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• toutes les.autres font du Diocèfed’Orange, qui s’étend de même dans le Comta't & le Dauphiné ;
la petite ville de Courtaifon eft la feule de la
îcatts vdpSë*SSÿ
t)S O ts v 5 jS^vV?vZ $ Cdj»'t d^MfycqL^EntteilJïc
au'^bai n.^tTe’ a^ljîltî's
jjfp|^^^mgE^^wtlêj?J«l',TJrQp'B^d^ml^ê^ai ■ X I \ .jj&ftSh^étbii. ftruae|^|
A jÜ& .]n<. jnilrHvfôKSl'Û^JMsy£h décri\antH^AÎmpffiE^®BH®^liquaj|
■ .& les .autx.es antiquités d’Oranges Piganiol remarque que la rivière d Eygues' ecoic autrefo |
»fflu e% taai’^ u irn k n ch iue^l&&r*~si i ! rd* iKaîdr t .
Maine, IH H H w S in iil» ’
j„Ee dim 1, "RI ôn^^mn-lltlp'aftK-ulltjPi F'IL'piociiroKleagjïmÎQs'ajî^^
idg’s au v. bShifins ;Sfe l, 1 i^fjxt-*porlforincuk j ’SIE.’ILm
de .la Campagnè, ainfi qu’à faire tournei diverfes ufines, comme moulins a bled, a ioLton^'
à huile, à faire de gruaux [ i ] , &c. &c. H ,
C e ll vers l’emboucl ure de la May ne, près la grange cta Lampourdïer, que ft trouve»^|
pcirt Ju Jlihén3^£a?lon déc. bai g k s Lu i'JÜ?
•eft'àrtaiê &eue 'de la n u n t* fr< ;^ku\ ^ .^ ’^.de
<Roqtrc.hiore, quatre Ni NW^jtlV^jfenun
S lfE du Pon&’^fit-Llprits'ïiVul du Montelinurf, divNVJS, 1 . d‘
t jj^ p jSm ^ éw ^O ï Ilc'l-Senou* &■ l^ j^eTpps^j^csà cier<
.InbïfkÀlilfenceSr par fe-à'uéesi,par >
^ÔJatuudé. 44y-r^^a>wétiÿiike amannu t . itii-l-1
lement, puifc^ukllettcotrtiknaioit^klfeanont gifd'ï]ul’gjj!S .quamei^de j l i^l^ aÆ ric^aiùuS-du^
que |ISK^iSM^dSHnomnlffimj^
-toifes, comme on l’a remarqué aux Antiquités.
- Cette uHe»jOTÆ&ffc|ar^tt.toùr V r. l^ ^ ^ Lm t t g y r ie ^ u u r ^ ^ ^ ^ L J-ianc - k
,i55üîbat'd'À&. le barafimV'Hît^fé?3BlieP& rf^SIreeq^dWlPuin e àü
|eu r i, j^m^?Rnn^SSS@wn^e. LaiPruiç.dË,'' lit
Hiftoire Civile .& L itté r a le , depuis la plus haute auti-
qùité-jafqu’à nos jo u rs , -fur les Monumens, fur l’Adminit^
tra tio ir E conomique, le Gouvernement Eccféfîaftique,
Civil & Miïîtaire de. ces deux Provinces, faj -partie Descriptive
, &é.<Si l’on compare-, ’d i s - j e c e s divers “cjbje'ts
avec ce qui a été d it,de ' ila'B’ourgogne & du Dauphiné'
dans Garreau , Piganiol, E x ^ l|ÿ i & au tre s’Cbmpilateürÿ,
jpn !; conviendra aifément que!' fu fq i^ i§ il *x$y avoit point
ériebrè^éuf de Defcription de, ces'Provinces , & qu’il ferait
à fouhaiter que l’o'nv ^ ^ r m ^ f î i x 'le - même plans* toutes
les autres Bro.vinces; cette -Dcferipti on ferôi't r é e lle
m e n t .un Ouvrage nationa/'l;$?ah Tait de là même manière
telute la banàe Orientale de la France ; favoir, l’Mfaçe^
Jta. 'Lorraine, &' les trois £vccAe!r7 les dcux'Bourgo.gncs > la
BreJJe, le Bugcy & les Dombest le Lyonnais, le Dauphiné
& la Provertce» I l feroit dlaàirafft'^pl'U's important';'.p’oué
ra/e décrite^par lapmême main, & d'eïmeme^format, q(ue .
l’Hiftoire dre cette partie du Royaume, réunie fort
tard à la Monarchie, forme une branche entièrement diftinéte
de, l’Hiftoire * de France? '& ' qu’on; n’àyqitj pas* ericor© -
dofirïè' dans notre langue', l’Hiftôire\dBd’» .uftïaïïe, & des
cinq Royaumes de Bourgogne. Il 'en‘eft d'e-même'Tde l’ïïif-
zoïne; Naturctte de toutes ces Provinces ^. quiVtenànt aux
mêmes chaînes de montagnes, s’éclairciiTent les unes pac
&;c.; ' s | ! !;
S Piganio’l dit dès moulins à gruer le blcdj ce tefme
n’eft ;pas françois_: ”hn>'dit'|^2i/'c daj gruaux.
Le mot d'e '^raaü fîgnifie proprement des parties, de
grain qui 'ne font que côncanTées.1, te l que le gruau d’orge:,
■ conftruire
D E l A F R A N C É.
conftruire deux Fauxbourgs, entièrement détruits lors de la guerre qu’y porta Raimond
f Roger, Comte de Beaufort, Vicomte de Turenne en 1390. Un grand Bourg appelle de
l ^ k L ( l i b ,, g ï p r u p j j . i U e ^ M n J ÿ k S a i j , t - F ^ t a a t ,
Evèque d’OSnge^Mtji^ ^ æ i d ^ eÿdladâ^ ^ ^ p i l ^ i r é k : ^ ^ . Bourg, aii&^niidSabll£
que la .flirA-bt^pB^ dans la dévaftation du
Vicomte de Turenne, & il n’en refta plus de traces. La ville fe rétablit,& devint florifr
lànte fous les Maifons de C^u/o« & les r.i[,0^,^ ’..fie Cnp^rla
d’une Souveraineté dont elle eft privée aujourd’hui [x ]. Le Prince Maurice la fit forbâ^’
' en 1 6 2 1 , & revetir des murailles épaiffes, & terraffées avec des foffés pleins d’eau de la
Mayne. Elle etoit percée de quatre grandes portes flanquées de tours s & défendues par
des demi-lunes. La premiere, appellee di ll/l/jg-r, du nom de la grande rue qui j aboutit,
& ft°rs de laquelle eft aujourd’hui un Faubourg de même nom, fort peup[é, & rempli
. d’auberges> Parce qu’ft e f t 1 rr 1. grande route de Lyon. On exige un péage établi pit
i e! Princes. La fécondé porte, appellee‘ Je »S’. ikTu/nn 5 d’une ancienne ParoilPe de ^^^ôttu
La troifième de Pourtallei oii;J& l.s .(pUtiJw^, du iftwaeatL f. 1 rnTe.in.^Jlf.i.ÿ
^ eî ^êjê^5Àbljrraiûe' kyj?r..( ii OU. il J
une des plus fortes pi ices d e l’Europe, mais tout 1 ÿr r if td x6ûo & KJ73. A ijourd’l: si
° range 3 déchue de toute fa Iplendeur ancienne & moderne n lg ^ , pi us^que^l^putfenki
par ion Cirque Sc fes trophées qui y attirent encore malgré le dépé-
''Au ra i* f a i l l e eft t r^ ^ y f’bâde, xà'àl.p9ffée-& très-fdüî'iplopfe^
> xlmic Ærtlt..^rac .nqtie.anlant^xi’arb rl^ ^ ^ y H l»
du Marché aux Bbufes & de la
Halle fituée devant la Maifon de Ville. Il y a quelques belles maifons de Gentil H m |
lP^ 1 Si > r“hd 'cJÆ On1
y compte, d’après M. ExpiUy, fix mille neuf cens ving -cinq perfonnes. par le relevé
«bu 'd^vqih&i^^|it^leS' gfaiûs mondés & coftcâités fefvèhf
». faire de' bouiUiqf'Di&aï^e1 dérive ce terme
à t'g ru tum , efpece d’épeautre, que les Aôglois ^nomment
W ^ r i è . î ) e ,
ifrit grutcllum a gruèïlùmi gmau>.LsfÆGk&^
Ménage eft“d W autre;|«ntim«£it $ jmrgbddrte que les Al-i
lemands difeh|ç|rirM ajoute qpe c’e'fi
un .'mottide l’anciehh^ langue allemande, d’otLdérive le
9 de
gruijca l ^cfufca ; ^ o ¥ yla célèbre Académie lii f l^ r u f c a
a pris1 fo n ln o ffl^ ife devlfç^qdr eft dm 'b l^ ^M ^ é c fà
légenaè;,^/ più Èel fior.me -coglie,
Alnii lM m o u f f lp gfuerllc. b le i\ dont parlqyEi^aniol
|o.uie
» ^ ' q v ^ l ’o^prépare daris'les Ero&nces méridionales,
, fi|*'<i'ü^^^^®riqueï 4e $ermichel3 les macaroru,^^Êâ~
■\agnes, dont plufteurs peuples fon t^^ rs déIicès.'"Vfoyez
^ Ê W à u r i A i K B M i f f t ,
>1 B H j ' B H c
'V I iS e- 1 t‘'~i-g ^
vernement jinxed/ - • & î i.
trouve to u t de qui a rapport m nouvel A n de maudre h i
Grains p ar économie, qui augmenteroit d’un tiers o - ^ ü tj’n ‘
^ u a r fîRW iT ji^ ïï^ tfg KgUDlei^. /iw
[ i] On a v u dans l’Hiftoire , tjue ces Princes y avoîent
établi un Par/c/ncnr j i î b . . , qui avoit pie i 3' J , ,,|L
dïdÈio n en d srniec refio rt, fur tous les lieux de la Eritf*
'" .‘ “' • ï ' - n I f r o » t d :
^ l*4l i’rnsUtj’TâGy* Ci 1 du©iiVvèi p la ’’k , intérêts
puU ic si des A v o c a ts., P ro cu reu rss Greffiers, HuiC-
ü ers & autres Suppôts de Ju ftice, pour exécuter fes
Mandements^ & to u t ce i < n ^ V ^ n p o i i la p u s