3 3 2 D E S C R I P T 1 ü ' i
■ Bédarrides, à trois lieue*N.N. ^*<IWaHSropl5 lc lu l’ ot l^metait'iÉcSM'fcc/iTnriïî^^Sf fèa
Baux, ilL-ïf^nf^pdrt^a^nç'bf&'ntJÏÔ
Cadetesdo^-îpB^itm ud d j ƒ 11 ilquïïRiSns«l^icÇnlb- dosj^dcu me Gt inu'SéntxIi 1
^jâjà. Ro s ■ *'<-"d ë/dl'd \oIl!^^c^‘(2^^^u^^c)TcMWOÜ]uiJT^ci 1 toïïBI's &.
des îuinesîdutaiît lëiï^>îfeî^p:Wle^t«"derr ê l ï g ®
ElJe c!l\ in^-trAüoriilkÿ^ï'ousdlàKMfc-o'ui èrriemènt dejjBffljsfêSîn, qui^fif réiLb‘lir<Us faliHes-1!
tu r 5 7^ [ 1 } , ce toi t la ville d rc.tr nu. ^urâ^rluroÏMËIPfiÙi^t dans ’Ls téf^Ut^Bû'blui ic
des dilîèntions civiles. Elle fe diftingua par là fidélité envers le Prince Philippe-Guillaume,
J(oil^^to£^lufle.diP&ingtl,pa®fâ^K|^^^^ffi)O^Mjfdîfe1^ 'p ir'J^îieliMl'tnfrr àsUlmrih/16
zenJLoi'ijw \1 'nuln cfâSf)7?eGuhflimer j ' e u 11 e<&K^fâ^nîîcii«5n.cc, de>l'ankcli1 untd?
'ïcs fel J^ S lîf t â n s . &c‘ l’ ig.inioLcompte Jîxs^mJbïxante^hai'iî^^S®o'tj.itb.&zoh ^taais'M. Ex-
3Ul|F|ÎF tet<Are çt lim s j.er/g^ei'^Se pl
m l neuf cent foixante ha.bha.iis de tout âge & de tout fexe à Courthezon [a | : on a vu plus
haut qu’il ne comptoit que dix mille âmes dans laPrincip raté , dont fix mi 11 e njfflÆaiSyvjT^&
cinq à Orange , 1 1 ........................ . -1 . *.^S-J? .•
mil neuf cens feixante à Courtezon, ci . . . . ; \ .
a t A i l S t l l ’ :
Il n’çnii.lîcioit pîu qui. an l c m a u/revout iB ^ lî j i î t L de la U^yÆuR1 o,ur-
‘Wnpntjcx TiPiàu(LnS<'désj ^ ^ â ^ ? dn
S'tnir.'ii naquit àggggj|ij]|§|ffieii j»
P. R. a Grenolàlt. JoEpJi lin ~niRi"Minitli
dut écliann dans un d. l^ S em^SifliiJom^tlù'Lfc&mittiuluTMOUi ^^lort t^ fc a ô JiilE w
!ln l )t l.v’ il^^ll^vnî^n^irauroii^rannTrurï^feut^Lonüs
;wng(-fepi j i s uiivJJjuoiWlt dt. Tant laine &. udt
L ’Amnnumlme lt rehdit fùlpedl ; 1 eLt^
abondance ; y ayant pour c et effet, des Salins établis*
Dans I ts^ ^ ife iJs du Jurifconfu'ke de C raveta, il y en a u ii
touchant le fel de Courthezon , &c. V oyez fur le phénomène:
de> çë pe tit étang Jalé 3 au. milieu des terres y ce qui
en a été dit. ’au ' § p récédent, dans- Ÿ'HiJIoiré naturelle d'e
cette Principauté. '
M r fâfc N ous croyons utile de rapporter le-^aleMi d e
M. ExpUly ^mhi. fervir d’exemple,. & non pas de .modèle,
« ' On ’con^tel.à^ourtpzomr qu^eü cens trênte-fix feux
9 ou familles , ce qui fait miLneuf cens foixante perfonnes
I aTcde tout4ge, & de .tout fexe. Depuis l’an 16p i jufqu’en
» ► 1700, in çlufivem ent, il eftjié.ttois^r^^iafjintefiih racles
yy & deux cens>cinquante 'trois femelles^ en tout t cinq
■ » cens quatreving^ quatorze petfonnes. L’année commune
Mra ^^èSrt^dri£e^i7Ïet^.na^dnceis, plus<dç.ux 'cifiquieme^eit'
I cei nombre fa r hiouis • trouvons
9»’■qu’au, premier k^gpvier.'17051 r, la mile de .’Courtnezon
„'tétoif peuplée d^mil qq3.tré;'cens quatrevingt-cinq perfon-
» nés en trois tens quarante feux ou ^milles. Depuis 17 7 3^
. foént
lucre., du commerce de Æ femme avec les Gouverneurs^
I l fùffit de lire ce que: raconte cet Hiftorien^de 1’odieufej
tyrannie de & de fes complots1, tp.Qur'lïvrër
la Principauté à celui qui voudront -payer fa - trahifon \
p o u r vpif que jamais rHiftozien 'n ’a été dans le cas de
^fé louer- de ce Gouverneur. La- maniéré dont il raconte
fa fin trag iq u e ,,où il courut lui-même let plus grand rif-
q u e , i ^ ^ K B p ^ r d émen tir' ^çetîe anecdote fcandaleufe.
rA l’égard dev fôu- h iâ o ire , on en peut juger. ipa^JL’extrait <
de ,çe gros, zn^/o/io que j’ai relTerréi^n^üfl^ues pages, &
d o n n a i relevé les e rreu rs, quand il s’en préfentoit. C’eft
ninlï ^qu’une ic toutes les Provinces feroit le
rjmjQyen Jefplus a flu ré , d’éclaircir l’jffi/Zoirc de France dans
le s plus, petits détails. ,
^L’Hiûorien d’Orange: remarque au fujët;de Barchon',
que ce Gouverneur habile , fît faire une quantité toro,cur '
j3èufè.;dè.^ l ^ ^ ’étang1 du -Courtffe%ptfji. dont l’eau eflù&léejj;1
comme- celle de la meir. I l fe" -trbuyé , d it- il, par 'des '
anciens arrentemens qu’il s y eft fait autrçfois; du fel !en
- L 2 3 3 '-
qui le fît venir en France en fa maifon de Germini, où ils difputerent à outrance. Enfin Saurin
fe rendit & I t abjuraûon entre les mains Prélat le . i i Septembre KÎpo , ÿ | ï de' ^1116-11^
ans. Il f a reçu à l’Académie royale des Sciences en 17 0 7 , & mourut à Paris d’une fiewt
fetargique le 25) Décembre 17 3 7 . On a d^||iÿ'lir(îeiijrs.favaiis écrits dans les Ülén uqqs’®
r M r j y 1* '' 'jm r !îty 1 ' ^ 'r“' I ' m | f l
i.im.’^ i di K
mais le Parlement le juftifia par Arrêt du 7 Avril i 7 r 2 , & bannit Rouffeau du Royaume ;
H m i A r 4
p esf^ s ÿ ' i f 'Wi mi
Jc,N(ÎUIERES, gros Bourg du Diocèfe & Recette d’Orange, Patlement &Int( r 'd 'n ^ 'd j
Grenoble , fitué près de l’Ouèfe ou l’Ouvèfe, à cinq quarts de lieue S. E. d’Orange. M. l’Abbé
d 1 Ce Bourg entouré de mu ,
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( WÊÊ
auiît éprouver à bes liabitans toutes les! brreürs des guerres civiles Aufu. plus tous ces dé h *
^CT n a il1 V I^ R ^ a ^ ^ tolre
Gxgondas > Bourg du Diocèfe&Recette d’Orange,Parlement & Intendancede Grenoble,
limé à quelque diftance de la riye'gauchi del’Oueze, à deux lieues S. O. deVaifcn,& trois
E. d’Orange : fon terroir eft des plus fertiles en grains, en vins, en huile d’olives, en fruits, Scc.
M. Èxpilly
r& fertile fur la rive droite de l’Ouezeà deux lieues] . S. E; â’Orange
érijîc Jn JMarqraüc j S
faveur deBouïs de^/uiçens^Sviaûléün [|i].
J> jurqu’en 17 5 - incIuEvement.Ueft né dans la meme Ville
" <l“ atre B H H & trois cens c , H
ln.it femelles ; en to u t, fept cens quatrevmgt quatre
I P^'-Connes. L'année commune a donné /o& ^ r s
» »ai/TeacM. *«a- de jaiem « en multipliant ce nombre
a par rin ÿ c-d n j,. On.ttouye qu'au p rentier Janvier 1763 .
» ceite Ville 6toit peuplée de mil neuf cen foixante per
• fonqes en quatre cens trente Gx feux ou fimilles. Par
» conféquenc la .populafiod y eft augmentée de quatre
” cc? | faisante quinze perfonnes, c’cft-à-dire d u n quart
» ou environ *•.
’C e ttë a ü g ih é tM 8M ^ 3 Ï t'^ e plus
de mil trois
^ ^ ^ ^ ompte foixante h à qW m
Pa s *-en. co^è^l^dele- d ë '^ t ^ k i £ o ^ i ^ i â '
Pî^àM®^^^mÿdir l’ii\4ër4^^^me-^éè^ ?çaicuïsi
I H n B
;f^p p ° iré d é e ' en
fils Pierre acquit fauti'e partie pat'fpnv m^fia'^e avec Fi an^
çoife |-fille &' héFitièîre dé Bertrand de Mauléon.
BartSlUdéÇf^â»V/^p^l|m9iîèc les armfes ds'ïtàanÛon^
N n n