térieure des dents. Ces trois dernières dents sont de
vraies molaires.
D ans l e u r po s it io n r é c ip r o q u e , les dents inférieures,
jusqu’aux incisives moyennes | sontplus avancées antérieurement
que les supérieures, c’est-à-dire, que la partie
postérieure des premières correspond à la partie antérieure
de leurs analogues à la mâchoire opposée, ce
qui semble donner la raison des-dimension s étroites des
incisives moyennes inférieures comparées aux incisives
moyennes supérieures, et toutes sont opposées couronnes
à couronnes, excepté les incisives qui sont opposées
face à face : les inférieures par leur face antérieure,
à la face postérieure des autres.
Ces dents ont été dessinées et décrites d’après la tête
d’un Mosambique qui les avait toutes dans l’état de conservation
le plus parfait; et lesystème de dentition qu’elles
présentent n’a encore été observé que sur l’homme.
N° IL
ORANG-OUTANG.
T out porte à penser que l’orang-outang a le même
nombre de dents que l’homme ; mais c'est une conjecture
qu’il n’a pas encore été possible de vérifier, puis
que l’orang-outang adulte n’est point connu d’une
manière certaine, Les dents dont nous donnons la figure
ont été prises d’une tête d’orang très-jeune, ou
les dernières molaires se trouvaient cachées, et qui n’avait
encore, antérieurement, que des dents de lait.
A l a m â ch o ir e su p é r ieu r e , la première incisive était
très-large et en forme de coin ; la seconde se terminait
par deux lignes qui formaient un angle ouvert, et lç
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