lA p o , âgé' feulement de SlutirCy fi^e “ e
l ’infortuné Charle I , 'Roi -drAngleterre , & de Henriette-Ma ie de France ; il nkut-quSm
îgls ’ i
3 1 ■ -n^' 'd ’iQ-F&ngc , •& depuis R oi etAngleterre, Ce fis
jpofthume recueillit avec la Principauté, tous les biens & dignités de la Maifon de N-affàu.,
auxquels il joignit une couronne. Sa prudence, fa valeur & fa conduite, le r ndirenc
■ recommandable, & lui acquirent.la réputation.dé grand Général, & d’un des plus grands
■ politiques de fon fiècle. Il époufi en 16 7 7 Marie d’Yorck , née le 10 Mai léâo . de Jacques
■d’Angleterre , Duc d’Yorck, frere de Ch; les II , Roi d’Angleterre, & d’Anne ITyde,.fille
du grand C hancelier, Comte de Clarendon. Après la mort du Roi Charles I I , le Duc
d Yo ck fon frere, lui fuccéda fous le nom de Jacques II : il fut enfuite détrôné & chalfé
de fes Etats par fes propres fujets & par fon gendre le Prince- d’Orange, Stathouder d *
jP^gincps^iâps^&m fat proplamé» Rqi 158p?^.&v mourut.{fanst poftérité
•en 170A. *
3 2 .... A pris i Ja mort <L Guillaume Henri, lIimccïd’Qi ange»- &?>Roi i'dA^'glJti.-rrç^
T,puiStXIV J j j h. /ailit Jors^^jjfPrgicijMÛtÿd^jjngfjjJ^ya.'reuntt ' e l^Ct lira uioj
comme momanle t_n fief hommagc-lig.. du Comté »de .ttrpyqijce^
$afer le iphâtêau Sc lç|'Fqrti£cauoris ; dès l;d ^ .^ ^ s ^ | r n s'dci^ûoprrÇivec lad fpllande.
Isorlquil réunit cetfe Prinçipauffta'la'Ciiutqpnt, lo-'Roi^dîknQleterie* ito n f iditut -pesu;
héritier Jean-Guillaume-Frifon de N ajpui-D iet{, qui prit le titré de Prince d Orang , uilll
bien q à e ^ e d é â è fi^ & m de jF/^^^penÉSli^^-liéritiarÆaul^^^ ^l^e .Henri-Frédéric
de Naflâu, Prihce^Oringe (V g y é g ci^dejant.ru 29 J) C . J1 à ^ t i t n ^ q d le Roi d*
pas fâchés de v<?È les raifôns dé la P ife , po u r croire à
cette; prétendue ^ ied i^ id n ,: voici fes termes ; ce les pré-
» dictions de Michel Nojlradamus, l’un des grands Af-
>j trologues de fon tèms, ne font entendues qu après l’ac-
„ compliffement d’icelles j ce qui a été vérifié7 & left:
» , encore journellement en plufteurs grandes occurrences,
33 tant en Provence qu’en la Principauté d’Orange &-Pro-.
3, minces voifïnes. . . . J e puis bien affirmer ; pour ■ chofe
» très-véritable/ que' „plus d’un an & demi avant la mort
» de Vaickenbpurg,y& avant qu’il fe parlât de de Knuit
». à Orange, je portis à Yerdoes & à Montens (C o n l-
33 miiTaires députés du - Prince ) le-Livré' des préd irio n s
s» dé Noftradamus, & leur marquis ce premier iïx a in ,
» W 0 m t 5 > ch. i l . ; -.
»Celui qui la Principauté
b. ■ » Èetànt par grand cruauté,
i&Pfg » A la fin verra grand Phalange, .■
. » Par'cQüp.'de feu très-dangereux 3
» Par accord pourrait faire mieux,
» Autrement boira, fac d’Orange.
33 . . . en la ‘lecture duquel ils furent merveilleufement
» étonnés, mais ils n’eurent garde de le faire voir à Val-
». k en h o u rg , dans tin tems où -ils 'croyoient mi'eux de
à» l’accommodement des affaires ».
L ’Hiftorien cite un autre quatrain de Noftradamus fur
la- maniéré dont "d.e ’Knuit exécuta fa com'miffi'ên’j-'m'ais ce
quairain paroît mieux convenir à la réunion d’Orange fous-
le Roi Guillaume; je le rapporteiai plus .bas. Le même
Au teu r cite en. note une autre prédiélion faite à Val^t
kenbourg ; mais je ne puis- la rapporter que dans les propres
termes de l’Auteur. «O n raconte encored'e.'lui ,. que
» fa femme étant fur le poin tdes’accoucher, i lcon-
•»/iulta les^ftrès^^p ^ i '^ a p E ^ ^ à elle, lui dit qu’elle fit
a» ce qu elle pourroit pour arrêter un peu l’enfantement;
». W 3 dit-il, f i c’efi u n filk ^ U fera-pendu i 6 - / une fille.
» eliéif&tâ une- P. Ce* tems ne peut? être retardé ; fa femme
» s-’^çduçhaCdxî&^^jl^^^^éfle devenue:en Sage ,Aa été
» aufli célébré au meftier de Yerîus^ que jadis Lais en
» Grecej ce qui a été vu & connu de notre tems,». :
[1] C’eft à ces événemens:qtt’,qnyp,q^rpit'ra'pporter.avec
plus, d’apparencede fécond lquatrain' d e ’Noftrad'a/nus cité
par la Pize;, fur les circonûances de la mort de Falken-
b:ô;ur,g. Le ïvoibi,.$ | | §
■ « Un dcs,Guifcs vïchdra proche du Rhône,
» Deux Bourgs feront en grande défolation,
; ‘ » Roi choiera, Corhtè(rènÿerJji% T/irône.
On voit que le dernier vers s’applique tf$Srbien' à là' ®n?:
de la Souveraineté d’Oratige j c*eft du moins' comme1 cela
: W ï ï : ï F R A t f ' i %. m
S r i f e * JÏ fu f " fl r 4* P m-
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^ ^ i n U u i ^ i 'i im f 1 p r i t l q '« / . .
"pcir q j r
Maifon de LongueviÜB, qui voit toujours réi lamé & prétendu lès diofts.de la Mr foh de
Chalon-Ofange, obtint par Letues-Patentes du mois de Décembre 17 14
il Or r% ^ p ^ 11 î}8 de î\ fiitî, R
1 ^ t v
f iï t e x ï “,' l ’jrvic èuiTY27<fr«^î!â ■? Û1^>1 '23
^ 7 3 1 > r ’r l^ ^ i ’mÎTi il u â j I M S b ^ <($(* f m m
j© ^ ^ r i-n y & .p jl le«turéuFédu PnH ^li&f 1 f d o r ï^ n c fe ^ 1 Iîi{‘ndfnt Ôî
eut ordre daller a Oringe, où il arriva le 22 Septembre de cette hiême année 1 7 3 1 , pour
' , ^ f e *V’ i à î’M ' V i
alors v e il t a la Province dû -Dauphiné>
fa t i eul
’fe l* -i ^0!C Aisiennaright bëaïïoehp, f f e , Itejjdu, tjîiSiSS K'fT H K H m
la-iBrahôipâkit^^^&iôi^f ,pu&quesfeivant M.
qu’on l entend -dans -fth manuferit curieux qui ;efls;ëii ma
les; Centùii^r- d é ^ j f ^
damus<3 (par'les\détaftsVde l’H ifto ir^m p d èrn ej|ù i€ éu r fervent
de Commentaire» On dent bienvf^iè' qe^më-'çite pâs
'qü’il eft ? - poiir
^ ^ p ç ie s ;de'^ Noftradàmus, -&■ des ^Mëd^lcms prétendues
iqdiftDëiwent encore mieux s’expli^dér i^aQûx'mè^acres-
if O rd '^ ^ f q u s le règnç-;^ ^ M a ù r | ^ i X . Mais le n d i t
q ü o n t cosAjirôphecies dans le p ay s, èc doht. oii verfâ desr
exemples'frappants*'aansvla 'Æfctipiionl'dei' la0>rpïcnce &,
du .Comtàt Vtn&ijjin, ne mè pernie|tbieht pas d)e ïès^aflèr
fous^ Clence. Ces for tes de prophéïus\ ' étf1vÉ,sî'^p5^és fi-
chefs *p'af üfta^e^Ws ‘R o is, t^fëfeïbleîftl aiïèz ^ ^ ( ( 3'fafeies
des Anciens, & aux v e r s S y ^ | ^ t ^ r a é s ingémètdeihent
& à deflëin-3-fur urii^’c^tïbiflà^ce profonde de l’état des
'chofes. & de l’intérêt des PuilfanceSj pour préfenter dans
dés' vefs.'pbfcurs en. apparence, plufîeufs douMes féns
applicables aux éVénemens futurs, néceffairement prédits
par ce moyen ingénieUx. G’eft cb ’quir. ^ :ddh:rié: tant de
|prix & de vogue aux Centuries de Noftradamus , qui h’a»
fe.
^ ^ ^ ^ ^ ^ l ^ ^ f c i;;étôisv ^ !co u ra gé. ’ 1 |
Si^a^edè|ji
- Racés de Souverains',
' * bf^ckë j appëliéè piqp|ëmeht'd|è^^|*'
dyf® ^^^Mlfeaf-nïes
-o’à feÇo'^. d^ulï.es^
d’o^ü^
’fiaf’mariage JehsM^ / dai^% •
1393* Cette ^feeondë^-bjanéhé^ portoii pOiir armes «ne