q'uatre valMis qui \i n r c r 1 tgutq:,,<&. m i 1 m 8a.ll vad tljr ineoh-j, J ’Etnbjhiftviciu,|cbl
vjaiP, &.^iB<j^i%jaB^pari l umpulivd Jk .'lh
de quartz , de pierres cdcaires, & c , lies par un fur-ajoute aux chaines
.j^sSajS^agUt^di formentito'j,rand »»feffiifft11* ?U 0 | t i t t t i t o j@ i6 b S 8 i | * jw rBbujigfflJ
« f t ifole au centre de quatre \a ll& \ , il~T\'jajWia*tJt.vol up ^6tfe':fo|!fife^lj6:|)ar les^fequratits-du,
ftind dailigner, quLeh ft .oi«“’fj.nuiu* foru r iL, Ly. , ,& s’oppofil» t e tiuns atli a'utfesjj
sdepofcienc & accuthuloient ces cailloux dm 1 endroic ou eft a<St lellernent le monticule en
■ qiieftion. II y a aux envkoris; de; ces malles de Poiading les de plus dp deux .cent pieds de hauteur
Le (bateau de Queyras , 1 '1 ti dan: lamenie pofition que Mont-Daupbin, eft egateliiemt
& 111 rfi^frcuk/LL Pqudmgues „\n ntr dq.quvm/^iill^ „ &. duluftfeiK» ufi. fun ydS*
meme caufe. Le chemin de Mont-Daupbin a Queyras eft horrible'& 1 1 1 , futvie .penchant
do montagne tres-i ipides-, & fi etroit qua peine les mulet. trouvent a y mettre le pied; on
■a itoujours, d’un £ ote la montagne, & de l’auti e un .preeipic e.
La vallee de Qui yras eft peuplee d’hoinmes tout, faltiers a Ja culture de la terre , & au (bin
de leurs beftiaux. Cette vallee &.c lies de Souliers [ 1 | ,A ’Abm & de Hit even qui abou»
dffent tputes le quatrt au meme centre, ou eft le Chateau de Queyras qui doit dic-bn fon
nom a cette pofition, par dorruptiq 1 de vallis- quadrata, uii^iMJ|^c)up^}ulibapiijint,ein,-citSi
jl,d l \ r u I>ord£t‘j> de part ^iTautfe, par de sresjbante^.mQptacn^Sj^e, termih^es par
JautreSvinontagnes ene*e dent les ’fotatnets & pendent dans-les nues^Mais’vou's
} \onVyilufieur^villigus diipcrie fiaf C^niMij^ncS, [i«m&Wn ^ d - X a f '' l l j iTemta^e^l
j|ulq(/i»iii 1 tertaint‘Iuuaur.dcL,ctijn«niij ul ^jUulntdouv^Jut dans ;k giandts
Sc belles prairies, ou Ton tient desbeftiauxtout.le.terns de la bellefaifon. Qutlquefois meme on
trouve de grands Lacs Jfur ces bauteurs R ] , coirnne cf lui de Malrifau dediisd’Ab; ie J 'sp'iLj}
■lesdafeadt:squ^eleindent«m!V^J^[es bauteurs, l a n.Uk.arsAn'v leris-JqmLrpaitxiu l.nsle
liés entr’eux , ne leTont cependant pas de'Façon à permettre -
qu’on pût feier ces malfes & en faire des tables.polies; commef
«elles de certains poudingues , dont les caïlloux Sê
lent avoir d’autre liaifofa j que célle que deux corps polis appliqués
l!un contre l’autre peuvent avoir, & que la PKilo?'
"fQ.phié Newtonienne attribue à Une qualité oc.cu1tè qu’elle
■ üomme attraction. L a liaifon de ces poudingues n èft ni forte
4ii occafionnée poeâih agent aufli Cmple ; on ne peut cependant
s’empêcher d’àdmirèr combien 1 agen't que,:Ja nature
emploie ici pour cètte'liaiTop isft pèu c^^^iqüé ; de l’eau
& une pouffiëre calcaire difperfée dans- "Beaucoup'' d’eau,
maisjîépoféie peu^ à-pèu , font tout lé iiiyftéré de cettë. bpéV;
ration. La nature avare des maxéfiâux ne l’eft pas du tems ;
elle compenfe par le tems ce qü’'éll'e>ménagé de matériaux':
«lie femblê nous prouver par-là, que les ciments anciens ne
font meilleurs que les nôtres que parce qu’ils ont gagné par
le tems ce que les^nÔtrés né peuvent, éiit^ï%say<5ü: ‘'acquis^
’ellé feînble encôfe'noüs7démontrer, que ce n’ëft pas tant à la
bonté de la chaux & aux compofîtions de ciment qu’on imagine
tous les jours que la liaifon des pierres eft due, qu’au
tems forte & durable.
ÜLa petite quantité de matière employée par la nature dans
ces fortes de maçonneries naîurelles’rîoffs fait .encore voir 9
que ce n eft pas en fe fervant de beaucoup de'fflbftier que 1
d*p'n MiÉjgiÈp^SlÉiiàyife^éliâSife -mais'en n’en ^employant ‘
que la quantité nécefTaire pour que les pienes ne laiffent
,'pqint de vuides entr’elles, de façon 'qqé îa .Cèuehë mince
mais frè'stunie^de mortier, mette les deux pierres entre lef-
fquelles il eft poll dans le cas de deux corps polis appliqués
<rùW oiP l ’autre'/ |uÿ-touf fi l'es furfaces- d'es pierres ’font®
’ [i]Lesv«//eesjettentdediftaâpàaüWAquèlqu^DmncMS;
qu’on appelle des Co/s:’Tfels |èht/dans la vallée de Souliers
des Coh He. Peas & ül^oard, q u ^ S ÿ q i ï le Vont de la Pu-*
g g l ■" appuyé 'de part & d'autre fut ,d:es rochers ca lc a iie i
qu i :fè.r#ën^â|éhtâi®éffiëh‘^ L e nom dé: ç;e Pout
t fuivant'la tradition :<Ju p ay s,, de; Vce^^u-un1«ï
Îeuiîe
fille plus lefte qué Sÿfifix‘ï a u â ilm ijRSâmMüi:re > riVj '
« it point'afors d'e^pont, & fe fau1/a ainCïl des ,,pourfuites
1 jeiifie nôram^moi.d^ardî 'Gjiu’elhï, & qui n’eut pas1 m^-,
me le ipTaiGr fàèmfàïiÊ&f: dës rofeàü^ tômfye fit le diey.
ôn' trouve>Hé;* ftihblàfeiès Z f ty/ààut dis
'montagnes , & qui femblent ne devoir être d’aucune'utilité |
D E L A SF R À ÏÏ C E. i7
un‘ pa^
Tfcktmés \ ;É S ïï|to ïi|^ |d an s
les
ro 11 , ? qil Àj^Lb l*?1! mÈSBÊÊÊÈ. f|X S
•f'u ^ 1 r « J A 1 r :
dès'l’fentrée de rbiv6r; s’abaridbmahtenderemeiMa ix foins de hi ProvideiiBe .' s’ils nombenc
m^àte. En.meiirt-il quelqu’un? le c \!"' rdMls iu grenier s y gÉle & y refi 1 ilt’ti u tems il
pî-Vi m *1 U‘ . \
> a friin P ; H , f,
<k i p y ii^ m > û \ i u t,5>i uî^i j^1.
■ nJ5 i ^ t i i r ï r '1 \ d 1 s iv.-sjmbS
~ ^ 1 aA]
pour le méprifèr, ou que pour tromper l’ennui, en s’en entretenant avec leur famille dans
k ■ d |f
^ d e - b a l l f e ^ - m firfçV11* V~ d-"j § *1 ui iffs ‘iNiVlaie\j$
'm i\ ^ 0 ,1 4ui,î4i1 *■1 ^ b d ' /«>.
p rfy ? Jiil irtu]i'£5^b^0:‘!TO ^ iir(. di's ¥ n ^ ru n s m k fbMidr li. Ahii '
irqt}' !li” A'~ tfl
b *p o in te depuis M ilan Q ' 1 X J ) que 1 on tre 1 v e des roebérs é 10 mes d e ferpei line * j
q u ’on ne fe trompe ra it p en t êtré pas d e p la n r Lvec le / ôÆ 1 d Q u a n t : 1 \ H § , i fon t
<lc e fpèces d e ferpentinês , M . de la T o u re t te fa it vo ir d ms u n i »ant .VU -hoih M c
^ ? p ^ '^ f f i ^ g l lt*FSJpl®1^^ïï'€âs^-Étobt.ë&xfmjtes^rÇijerresfqui «11 ÆiÿtlûSi ilHc lèJ
feau n’ayant fouvent point apparente , on ne peut
que fê demander ‘ ( l’Auteur delà Nature ’^^antnen^fâît
que dansées vues ) quelles peuvent avoir été celles qu’il^
s eft piopofé en formant ces grands réfervoirs d’eau? Un peu
de réflexion fait’ Ü’ajaçcd'fentir que quand ces réfer,voir/
d’eauh'auroient pas quelquesIffues par l’intérieur delà terré,
& ne donneroient pas ainfî naiffance à^des fontaines ou à des
courants d’eau , ds'f(3nf»les four ces doù fl /éfévè de tems
en tems des vapeurs abondantes qui forment-les ~nuages ,
^ ^^ ^ ^& ^ y,Mlé^ lu Sf|n ^ ^p'gâflc/e^g |K
ï rc;| pays
élo'i^flés|^a hauteur des/m.ô^grfes qu^edtouren’t'c e s iaçs
les mettant à l’abri des grands co u pSjfd ffô p il, ils ont des
fei?de cha'léur^eCeGhè Tes'ternes expofées à toute la yio-
,% ceg fe ^ ô n s Æ L f é h à l e ù r ' ^ g g ^ ^ f g
quelle pénétré to u ^ ^ J que cës'làçs , quoique retirés dans
<3e pt ^ .^ e i l^ |q l | em e ; l t , en reftentent les effets ;
feau s en évapore & fe coricÜcnfeien nuages qui, en tombant
fur Jps campagnes defiechées , les rafraîchirent, & donnent
une nouvelle vie a;ux plan tes-qui péri/Toient faute de cès4arrô^,
.femeu Ls uatuÆl^HB
f l ] La Serpentine dont il eft tant parlé dans, ces Mémoires;
; ^^^^^^l^fieur^montàgnes, a^e^^anmn^font cha^e^^
eft une pierr^pemtcommune efi^ràncei ' OfcbjÊï-!W m m
ïguéres qu’uni e ; mai|
cette éfpeeeni^ ^ ^ f fq ÿ u n f fè rp ehmuej;q^’quélîté ili férié ure
, d’une cpji^m^rarfie^eenUréé ,■ u point
fijîo^tièfefd(i^^pfauMmU' qu e,lw^f{j6nt|^|[ ?upHiîf&
varrenf-par^Mc^M^P^r ^pn-été '«là’ fînpfleHiCfijùs
'.ét^ï^^^^çs'll^^pi^foùyrlg'es d?6r.^é^fn^.;,l^M^û Ü™
Dau ^ purâhce & î^^|r^.^qr^btslrèu]eht dans
leurs eaux‘1 è/cailloux deferpentme'SSlWyWiblites-qüi^^m
vrent avec les au très cailloùx toutes les plainés aux^nib'du-',,
chures d e ces torrents dans les greffes rivieres. ^
Tl y a plufîeurs fortes de Ser/>e«n«ej, les unes d’un
brun noirâtre, fines & d’une dureté médiocre, dont on fait