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vée-ae petits -tubercules , ^ïHe^petiyeBt 'être lestantes ;&- . ies pierres gravelenfes ion-
t e pari s aux, & donc le fortement a enlevé -les partie H H M H g
f a i l l i e des p ù n a t t l dures. Il dk q ^ I a vario&é «1 pierre qui app Loche de
A p rè s leQ u e y r^ o n tr y Æ l i / % J ï ’ &
■ quantité d antres petits torrent,. & où il y a trois font « e s «nérafe^: > purgatives, & ferrn-
-gineafes Le d pôesr qu'elles forment a i-deffous du plan de Fad, peu éloigné t e'Mont-Dau-
■ ^ ont élevé’ lime maffe dmeini&dons .de plufîears p îds d’épaiffeur, < ù Ton trou.
h ufieurs corps incruftés corraue ^ p om m e s .de Pin & de Mélèzes, des .branche d’arbres,’
de plantes, & autres objets'ÿopr.es à orner.les cabinets des curieux. Cette montagne du plan
I Jf i v c$m jL& 4 m m ouvert
<jès c rrieres conCderables, & qtraprè s t e plâtrleres elle, eft d’un fcldfte dur, qui ne fart pas’ .
’effe.rv.efc, ni, avec te ad de s. Les montagnes fuivantes font quartZè a f è | , | | l^ r fe s , & quelquefois
calcaires ; tels que les rochers voifins de l’Abbaye de Bofcodon, qui renferment cette
pyrite cubique jaunâtre qu’on. appelle daps le pays dés de Bofcodon. Embrun eft fîtaé cotm- ;
meMont-Daupbin, & ie château de Qüeyras, firr trn monticule de Loudingues efearpé, au pied
d i M, a t S ..... Guillaume, & a
tagnes ^
André où l’on a -commencé l’ouverrare d’uné cryftalliere décrite (page 1 5 5 ) . Les hauteur®'
font couronnées de quartz en rochers , alUeflbuï # p b Mes pierres calcaires qui poli
ntfar dufehifte &c ttard termine ee long Mémoire
p;lr la defeription de Gap& des environs ( W 4 J ; calcaire
avec laquelle ils le confondent, & qui n’o f e nt rien de bleu i®téïe|à^|ft; Minéralogie.
1 défit de l’étudier 1 11 main , dans l’excellent ouvrage de M. Guettard.
<.c t,.ouvrée
que nous venons d’en faire. Ü eft terminé par un dernier Mémoire encore plus curieux
enDauphiné des enefiere 8t autres .peÙBnftenciles ; d’autres
d’un blanc cendré tendre & d’un grain gro lier dont on fait
des poêles au Village de Saint-Venin où on les préféré a
celle; de fer; d’auttes ferpenfmes font d’un verd de jade très,
dures & propres à prendre le plus béàfi poli. Une colonne
de cette pierre fi.commune dont on' ne donheroit pas cent
francs partèirfuelle ferait du Dauphiné, vaudrait mille écus
C elle étoit trouvée en Italie parmi des ruines.® en eft de
me ne dè 10s | anits.d'c'nosma br ait êtres, &c. Quan i
la France ouv'riraét-ëjle les' yeuxila^les richelTes que la
naturelui a prodiguées î Quand fendra t-elleque l’emploi
de ces richelTes ell un m’oyen de rendre utiles, quantité de
feiné t qui l’inondent, St de foultraire à une punition
fourent trop févere des hommes que le befoin force à vendre
des denrées utiles ou nécelfaires comme le fel, m is
dont le commerce, eff. prohibe.par lteLoj? Les mines1 & les
carrières, offrent de reffb es durables à l’indultriè natio-
nale, MeoÆpàieowÀ’' ^ ® ^ . ' I* aKe Peut aïoire“
ce genre; càr-fiion1 enlève à l’Italie fes.ca ri rés de i bre
de Carrare , ellueft. réduite.à fes pierres .de volcan-& à fes
pierres calcaires ordinaires &, communes.' Gefl par c tte
raifon que es Ro 1 ins nt dépouillé l’Egypte ■ & la Grèce
dès nibrépàux les plus piécicux en cc'genre. L . Fi ance qui
renferme dans fon fein toutes les pierres, de l’Egypte & de
lia:-Ç'tècè,.'déddignc fe : propres. richelTes. On y cherchcroit
plutôt les moyens de faire des pierres faébces pour, élever
des monumens .publics , queÇèux'd’exploitcr les' Serpentines'.
2c les Granits qui y font fl communs. . .
que
D ' £ P ’W-Vi4 F R A N C E , 49
^ables ^ p ^ ^ fques p ieM ^ pi% faux :t &
sun lÿîo iliLs'q n u , . \
iffl^»leslf&; dutiest^^^HS|@Ÿânpeli6l^^mîCT©int
met'PlanGKes^raveésiaèmBgSxe -ali DàiïbL^ra^^anïag'çunffij^dSfed^yæ-autreâProvinceS*'.
Mff biaiiLSigt'tl.i -lr**?:' 1 - t'111® l%^<ÿ<sâui.vâ"nt/.:.
;meffimcerid p nwifopre i pimt^t lwaumCt^. f .;i|
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KinUcllu J'ioi ^ 1 l . m s 1^11'''ïfiF;!
tra^^LuîblLiA'h'uilIiii^ une eiicrie t,ontinù- L l t 'iv i . les fr n j'lcS-t,J' es,, 1 1
^TS-ntsÆl^ > o ^ ^ ^ ^ ^ ! ^ o l i a iE ” *j^ïï^TyuBCT^7uil lU i .ait ui.pii L-dt,'l-it)tViL.v T.. iiio.i-
, il i 1»11 ffiiin |Sdu«13 UL.rlii n ' , a lliî^!?r^i”v‘|t.p?viCt” Jff
, jt^iiSiyiA J tri 1 t-.ilÙ'un A ons du^uCiuy?îvtj4iL jjL iÿ jl itfpr-11
CePcutl'’nt l^s Jlçuiv j c j ^ ^ tjit-dL le •rt£llE^ i n iïJ^L' f / . >..t & les^A V .« J^\;,p ..rciilk n t en
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.qMÎliuni, fl-Si-v.J1 uLlles iSp.iouva;! •tl’j^ü.'n tL l rte ru ^PM o r'L u r
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B^ÆgUBqiii Æ ff l3lit.e. c y tjiy tç 'ti ^ J s UH L urs
j ^ fi^'èMS?fefêmcc. .& le^VeUXitîlbillçSyLuntanplt;rtt,*j!\ tuJu v tn tp i înTlrSçlt'i'J. inr'Kipie
@ l 5 ’ttl|i. 11 Ar..nrd^ u m nLi ^ uHartTclqfflir^iTl^^^^MMiigtSl J/fl 11 [s'\1ï 'tç" uU)i ift, T
tagno de. Zc/i!»lsj3|ii||i^ lL t î . ^ t S r ÿ g e .» c lu & ,R ^m £ 1n i . t Y n iy f f l™ .t i 'n ^ ’J k ^ 'i l J S j& L r C i ’ ftfrUiinî'
& lp'^KrOT^fi^aflMenYovenrlmrS'bëftiaii.Y paîtra ^ e . r ' ^ $fn*Tirn p n r u n pareerrô
jjjjSSglB reiuit^lne . L L L e jT T ^ T u t^ ! ^ 0 ® î f ? p B s tb tl I ^ 'ti c Ua plus ±
[ i] Chorîer dit que la montagne de Lens, à cinq lieues
€è®a^te.dei!BC-.èj%eces de ' Renoncules qu’on ne
trouve point ailleurs ; l’une à feuilles de langues de ferpent,
l’autre à feuilles de fumeterre, ayant toutes deux une fleur
b'fàriche d’un éclat ’ extrêmement vif. I l ajoute que Gaftoni
d’Orléans, qui faifoit fes délices de la B ©tanique les ider nier es
années de fa'vie, les envoya defliner fur lesvlieux. Le meme
'Auteur parle d’une étpïtc rcrrç/Zrc qu’on trouve fur la même
montagne* Comme i'I nté^Ctîpas Botanifte, il faut citer fa
'jdefcripdon dans, fes termes mêmes,, pour convaincre les
É p lâ éù rs par cet exemple de ri'gn'oÉànce^d’un homme de beau-
coup d’efprit, combien la fciencéé'quf^p'rend ^ ^ ^ S u oilcé
,& à'diO,ihguer les plantes,par leurs vrais c'aEaÇtèresfj' elt.ûtilé
& néceflaire. O n prie' de chercher fur la Defeription de’{Èho-
G o u v e r n e m e n t d e D a u p h i n é .
rier j ide îqirèÜe plante ÎÆâdatou lq pfrjjers} ce fera Un problémai
k s ».,!> É to il e TERRESTR^^ftsenc6j;^plüs-,admirabji^
» p a ^ ^ ^ r e g a r d è tit - ‘ l^ P f6 v e n ç e ..^ E lle ^ ^ ^ ^ ô rm |f
^ ^ ^ Mmgnoh. ên naiilant : peu à Lpeu. êllefs’^m ce;.- & ,i
» mefure que on jen yoic^ôffei^-yâwq.-
» petites feuilles fi déliées 6g| ^ jaëu||dl^^^^:qn^ fe m h I a
■ »' d^b^.Êdudue.' c^nleftfqu.efci^ l C^otlë ^aEâigne^ ^ élfesixqnC.
m c-et- avantage . qu’elles 'luifent la .nuit comme fî cétoient
des étoiles j & de-là les aTt^foâpT^lé^^oî/cj tcirejiresï
. . ^ . 0 n’efl: pas néanmoins d’une firo.ple lueur : elles æ |W j|.
»- vraie lumière, à la fa-veur de laquelle il eft même aifé dre
» lire. En vérité cette merveille mérite notre étonnement w,
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