-et moins dentelées. La plante entière exhale
une odeur plus forte, et les fruits sont plus
petits et en même temps plus nombreux que
dans l’espèce d’Europe.
/
1 C H A P I T R E X L I I I. <
I***-! ’ ■- , j Tomieh. — A b o u t ig é . — V o l e u r s . —
T ahta. — C o p t e . — Malade , e t la
t MANIÈRE DONT L’A « r E Ü R RÉPRIME SON
I ARROGANCE. — COPTES CATHOLIQUES.
— L es persécutions qu’ils é p r o u v
e n t . — Pierres gravées e t Mé -
.
dail les . — P ommes. — Melons. *— iDouM Saïdi , e spè ce de P a lmi e r de
• la T h é b a ïd e . — D i v e r s e s e spè c e s
de L è p r e s .
; A p r è s un assez long séjour à Siout y
. pendant lequel je Fus malade la moitié du
temps, je songeai à continuer ma route au
midi de l’Egypte. Mais n’y ayant point,
I dans le port, de bateaux prêts à remon- Iter le N il, je fus obligé de changer de ma-
I nière de voyager. Je louai deux chameaux
et six ânes pour me rendre à Êchmimm.
Nous partîmes de le 23 mai 1778, un
peu avant midi , et en suivant un chemin .
qui tantôt nous rapprochoit du cours tortueux
I du Nil et tantôt nous en éloignoit, nous aj>