j^ c&zaz;r’£ÿe>/z6£> *t'7rasee&.
A ï 3 3 .
a A -^oey
( 9 5 )
facultés triturantes l’emportent beaucoup sur les carnassières.
En effet, ce sont des animaux qu’on nourrit
sans peine de substances végétales.
N° XXXII I .
CHIENS et RENARDS.
6 Incisives.
2 Canines. Ç 6 Fausses molaires.
12 Mâchelières. •? 2 Carnassières.
6 Incisives.. ( 4 Tuberculeuses.
2 Canines. v ° Fausses molaires.
i4 Mâchelières. < a Carnassières.
(_ 4 Tuberculeuses.
4 2 DENTS.
i 20 SnpiaiBORES.
fI 22T INF'ER IEURES. I<
Nous n’avons point interrompu la série des systèmes
de dentition caractérisée par une seule molaire tuberculeuse
à chaque mâchoire, parce qu’ils nous ont présenté
d’une manière sensible la marche de la nature
pour modifier graduellement les formes et changer les
facultés, tout en conservant les caractères principaux
des formes primitives. En effet, en plaçant le putois à
la tête de cette série, nous sommes arrivés, parle développement
successif de la tuberculeuse supérieure,
de la partie interne de la carnassière qui la précède, et
de la partie postérieure de la carnassière d’en bas, nous
sommes arrivés, dis-je, sans intervalle considérable, jusqu’aux
blaireaux, en passant par les zorilles, les martes,
lés grisons, les gloutons, les moufettes et les loutres ;
c’est-à-dire que, d’animaux presque aussi carnassiers
que les chats, nous sommes parvenus insensiblement
à des animaux qui le sont presque aussi peu que des >
ours. Il est arrivé de là que les chiens se trouvent fort
loin du rang qu’ils doivent occuper comme animaux