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c ^ f a t i é r e inflammable | a ’é l/Mté l|&-< îknt’ par M. Güettard
‘ ( T e f t Tvué au'ped d^ la . moÂ'tagne d&’Cotab^mi&^oüC le coïp^
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’de VAcnago ckf-lmu de la t t Jw Ç t fw n ie '
• ^^J.1iAwad'duetb‘ de
que dès flammes partent à travers fans s’éteindre. L ’I-j™'.,
t a tems obfcur & fombre, elles s'élèvent avec plus d’un -
pétuoflté qo’en été. L ’eau ne s’échauffe p o in t, quoiqu’elle ‘
bouillonne à groffes o n d e s, & quelle fuit couverte d u o
feu qui lu i eft p rêten t, St qui cuit des oe uft dans unjpoele.;-
graffe St tro u b le , qu’elle contrafte une odeur b.tummeufe &
‘fulfureufe. N ’eft-ce pas une m erveille, s’écrie .Choner dans
■fon enthouflafine, que la nature s’écarte ici de fes tant
ordinaires , 8c que deux ennemis aufft irréconciliables que.le
feu & l’eau , femblent fe catreffer & défirer le commerce
.l’un de lHutfé. ,‘ ' v
f T allô folltas oUiltis ficdirc lires,
JTohàt unhelance germiftis igiùtm m i t .1 ^
' ■ [ t] M Güettard n'ayant.pu voir par lui-même ce feu , a
publié un Mémoire de M. de' Montigny, de l’Académie
des Sciences, qui fa v iflté avec M. de Riégemohtc, le xS.
■Septembre I 7«8 , Sc qui a 6 it une deferipuon d é titll®
|dnj’Toca'l,desenvirons .mjftsdéfrnit
M. 'de- Foatenelle , x a iW ^ ^ I S r m lAcrtl.
, ' i e * ' ' 1
J 7tna en périt. La vapeur inflammable qui s’en exhale, eft
probablement de la n ture de ce es qui élevent des marais
d o n t on a remu es boues & qui s’enflamment l’approche
. d un corps enflammé. M. Volta a fait çonn'oître la nature
A a ces vapeurs inflammables des boues de marais par un
ouvrage rempli d’obfervations & d'expériences curieufes ‘te
intéreffantes On litauflidan le Journal de M. Roziçr po u r
J u n e lettre» d’un Officier. q td î^ S i t le terrein brûlant
d u Dauphiné qui s’enflamma cette année. I l prétend que cette
vapeur n’eft point.chaude dans la terre ; qu’il faut le contaéfc
' de l’eau 8t de l’air , c o r mê lé pyr jp h o re; que cette apeur
inflammable eft foïm'ée par un mélange départies fulfureufcà
& vitrioliquès ,,telles que les effl'orefcences qu’on remarque,
dans les pierres feuilletées des environs, qui ont pour la
plupart dés empreintes .dtrcoquillrs & de cames , 8cc.
D Ë L A P R A N C Es ï '7
ïi&.ïoebér' ifeliéle. Gès elpèces île Cuves font. yuides touffe l'aimée, St on !m trouve de
ïe n que le jour des ;Ï1 ïs; le lendena in on ne 1’) voit plus, fins. qu’on puiffe imagiiier
par ibS l'Oetlët eau à pu venir ofc'sîëçbap^èti On en tire un preiàge sur de la fertilité des
ijierijES [ i ] , «Je ne.vois n'en là , continue JfI Iin-orien, qui ne ferpalTe les forces de la natures
» Les Sav'àns fe-.ïêà^ I^ îi^ u é s à recbercher la eaù’fe de .'cette merveille ; leurs doutes ont
»■ augmenté les ténèbres. Quel ofyrit contluit ü ’fidèlement cette eau eu ce lieu à jour nommé,
» pour fiè à ë u 1 or iele sûr| 2] ? Comment,perce-t-elle un rocher fi dur? Comment difp troît-
» elle fi-tôt » ï La crédulité, les 1 i(Fes traditions , la poélie font bien plu ;,fropres que la philo»
féphie à trouver les caufes de pareils .phénomènes. I es bonnes I0 fâ du Pays.montrent encore
dans cette grotte la chambre ubl<Hÿu35B,ec ALl’i iin.^, ino iictlu.n ne & moitié poifTon ,
^.laïufelle’ Ls?Ma!iqn»îli^llie: 'de. S dcJ up^tf11!
^ggipc?;Gettc. labié p^êtoit ti jfcàüUtyo^BM iviui.^iUsI^JvSnk d ^ 1
de &n Poème. Mais les Cuves ont ceflé de prédire, fuivant M. Lancelot, depuis que les
'îte,£ns Ifjjÿ nu.tterît, pluiÇTe 1 jifieilaa^Æt-et1 t a i n ^ 1 " ‘k' 1J1
le dcj luM^. 1 cS.f’llcallOlLqi l-l^t-CO^ip.lgHe. P
Les prétendues Pierres frécieuses.de Sasskkagi [étpientibien prqj res à augmenter la répu-
tati an de ce lieu, dontnous avons d inné,la vue fous le ne m de Ptétiojie On y trouve 'beaucoup
de petitesgierïes rqqdes ouo^ilc«, d un'gnsÿjblc'ui d-ui^gMidépoli ‘Oîî 1 ® ® ® , sj»
sSÿ:i 1 r irrbM .1-11; \il(int~ p'^pri^s u n Irrip.îrc s i rd»rv.VjLU^. As’iu^tldieiil A.U^w.yCuI) AlUl
d^islcp i)S,>rourj îdmnpr 1 nt de Mu\alkj*p-pl iM Lanceloc rcn^ iu^ ifli^ ]e tsthA^ ric^
res, qu’on apenfé, mais à laux, qu’eUes pouvoient être les pierres d'hirondelles dont parle
tEluic; &.jqUvtfi,UlvSiguciillviit l,s maux dv» ) eux oH ^ u i^ t w vue' ,c ? ; n
t i ] Plus Ces:Cuves font ple in es, plus Fannie -doit être
abondante ; l’une pronoftique pour les bléds, & l’autre poÉz'
les vins.
» V Quove repentina magis oejluat utraque lympRâ $
v JSpiàea fiavehti magis area mejje laborat •
*v>■ • Spumojoque magis rejiagnant prcelaËiceo.
[z] Ncc unde fiùat fubicus liguor 9 accola quïfquam -,
-1 0 Ca7r« 72iraia/7zporaf2r.côgkoj^^^cqusa. .
Siye cayernojVsfinclufus caunbus aer,
; Solvitur ih lÿtnpham j dum frigida bruma1 pruiniy \i'r
Horrec , & extremis fefe" câl'or 'abdit in antiis ■ ■
Indeque tempèries portenditur ubèris .ahni t "
Cum natura fuas obferyet provida leges , .
; v ' Etfrigefcat hierhs ? tepeatver i fçryéat Àfîk&i
, ; Siye liquefcenti'Jïlices, humore fluentes'i -
y&ùmpjuyii T'itânpiYcûfrit xorpüdCàpri,
' Irniguos imbres tempejbatemxpic maligni
hideris j expertem fdujlo velue omine fîgnani t
Siye Palejlinis j Aocre/npore «flfutr irions 3
Edidic Ïrïfyariis C/ïri^üJamirflCK/àxrerrij 3 ^ ’
W*[y' jddyeniWhyy^&ca T)eh..* • : ■; s'
, [ 3] On verra dans, la Minéralogie, ,de M. 'G u ép ard , là
'â'efçnption de ces ùaW$ 8c de to ü t ce\qüifa rap'por.t à l’Hif-
}■' |o tf^ J a tu reU e des environs .de S a jftn à fe ^m ]d i ^ ’liux*plus
ÇOUTERNEMENT DE p jïfPm NÉ^
fameux par fes bons Fromages que 'p a r fes merveilles:
M.‘ de F . L ieutenant général de Mo.ntélimart, a donné_ dani
le Journal de Phyfique de M. l’Abbé Rozie£-, Septembre
,11774^ une défcnpjion.détaillée des'^rt)rr« S affenage, o ^ 'ÿ
il y a , indépendamment ■dés Cuves & des p i e r ^ ^ ^ K i g ,
lloMdfe^le
Préface, pag. l 8 & ïÿ i
[4] L e Pere Compain Jefiiite 3 v eut que la nature ait rendis
ces p&rr
yeux des Allobroges & des curieux attachés à la co'nteïn^
^ J i a t ib n ^ è ^ ^ d e t^dfesfî ^aîëSb ., ^
Mima'üm Wdtura parons ‘ac-'d%da[ùâèrurri $ .
E7r quoniam Allobroges, tôt hdtient portenta tueri j,
Wï ' ^NorPtdfèànt oc«& qud medeantur ope. .
'■ ll^ I Io i t bien qqè5qes pierÿes précieufes eù'ffén^üftévdrl-:
•glnë aulfibêÉ^iiTè qjie le refté ; auflî Salvàing de
n’a pas manqué de dire en beaux vefs qu elles^font dues aux
/ézf/nej queMsr^ÿÉùplies dii HèuT|Uvserfepjt fu£ le malheur ~arrivé
a p liio n s , 1 une d’elles, qui avoît é|é violée'" par uri
HerGùie fatj|ii;é du pàïTage des Âlpés j
" & fe"repqlànt au bord^de l’Isère , appeiçut ces Nymphes ^
te devint amoureux de cellôfqü’il^ p ^ q iq 'd ^ a rlâ 7.c ^ i« i | Va S