera pas aifé dans .ce cas, de prendre la Nature fur}lè'jfei/b,A
fi on l’a jamais prife ; quoiqu’en ait dit un grand homme qui
a eu mille & mille échosp our répéter avec complaifance, ce
in o tq u i renferme p lu sd ^ èf^ it’-q p ô de -rçâlitéî <Bes, heureux .
confidents de la nature eri'.feront Vd ^jÇü ^r^Éjts fur cette
. queftion, à favoir quêlespïâfriBres font ordinairement fîtuees
dans les lieux qui renferment de l’argille & des matières .
, ; ia le& é s l ^ -'. 7. S
• t 1] V u la^guande xjuantité de terres argilleufes qui font
en iiauplamé, ;& fur?£düt | | n | çe^cantq^^p'.fembfe que |
quelqu’un devoit chercher d^qUelle nature é to it''l^ ê r i^ - ,■
" cencèys.kfnt ic'ës. argilles fe .chargent, ph^s^.jéfl: appliqué,.;,
à Dieu le fit, où l’on exploite^fes 'argil'lés dajis'ia^vùe ■'dfen.
extraire le vitriol qu’elles peuvent fournir ; mais c etrayaii,
q u o iq u e .fa ^ l^ e lr a b a rta ç n ^ ^ iip p a ü v re ra y fa n ’.prjvé de
tous'les moyens de f e (p'çbeurer les ù’ftencile's nécelfaires à'ùn
travail auiffi'^aUvxe q u il l’eft lui-même, La grande côàfqm-
^ atïô ^q n ion^ fa it#Lyonsdp.,c eife lvvitriohqüe en rendroili -,
la fabrication très-ilucrativë'dans cette partie du Dauphiné^ V
& dans tous, les lîêjÿxiiHfe^GeÉte Prbv<inpe'.oii il y ^ 'd e s aïrgiiile^,
vâtrioliques. ■'Quapd^ n’y aurojt qvue4' la^æafage W’occùpei:
dëffîpXttJlÜutiles & d’enlevci à 1 étianger au momSipouc.
le Royaume une tfemmerce 'jfflei&pMderaWèV''.
ce feroit-u'n motif fuffifa'nt àd-és Adrçiiniïlrateurs zè'lés ,pour:7{
jfa^merL.diét'àbJi^enfMt’,de1pareill;e^ dttânjiïaïhi^ps^, É
L ’abondance â'û'ÿvi4;i0l'» dans lgs jehvdi^ns.ïpe Dieu-le-fi£ 5
•; p aroît fuppofer des fon taines minérales ; au flî y a-1 - il celle
de là Madeleine qui 'eft- ^kriplique 5 & donir'l’eaiu jaupâtre
ydèaQk (d^ie. matière de même' c o ù ^ ^ ^ ^ e tw ^ e a û ”eftl tr^s-ry-
âcre & d’un goût défagréa’ble :,dles për,(piinesj|en Tont cepen-',î
dant ufa^e daps l’inwn'tion Ade fe purgei , efles en lb n t ejx
effet yigoureufement purgées, La fontaine de la qui
eft voifine, eft ferruginqüfe | moins Vive, & moins,défagréa-
■ ble que la précédente» ■
. .'.près., ;
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Pïès de cette fcüree falutaire ( ^ e 7 y ) . Entre Die;; on-trouve fles indices de
'' ÿ ' r î jlh^mpivT'
'■ »y x E X ^ 5r^lîmi5sÎ&-. û.ift
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^ E!' ^airt ' c' ‘ A.à" $$.' WÊmÊÈÊ
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b jC l’n r rpuf / / p ' I M ^ f d t \ d
B H B Q jJS S ifiS .
É®dMu.ées, ... ;
y Pays J a & ^ M 'le^çbSde j q tShte., peft |m è s G re -
^ m î
' d e s ^ i é i ^ a â lM a p p e f l f e ^ ^ , fur le fq y f ly ^ .y ,a ^ Le
W S n ^ a S u f e ef • iontM.Gu ta ’ rfp
X » a T iL i rt Pas «on .plus ,l 1 ait ité la in oi tt. jne aifi e le
la Ville de Saint-Antoine dé Viennois, .toute remplie de
‘ ' *' ' '■•ej ,î w 6 a * .• ™ f aPP0r‘ (leCl Æief,
& qu’ il âifoit re former naturellement dans une terre blanche
& tendre comme de la craie, quoiquelles fcûent extfçme-
itient dures: 11 no manque pas de rapporter lé Miracle dë
Saint-Paul » J P l ayant purgé de ferpents I'itte de .Malthe
■; y St naître les gloffopetres ou langues de ferpoit en memoiré
dece m'râcle. M. Guéttard rapporte ailléufs ce même paf-
g-fige dé C1’S , ^ . Pour faire^oir. que les dmrs * e , « ,
■ B fous le nom de gloffopettès.'étoién't le feul M H
marin follîle qui fût connu du tëms de Glioncr, puifque
malgré rimitienfitcdelivrestfuà;â ddpomllés'.pour fonhif-
totre , il n é parle que d.= celui-là. I l ajoute que GlfoHet de-
voit én eiFet trouver étrange _qu’il' fé.fi)rmât de" pareils corps
Coi/^ÆiîJV^jttEiVT Z>£ Z)Wt/Pi(/Jvi.
iansffleSHienàr^mMsï^^l^MÏtoSn e^ilcf^®
à aa' f,M I c ’ -Nr. ' èi-ùé, ni r , - t l
tin grand Poëte Sr un Médecin, i .i ont probable!tent v ;
'offiS®'.— 1 j 11
t c ' df' », .l
ftuvle les idées reçues quand elles feroibnt vraies. ■’
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cn 1 '?tice dés etoi/tj c ' « f qil’ê ’Al .baye de Mole» s *
' enB >urgognei;voy. Mer • e 'A cad, des Sciences, a a. iytfq). '
Les Zn«ÏM d'JEnglns p o rten t, fuiVant M. Guettard, des
e’ is s de dix pouces de longueur de 1 . t . y ' - t s . '; ' „ ne
patie à celle d'une autre patte ; elles ont fa de ces pattes ;
quelquefois ce nomb e e ft plus ifidér. île , & ces étoile
reffemblent alors à celles de m er qu'oa nomme le/o/ei/. Ces
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