j à Anliatoiuirim, le 29 octobre...........
Marches diurucs des wootres ' , , 1
! a Saiut-Louis, le 2J uovcmlnx...........
Marche diurue moyenne..........................
Av. des moutre.s sur le temps mojfcii à Aubatomirim, le 29 octobre
Marclie diurue multipliée par 20 jours de temps écoule....................
Av. sur le temps moyen conclue pour le 2'1 novembre....................
Av. sn rle temps moyeu, observée à St.-Louis, le 23 novembre.........
^ eu temps.............
Différence des méridiens •
N“ 3072.
+ 2',9070
+ 5,8150
4 - 4,3010
d'L 49' 4 r ,5
4 . 1 49,0
3 51 30,5
4 29 38,8
38 8,3
9" 32' 4 ’,5
_
N ° 1 6 0 .
— 4",7027
_ 4,0310
3>'. 7' 3 6,3
— I 49,2
3 5 47.1
3 44 3,8
38 16,7
9» 34' I0',5
N ° 2 6 .
5",5280
3,3995
3 h -2 l' 35',0
+ 1 51,6
3 23 26,6
4 1 50.0
38 23,4
9» 35” 5I-.0
N” 33 7 7.
- f 2”,2390
— 1,4920
2''- 44' S’,0
+ 0 9,3
2 44 17,3
3 22 30,6
38 13,3
» 33 19',5
Différence moycune des méridiens........................... 9° 33' 5l',4
Longitude adoptée à Anbatomiriin........................... 51 Q 40.0
Longitude conclue pour Saint-Louis........... > 34' 31',4
Plusieurs de nos stations p'rincipales ont été déterminées de
cette manière, non-seulement par rapport à la station qui les a
précédées, mais encore par rapporta celle qui les a suivies.
Daus ce dernier cas, qui les rend dépendantes de deux stations
a-la-lbis, nous avons obtenu pour chacune d’elles deux longitudes,
dont la moyenne est celle que nous leur avons
assignée.
Ainsi que nous l'avons dit eu commençant cet article, les
stations principales du voyage sont principalement destinées a
servir de limites aux longitudes chronométriqiies que nous
avons obtenues sous voiles pendant la durée des traversées.
Pour intercaler ces dernières longitudes entre les méridiens
des stations dont il s’agit, nous avons toujours lait usage de
celle de nos moutres dont le mouvement nous a paru le plus
régulier, et les corrections dépeudaut de la variation que la
marche diurne avait pu éprouver dans chaque traversée, ont été
faites dansPliypotlièse, généralement adoptée, que ces variations
suivent line progression uniformément croissante.
Nous n’avons.pas cru devoir insérer ici la table des nombres
triangulaires dont uous nous sommes servi pour corriger les
longitudes obtenues sous voiles à l ’aide des montres marines ;
elle est dans le deuxième volume du Voyage de d’Eutrccasteaux ;
M. de Freycinet la rapporte dans la partie hydrographique du
Voyage de la corvette tUranie, et elle se trouve d’ailleurs dans
plusieurs traités de navigation, notamment dans celui de
M. Fournier, examinateur de la marine, où les nombres triangulaires
y sont représentés par leurs logarithmes. Quant aux
résultats que nous nous ¡iroposous d’obtenir ici, voici de quelle
manière nous avons disposé des tableaux qui précèdent, ainsi
que de la table dont il s’agit.
Prenons pour exemple la [josition du ca|i Saiut-Jean de la
terre des États, dont nous avons fixé la longitude le 28 et le
29 décembre 1822, en uous rendant des îles Malouines à la baie
de la Concepción du C h ili, et faisons concourir à cette détermination
les montres n“ 118, .8072, 26 et 3877, qui, ayant été
employées avec leur marche diurne observée à Saint-Louis,
ont eu, eu arrivant à Talcalmauo, après trente-huit jours de
traversée, une erreur en longitude qu’il importe de connaître
d’abord, et que uous obtiendrons eu opérant comme il suit ;
Voyage d e là Coquille. — H td i