
C A R EX r i p a r i a.
Car ex des rives.
Nom Allemand. Strand-Segge. Schnbte. Leucel. Schelmcngras. Birstgras.
1 Anglais. Great common Carex.
I l fleurit en Avril et Mai. !£•
Monoecie, Triandr ie .
Ord. Nat. de l in n é III. Calamaires. Cypéracêes, d e c a n d o l l e .
Caract. génériques. Fleurs monoiques ou
Stigmates au nombre de deux ou trois. Du urcéole
tard la graine, en forme de Capsule.
quelquefois dioiques. Epis androgyns,
persistant, perce au sommet, enveloppe
ou unisexuels.
l’ovaire et plus
Caract. spécifiques. Les épis males et femelles
cis aux^ deux bouts , les inferieurs soutenus par un
de plusieurs nervures.
bu nombre de trois,, ceux-ci droits cjliudracés, amiu-
pédoncule. Les fruits ovés, en forme de bec et munis
I g/ u/.ucj , U.Jin qu e
* * î. H Vldssodoent triangulaire, comme ,
terminé par u n e liL le Tomme dans Z C S a>, î ? ‘ '»•'*'»&><> tige, est entier et pou
renti les épis du sommet de la plante sonTmalèTet a * P\s *ont dans notre espèce d'un sexe difl
droits. La fleur male, qu’on roit en dehors rets h SsSSSSl * tr<ns ,tous cylindracès
acérée, qui recouvre 3 étamines' la finir fomx.ll * esf formée dune glume lancéolée et tr,
et un'ovaire 1 orée-lancéolée, munie dtunesoi.
se terminant au s o m S I n iec bifide On Z i t Ter Ts ? f°ïV WËË gË! tr, angulaire, sur un support, et communiquant arec P h M La graine aeerandie e. Les fouille« J* Igfê « $ " V e ae| P. uf7 cfelogieM parH soln M stile lp e&rs listlaln
quelquefois un mètre en hauteur. * S°n re* Srandes et rudes. Le chaume dépasi
Variété |3. les épi, fémettes inférieures munis dé pédunéules très longs.
V'“lél\ Yr l ! Z u lPâ e f “p a i T * entièrement males, ceux d’en ha, males à leur soumet ; les épis
a uessinee est aes marais tourbeux d'Amsterdam. r j qu on
s a a u i ï f t 1” SOat tr°“^ eS ,0UteS deUI aTCC Ie Carex d .n . la province d’Utrecht, non loin de
plupart des plaotls de ce ^ i S <!raLINNÉ'il!fflfe“‘,1'!S M n0triî c°mme de ,a
GtSEKE p. ,3 3 ), que les vaches en font ™É a®rme “ »■”■«>■»* (Praelect. in Ord. nat. ed.
qu’on est fondé de croire égal au Carex de suives sur^ ut du Carex 8rèle (Carex acuta L.)
parle sous le même aspect, mais lorsqu’il dit du T a n ï ItCS “ l!tntives* V ir g il e (Georg. I I I , 93 i ) en
animal, manquant de nourriture meilleure? Mattuschkanoïs-îrinrC*^ pastu. s l] 5" Parle comme d>u»
disette extrême, et que ce fourrage peut les faîro ous apprend, que le bétail n en fait usage que dans une
sChrebeA affirme n’etre le cas que lorsmi’tl -et mourir ®n distendant fortement l’estomac, ce que
nous donne le conseil, d e n l 'i T I n n é ? i ‘ *°« ^ - C - . ™ que schreber
vieux loeel, que les paysans n ’aiment nas ces Hw j9 w | e aVe-c du fom' ,Nous pensons, avec le
fournissent alors une moindre quantité de lait et P“‘SqUe les vaches les mangent peu et
espèces de Carex. Notre planle est en outre dan* T t '*6 °Plnion esl aussl valable ponr les autres
guères détruire et qui enlève au sol une quantité de sites miles’ palUra8eS Une mauva,se heibei <f '° “ ne peut