NOMS
STATIONS PRINCIPALES.
Tour.o« (obscryatoire d e ls marine).
TÉNÉRltPE...................... .....................
Axiiatümirui (B ré s il)..................
Saint'-Loois (îles Malooiues)..
Talcasuabo (C h ili ) .......................
Callao( P é ro u )...............................
P aïta (P é ro u ) .................................
Taîti (ilc s de la S o d é lo ).............
Borabora ( îles de la Société ) . . .
Port-Praslis (Nouvclle-Irlaude)
Caìf-I-i (île B o urou)..-
Ilb S.w v ..........................................
PortJ acrsojt (Nouvelle-Hollande)
Masawa (Nonvelle-Zélaudc ).
OuALAR- (ilcs Carolines)...........
Doreri ( Nouvelle-Guincc . ..
SuoRABAYA (ile J a v a )................
DÉTR.nEClBRALTAR.Stat.SO lis voile».
To uios(observatoirede la marine).
43» 1' 23,3
28 28 0
S.
27 25 32
51 31 44,5
30 42 0,5
16 30 4
4 49 48
0 ( 47
3 22 33
3 41 41,2
10 32 10
33 51 40
35 15 16,7
X.
35 52 25
LONGITUDE.
E.
3» 36' 27"
O .
18 33 30
51 0 40
00 34 31,7
75 30 41
79 33 44,8
83 32 28,2
151 49 18,7
154 5 56,7
130 28 29,5
E.
128 22 39,5
124 45 59,8
125 50 5,2
119 14 34
148 50 9
171 51 6,5
160 40 42,5
131 45 6,9
110 23 2,5
55 9 49,3
O.
8 2 54,7
10 44 25,7
7 57 15
E.
3 35 27
NATURE DES OBSERVATIONS
q u i OMT SERVI A DETERMINER
LA LONGITUDE DES STATIONS.
Résultat des opérations de Cassiui, calculées par M. le baron de Zacb.
Observations laites eu 1817 e t 1818 , par M. Givry, combinées avec toutes les observations
faites, sur ce po in t, depuis 1724 jusqu'à nos jours.
892 distances lunaires observées dans la campagne de M. Roussin, combinées avec
3o6 distances lunaires observées dans le voyage de la Coquille.
Par nos raouti-es n “* 8072, 160, 26 e t 3377 à compter du méridien d’Auhatomirim.
Par uos montres n»’ 8072, 160, 26.e t 3877 i compter du méridien du Callao,
782 distances lunaires observées p a r nous.
Par nos montres n»' 8072, 26 et 8877 à compter du méridien du Callao.
Passage de Vénus observé en juin 1769 par Cook e t Greeu, et calculé par D. Joacliim
de Ferrer, e t par M. Eukc.
Par nos montres n»‘ 118, 8072, 160, 26 et 8877 à compter du méridien de Taïti.
Éclipse de soleil observée en 1768 par Verrou, e t calculée eu 1826 par M. Nell de
Brcauté.
Par montres n»‘ 118, lü o , 26 et 8877 à compter des méridiens du Port-Praslin et
de Caïéli.
186 distances lunaires observées par nous.
Paj- uos moutres n“‘ 118, 160, 26 et 8877 à compter du méridien de Caiéli.
D’après le voyage de d'Eutrccasteaux.
D’après nos distances lunaires et toutes cclle.s qui ont été observées daos le mémo lieu
depuis i 795Jiisqu’en iSnS.
Par notre montre u" 26 à compter du méridien du Port-Jackson.
55o distances lunaires observées par nous.
Par notre montre n» 26 à compter des méridiens de l’ile Oualan et de Sourabaya.
Avril 1794 par Par l’immersion de l’étoile» du Lion, observé M. de Rossel, dans
le voyage de d’Entrccasteaux.
Par notre montre n° 26 à compter du méridien de Sourabaya.
Par notre montre u° 26 à compter du méridien de l’île de France.
P a r notre montre 11“ 26 à compter du méridien do l’île SaintC-Kélèue. 488 distances
lunaires observées eu 1822 par le capitaine Sabiue, donnent pour la longitude du
même point : 16» 44' C'5.
D’après les relèvements portés sur le plan du dé tro it, levé p a r Tofino.
Résultats des opérations de Cassini, calculées p a rM. le baron de Zarli.
Les phénomènes célestes dont nous faisons dépendre les longitudes
de l’île de T a ït i, du Port-Prasliii et de Sourabaya, ayant
été comparés aux tables astronomiques dont on fait actuellement
usage, nous ont offert l ’avantage de pouvoir fixer ces
trois stations d’une manière absolue.
11 en est de même des distances lunaires que nous avons observées,
soit à terre, soit pendant le cours des traversées, et que
nous sommes parvenus à grouper en assez grand nombre, à
Anhatomirim, au Callao de L im a , à Caïeli, au Port-Jackson et
à l ’île Oualan, en y ramenant, à l’aide des montres marines,
toutes celles que nous avons prises dans les environs de ces
|)oints, ou à des intervalles de temps peu considérables.
Quant aux stations ¡jrincipales qui n’ont point été déterminées
par des observations directes, l ’emploi que nous avons fait
des montres marines pour faire dépendre ces stations de celles
qui ont été fixées d’une manière absolue , nous autorise à croire
qu’elles peuvent, aussi bien que celles-ci, servir de limites aux
longitudes que nous avons obtenues sous voiles.
La situation de nos montres est présentée dans les deux ta-
l)leaux suivants. Le premier est relatif à leur état sur le temps
moyen du heu des observations; le deuxième fait connaître leur
marche diurne observée dans le même lieu.