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'« j)”-. Çme^,M'mesA'Anùmoini\ < contient de la
fflaune. r , f
M I C « t y. f'T u * ’l INUITS,
^ ^ W g f j â k , .i.AuijsWnoo’ u<iwSlj[ëe5
ia “f Deux ”dêr(&Eg&i celle d’Alvar non %®îlléè, d’Allemond abando®^
130. Deux Mtnes'zie S^/fesglÆi^; à Prepiôl, l’autre à Pruruere^tojltésMeux àÇffir1
• «Boftnées. ■< ' ■
14®. EiàixiJMïnes di'.MarcajJites, à Huez & Barbieres; non. travaillées, ’*•
«*f^°3.$uc Mines de GryGcl de> /■oc/’t'^fell^TO A j 11s dtung ri - filon do crjfïaTdi; rocl e
de fix pieds d’épaifleur, ou Ton trouve des rogno'nstfAnOTroine fed e BiîmmK, Lembr&d5
deî'i^^oe|nbir & bl.uu; 9 i]uj^oncn^^fe.î,i r dçCc^ oec. &c.
. f Vx 6: .D-jji M ine de -SajiJii^s 2. dcuxviiei^&ÿtie* Grenoble; il ÿ JgMHîas. d'unr'ocbër : def'
gâteaux de„pierre, conte&ant desrfiphirs blancs, beaux & allez dûrs, maisbdeve'nustrèÂarps
on n^n^pfuvKpIus '‘qu’aprës, les.-1 grands orgg’ëï^.y ci
17 Deux Mmes gAtiuiy l’une 2 F auri l i rc âîÆJ ’ un-çft'melé’
avec la mine* deï plomb.
I r f f i j 'abondance. de'Vrtnoljjjap/-4 Jagrnage., derrière.. TainA (^oerampiciâiîlîî^
tirer, du. Vii'nol en quantité de toute les^glaifcs, & argile. ji,q\i'i
prefque."touéèsjdiûneÆfflûrefcéüce',MlaîiGhe Sf^Ttriob^é^pn IL imtïiut <r?*luî^n^!S^ 9
cas ueingn^ltis«faue-veniSdeiletran'ger^'V'
ip ° Une Mine de Soufre à Alvar. .
Çn:le Mmes de Charborr-de terre, "dont qu-ljuis fin' non frit uflt , Lrf ims*
maljexgloitees^ & de médiocM qualité excepté/oîüilfec..la- M o fed^^^^^^Sbnt les
buvriMs^font be®cou|) de cas.
1 es Manufaéhircs qui tous 1 es divers métbriÿ&nniiénuxcnttct'RnnehlidrnslelO.nrliinLioiit
en grnnd nombre..!.: à Rive -Moiran, aVoiniffya^BîJirïTioîiŸ^uiciu, Wuiîîffis-èàt
BeaucraiÆàrït^ÈfGlSbbne'& à^ie’n i^È S ‘"fé™^rgef ’lè‘iBTBrd-ms les
«niuruers, de Thoi , d’Alv r, dû Livil, de G^ctlm/de Lieombe, de ÉmS69«BM w te
avA S u it , pan ï . peü ® a ^ im cL Ê n t j ;ài êeïïent
entièrement; ou ils fe rétreriffent à un point qu’ils font
p e rd re to u te , efpérance, d è - les retrouver avec la largeur
Qu’ils avoient d’abord. On commence à revenir de cette
opinion flatteufe, que les filons ne font que des efpeces de
ramifications qùï aboutifient à un tronc où les tréfors font
accumulés, & que fi on ne trouve p oint le tronc c’efl:
faute de confiance dans le travail. U n filon de mine
quelconque n’eft qu'une mafie dé fubfiance métallique
dépofée par les eaux qui la tetfoient "en'diflplutiHn , &
q u i a rempli un efpace. vuide formé entre deux bancs
de pierre o u de te rre , qui la remplit en entier ou en
partie., qui eft continu o u interrompu , & qui s’étend
ou non ifans les autres efpaces qui peuvent aboutir à
celui-ci, &c ; ainfi on n'eft jamais fùr de la d ireàion ou
dimenfion de ces filons, ni de leur lo n g u eu r, cpaificur
& largeur; encore bien moins' de la' correfpondance des
filons d’une montagne à l’a u tre , qui l’efl. qu’une hypo-'
.thèfe purement gratu ite, &c. I l faut voir avec quelle
chaleur M. Gucttard combat dans fon dernier Mémoire,
là- formation des mines par les. fcux fouterreins, & contre
l’opinion des ' Nattmaliftes. modernes , ' les .proméfles
des charlatans, &c. \
Pa r to u t ce qui a été dit des obfiacles qu’on trouve
à l’exploitation des n ines , on voit qu il ne iulfit. pas-
qu’un pays renferme beaucoup de filons de différentes'
mines; il faut en outre que beaucoup de'circonïhmcês'
favorables fe rencontrent réunies, pour qu’on fc détermine
a les exploiter avec certitude de bénéfice:
D E A F R, a H fcfe ^
. d è ^ e f e ^ 3’brte|, A f ^ f e i A i s dî’ dq
K : éù
7 3V‘ trente poux la fabrique tl'ea.lames d’épée: à peine y en reflet
.p-il.quelq^une, quoiqu’on dife.qiie céUes q«i s’y Hifoienf ne cédoienten rien aux «
-depee qw. fe font, e,n Forez, Jî même elles rfétoient
m Ê *
du Rhône, fur le rivage- duquel, cette, ville e f tW e . t c s canons de fer fe fondent à Saint-
r t ÿ p r ^ L ’^ U v d i f î u s , d ^ 6 | ^ g | ) , / 1C
Ia mine. d’AIvar, qui. e t .fi doux, fi liant., quil ny. a guère* de différence pour le fervièe
: entre des canons..fabriqués de ce fer, & des canons de fonte. On enfait graud ufage pour
v^td^^d^iJt^l^fi^îëfeoaî^dÊiSâihéjeuKvaîïj
mais .que .les gen du paj ont fi bien .pris la. maniéré de fondre, que leurs ouvragés font
..fliirluts en cé genre, & qu’ils nont p lu, be&in de fecours étrangers. Il fiit- la même.remarque
a l’occafîon des ouvriers qu’on avoit fait vemr d'Allemagne pour travailler aux fias7,
^ 4 §Si{^Yi^il--Mai?ufkéttfra.d5% 14déploreJa.pertt^Eafce.fflufèlf e v e ^ lte.,h..-n,1.
.dommage de la Province & de tout le Royaume. Nous citons avec plaiGr ces traits, pour
- ^ e ® . v^ à ; ^ | ^ " & > ( v 5 ^ , i d l i 9 g * , à -X f t | r o ^ f e à a B e a u e r c ù f f a n t . 6 t o r p r é p ^ e L ^ V u e y g | w
.dans lpy.felfeiqu^.A^boratdKsyt^lvaE_deÀava|,.Meja -finale, j
de ‘^ ' g e ^ S 7 oe l§ ê® è ^ ,aéi‘Bauriere.&de Lamage II ^ ‘a^Srciqllîi.-dettManufie-i
tures de Verdet, dont M. Gu et tard a .^ ç f lf c ie ^ r S '^ ii^ ^ ^ ^ ia t maniera
mîs Pïgamol 1 CôpîAe,
" ar^rfit tro^éer^atix:^ éavirons de SrenoïdV}
pour,-fa;
recherche de difféEentes matîefes, minérales , une telrre
chargée de petits brillants, que quelques Mineurs reconnurent
pour être falins-, & il n’en fallut pas. davantage
pour leur faire écrire quils avoient trouvé un magafin de
Jalpêtr^. lls firent une forte leflive de cette te rre , & au
■ de tems , ils apperçurent des cryftaux. de
f e l i longuets, q.ui avoient félon e u x , de la refTemblanee
^ veG ce % ^ l . p ê t r e ; pais, qui contre leur atten te , ne
Vfufoïent point fu j|e |''c h a rb o n s ardents. On fit part de
ce fel à l’Aca d ém iÿ rdM ^ e n ce s .de P a ris, pour favoir à
.-quel genre il devoît être rapporté,,. & i'ufage quo n en
. ' | 4 uVoit faire. Ce f e l, tel qu’on-Renvoya de Dauphiné,
,;'é:téi'&',i:en partie une raaffe,* inditïinéte , blanche , opaque,
afTez-.' ferme : & en partie |fe tas de petits „éèyfia'ux trânf-
Gouvernement d e
' p a fê h ts'^ f e lM ï s - ; la^^ ^nÉg u lra tîo n ùâhifofme ni régü-'
' lierez M; 5BMÏq\ic ^amina“ ‘ fdigû^Tem¥n)t'î eet té inàtiere ^.
!" p jn c i'p ^ d e
' f e ^ S ÿ t o j t ut3
strayaiilé -bDa^ ^ la^âihu t-p.. ,eüeTm & n ^
terr.e, ;D^e|ç|^t3lGO£qpte à TAead^nie le i a N o ^
yembrq^a? de fes qp^ràtibns poù^^épouygr -l,es( pnn^>
Ia terre
- P>a% i^ ^ f tB jE ym n e r ^ i^ u 1a ^ ^ q u e [ fa -nature tro u v an t,
\ a v e c -&'•
terre »^eUe^peut du moinslau^.^blenv,que,
du fel de ces mêmes matières mi
î ^ de .'^.efiops , ^Membre de «l’Académie yJqjuS»
préfenta ce fel , &^qui rapporta q,uon le droit aüx environs
de Grenoble» M. ©ouldue. prouve.'..que,, c’eft ;un
I HH