A B R I C O T É E BLANCHE.
P R U N U S P S E U D 0 C L A U D t . 4 S A , fn.clu m , g . „ , „ t „ d „ , Lù.o
coniprosso, e viiiii; j H e s c e n t o , came do n u d e o non seceJeMc.
CE prunier a exactement le même port et le intoie ton que celui de k
reine-cLiudc. Ses bourgeous sont glabres, et ils se bronzent ou rougissent
de même au soleil.
Ses feuilles sont aussi elliptiques et .nussi luisantes en dessus; mais au
lieu d'avoir de très-grandes dents, connue celles de la reinc-clatide, elles
n'en ont que de très-petite,s.
Les fleurs sont d'un blanc un peu vcrdiitre, larges de 37 millimètres
(1 pouce), griiles, i pétales ovales, creusés eu cuillère, écartés les uns des
autres, et en partie plissés sur les bord.s. Les élamines sont divergentes,
de la hauteur des pétales et de celle du stvle. Les divisions du calice
sont très-finement dentées.
Le fruit a la grosseur cl la forme d'une belle reine-elaudc; il est sensiblement
bilobé, i>arce que sa gouttière est Ibrt large, et sou sonunet
a un grand aplatissement, au centre duipicl on remarque la cicatrice du
stjle. Sa queue est verte et très-courte.
La peau, d'abord d'un vert pâle et ensuite jaunâtre, est couverte d'une
fleur blanche, au travers de laipielle on distingue cepcndam des ravmis
wrddtres, qui partent de la queue et vont se perdre i la circonférence.
La loupe fait voir au,ssi les points dorés que nous indiquons sur la prune
à fleur semi-double.
La chair est jaunâtre, d'abord croquante et un peu acerbe, ensuite
fondante et plus jaune.