absolument p erm is de t ire r de ce ca ra c tè re ; mais comme il ne peut
être q ue stion ic i que de séparer p ro v is o irem e n t des formes les unes
des autre s, je n 'hé site pas a ie s sig na le r p a rd e s noms d iffé re n ts , en
a tte n d a n t que d ’ autres botanistes a ien t le moyeu de se p ro no nce r
avec c e rtitu d e à le u r su jet. A u su rp lus , les d ifférences que je signale
e n tre les P . syriaea e t Boveana, sont de même o rd re que celles q u i
o n t fa it séparer les P . canescens du P. M ie h a u x ii.