l>. ITN OR DE S E P T EM im i;.
d u v e l c o t o n n e u x , à d iv isio n s la n c é o lé e s , a ig u ë s , jilus ou moins
raiip roch ée s, alternant a v e c de très-petites p rotu b éran ce s; coe u r d essinant
line so rte d e lo sa n g e sur la cou p e lo n g itu d in a le du IVuil, entouré
de g r a n u la tio n s; lacu ne centra le la r g e ; lo g e s g r a n d e s; p ép in s fiiligi-
m'ux ou brun-noir.
Ch.ur b la n c -ja u n â tr e , d em i-fo n d a n te , ju te u s e ; eau a b o n d a n t e ,
su c r é e , lég è r em en t a c id u lé e , d ’u n e sa v eu r particulière q ui n ’e st ni
m u sq u é e ni c itr o n n é e . Ce fruit est d e d eu x ièm e qualité et inférieui' à
ip ie lq u e s au tre s v a r ié té s d e la mêm e saison ; mais sa foi'ine et sa
cou leu r so n t d e s p lu s a g r é able s.
.Mayer f DwiioL (ra n ç o n . ) figu re e t d écrit u n e Poire d ’Or qu'il dit
d e très-bon g o û t, et q ui sem b le a v o ir l)eaucouj) d ’a n a lo g ie a v e c le
l-'in-or d e sep tem b r e .
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lit
a La Finor d'Orléans : fru it commun du mois d ’Aoiist. rouge âtre , figure de
Housselet; il la faut cueillir verdelette pour la faire men rir, afin qu'elle en ait
plus d’eau. » La Quint., ¡nsir. .la rd ., p. 198 l'109“2].
■ « La P. du Fin-Or de septembre est grosse, ayant deux pouces neuf ligues
do hau teu r su r deux pouces quatre lignes de diamètre. F.lle a la forme d’une
Foire. Le côté de la tête n ’est pas applati comme au Fin Or d 'é té ; au oontrairo,
il est relevé de quelques bosses peu saillantes, e t au milieu est un petit enfoncement
où l’oeil est placé. La queue a environ quatorze lignes de longueur, Sa peau
est lisse, unie , d’un vert gai du côté de l'ombre, lavée de rouge, parsemée
comme de marbrures du côté du soleil. Sa chair est blanche, Ijeurrée, line ; son
eau a un aigrelet agréable ; elle ressemble beaucoup à celle de la Poire de Ueau-
[irésent. Elle mûrit à la fin d ’Août, ou au commencement de Septembre.»
Duhain., T raité des Arbr. fr u it .. 136 [f7G8].
« Les feuilles du Fin Or de scptemlire, ou d ’Orléans, sont plus grandes ipi.'
ie Fin Or d’é té , plus dentelées; le fruit plus gros, bien autrement pyrifurme. La
tête est arrondie, son ombilic un peu enfoncé ; la peau est fine, lisse, mi peu
R. FIN OU DK SIA'TF.MBRE.
liiisimle, jauliissaill à I qKKllii' di- la iiiaüirilé al sa rail.a-ii.l (la n.ilga au sulad.
Sa cliair, lilanalie et di'diaala, est mi-f.mdaiila. d ’un acide siicri'' el parl'uuia. Ella
iiiiirit lin (l’aoiit. » Ealvei, Tm ilé ijénrr. des P é p in ., |). till« [ISUnl.
« L a l!oil-Clir(di(!ii de llriixalles est iiu arlu'a tri's-vigüuraux, iiiàilie sur Cn-
«iiassiar. La piidoiicule est gri’da . droil ou aourlic , long de ->ü à 4« inil-
liniiUres, implallU- dans une petite cavité enlonriu' de (|iud:|ues bossas; le frnil
nioyeii ou gros, un ¡leu bosselti. pyril'orme, très-reulli’' vers le niilien ou plus
pri's de l'udl que de la queue, et se ri'Urccissaiit vers les deux liouls, tpii sont
obtus. La peau est jaune-verdâtre, nrdiiiairetnent toilettée ou lavée (ii* rouge du
eôté du soleil. La (diair est dami-line, l'oiidalite; l’eau est alamdiuUe. Irés-
suerée, un peu aeidulée. parfuniée, très-agréable. Ea très-bon fruil mûrit lin de
saptembra et au eomiiiencement d’oetobre ; venant très-bien en pyruinide et a
haut v e n t, ou aiindt tort de le eultivcr eu espalier. » P ré v o s t, Pninnl. Srine-
la fe r.. p. 113 [ISÜlMSônl,
«L’Empressée est une très-belle Poire, ventrue , haute de trois pouee» et daim,
bosselée. S-a queue est menue, longue d ’uii pouce e t demi e l plus ; son u-Il est
presque à fleur, o u v e rt, ii divisions longues e t é tro ite s; la |ieau est lisse, jaune,
lavée et ponctuée de rouge vit du côté du soleil. La chair est b lan c h e; elle re.s-
semble heaiicoup à celle du Doyenné et passe aussi v ite , d ’où son nom l’Em pressée.
Elle miiril ün septembre ou dans les preraiei-s jours d'octobre . » Poil.,
Ann. Soc. horl. Paris, t. XV. p. 3 7 3 1183-41, et Noisette, Ja rd .J 'n iil.. î'< éAil..
p. 1,32, tab. (iO [18391.
.XoiscUc dtici’it en o u li’c , d a n s l’o u v r a g e q u e j e v ie n s d e e itc i’, la
B o n -C h ré tien d e B ru x e lle s , q u i fait a in s i d o u b le a in jilo i. M. il lm n o / .
a jo u te ;i c e s s y n o n ym e s c e lu i d e D é lic e s G a in o tle . E n fin le non’i de
P , C a p u c in e , d o n n é p a r M. D a lb r e t a u B o n -C b ré tie u d e B r u x e lle s ,
e s t a b s o lum e n t fa u x .
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