
 
        
         
		COLOMBE   TO U R T E R E L L E . 
 P l.  X L  I I . 
 Colomba  T u r lo r .  l » m   Ind.  Orn.  » .   a ,   I   M ,   I  4 7 . _   G s ie l.  H   , ,   » .  ,8 6   
 — F nsch,  t.  14©. — Sepp. vog.  t.  ,  p.  u .  —  Briss. Orn.  v.  i ,  p. q2 ,  sp. ? 
 Columba  Orienialis.  L a t h .  Ind. Orn. v . a ,   p .  6 0 6 ,  sp.  48. 
 T u rlu r  A u ritu s. R a y ,  S yn. p.  1 8 4 ,  sp.  a 6— S  loan.  Jam. p.  3o 4 ,   f.  a6a  
 La  Tourterelle. Buff.  Ois. v .  a  ,  p. 545,  t.  a5 . —   Id.  pi.  enl. 394. 
 L a  Tourterelle  grise de  l ’île  de  Luçon.  Sonnerai,  Voy.  p. 5a   ,  t.  aa. 
 L a  Tourterelle brune de la  Chine.  Sonnerai,  Voy. Ind. v. a ,  p.  177. 
 Common  Tu rtle.  A lb . v. a ,  t. 4 7, — L a t h .   S yn.  v . 4 ,  p. 644. 
 Luzonian Tu rtle,  and Q iinese  Tu rtle.  L a t h .   S yn. v . 4 ,  p .  6 4 6   et 64:7. 
 T o n s   les  naturalistes  ont  séparé  les  Tourterelles  des  Pigeons  proprement  
 dits  et  des  Ramiers.  Ces  trois  divisions,  dans  le  genre  Pigeon,  n’ont  été  
 jusqu’ici  fondées  sur  aucune  règle  constante.  On  ne  saurait même  trouver  
 les  causes  qui  ont  déterminé  les  naturalistes  à  cette méthode.  La  seule  à  
 présumer  nous  parait  résider dans  la  différence de  taille  qu’ont entre  elles  
 ces prétendues  familles,  différence  qui peut  servir  de  base pour  distinguer  
 nos  quatre  espèces  de  Pigeons  propres  au  climat  de  l’Europe,  mais qui  n’a  
 pas  de  limites  assez  exactement déterminées pour  servir  à  ranger  dans  ces  
 mêmes sous-classes toutes les espèces de Pigeons exotiques que nous  connois-  
 sons  dans  ce  genre  déjà  très  nombreux. Rien  n’est plus difficile,  eij  faisant  
 usage  de  cette  ancienne  méthode,  que  de  classer  les  Pigeons  dans  les  
 divisions  Ramier-Pigeon  proprement  dit  et  Tourterelle,  et  d’assigner  à  
 chaque  espèce  sa  véritable  place.  Le  défaut  de  cette  division  est  prouvé  
 par  le peu  d’accord qui  règne  à  cet  égard  dans  la plupart des ouvrages qui  
 traitent  de  ces  oiseaux.  Tel  auteur  donne  le  nom  de  Ratifier  à  un  oiseau  
 quun  autre  a  rangé  dans  sa  division  des  Pigeons  proprement  dits,  et rien  
 n’est plus  incertain  que la place  que doivent  occuper  les  Tourterelles. Si  on  
 s’en étoit toujours  tenu à la règle,  toute  défectueuse quelle  est, de n’appeler 
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