lao T R O
naises, etquel'o- ipperçoit bien que lorsque ci
sont relirées de
sectes à deux alli
suj>éàe.ae.
les crusiacées n'ont point de ievre
La lèvre inférieure es
bile, coriace, souvent di
termine la bouch« infé
point dans los insectes à
ceux qui n'ont point de 1
Les papillons, les inet
piece transversale, moen
Les levres sont destbiées dans les insecte;
dans les autres animaux, à contenir, à dirij
nienls, et à garantir queiques autres parties.
Les mandibules sont deus piei
plusieurs parties, qui
menL On ne la trouve
-étui, non plus que dans
upérieure.
r les alifortes,
delà
consistance del . _ u dent
placées à la pai tie latérale et supérieure de la bouche,
immédiatement aiwlessus de la levre supérieure. Leur
uionvemcn t est latéral, tandis que celui des levres s'exécute
de bas en haut et de haut en bas. Ces pieces sont
désignées parla plupart des naturalistes sous le nom de
mâchoires. Les insectes qui se nourissent d'aliments solides
sontles seuls pourvus de mandibules plus ou moins
fortes, suivant k dureté de ces aliments.
Les mâchoires sont deux petites pieces, Souvent minces
et presque membraneuses, d'une consistance et
d'une forme dilTérentes de celles des mandibules : eUes
sont terminées par des dentelures aussi solides, et elles
sont presque toujours cihées à leur partie interne ; on
les trouve imniédialement au-dessous des mandibules,
entre celles-ci et la levre inférieure. Leur mouvement
s'exécute latéralement. Les mâchoires n'ont pas assea
de consistance, et ne sont pas mues par des muscles
assez forts pour couper et diviser les aliments dont les
insectes font usage ; mais elles servent à les diriger, à
les contenir, à terminer la mastication,
favoriser la déglutition.
Les galetes. M. Fabricius a donné le n
une pellle piece membraneuse, large o
qui se trouve placée à la partie extérieur
mâchoire des msectes de la iàmille des si
qui les recouvre presque entièrement. Ce n'est que sur
l'existence de cette piece que ce naturahste a étabh sa
seconde classe, celle des ulonates, uhnata.
Les antennides, paipi, tentacula, sont au nombre
de deus, de quatre ou de six; ce sont de petits filets
mobiles, articulés, qui ressemblent en quelque sorte
à de petites antennes, Elles ont leur attache îi la partie
extérieure des mâchoires et aux parties latérales de îa
levie inférieure, dans les insectes il étuis , et dans ceux
à quatre ailes nues, réticulées, etc. Elles accompai^nent
la t^nipe des abeilles, des ichneumons, etc. M. I-'abricius
a pareillement donné le nom anleiirLules à deux
petits filets qui se trouvent à la base de la trompe des
dipteres ou'qui accompagnent les soies. Les hé m ip teres
sont privées de ces parties.
La langue est une piece plus ou moins longue, séta-
X partit
et peut-être à
om de gaiéa à
.1 c)'lindrique,
ire de chaque
sauterelles, et
que l'insecte n'en fai
antennules. Elle forme la boudi
est composée de deux pi
T U Y
Diiptcres. C'est un fourreau mobile, articulé, recourbé
sous la poitrine, creusé antérieurement pour recevoir
ti'ois filets ou soies ( seiae ) très minces et très déliés,
que ces insectes introduisent dans le corps des animaux,
ou dans le tissu des plantes dont ils se nourrissent. Les
soies sont ordinairement au nombre de trois ; elles sont
contenues, par le moyen âe la levre, dans une espece
de gouttiere creusée tout le long de la partie supérieure
du fourreau.
Le suçoir est formé d'un ou de plusieurs petits lilets
très minces et très déliés, qui accompagnent la bouclie
des dipteres, et qui se trouvent souvent renfermés dans
* une gaine : ils ressemblent à ceux des hémipteres dont
nous venons de parler, et ils portent de même le nom
de soies. C'est par le moyen de ces soies que les insectes
à deux ailes retirent les sucs dont ils se nourrissent.
L'existence seule de ces parties constitue, dans le système
entomologique de M. Fabricius, la classe desanlliates,
antliata. La trompe ou gaîne manque quelquefois,
mais les suçoirs se trouvent toujours.
La trompe est !a piece qui sert de bouche aux insectes
à deux ailes; elle est un peu charnue, contractile,
d'mie seule piece, souvent cylindrique, et terminée
par deux divisions qui ressemblent à deux espcces de
levres : elle est creusée à la partie supérieure i>our recevoir
le suçoir formé par ujie ou plusieurs soies.
Exirait d'un mémoire lu par M. Olivier à [académie
royale des sciences; Journal de physique, juin
T r o n c , s. m. Truncas. En botanique, c'est la partie
ligneuse des arbres et des arbrii
branches et sans racines.
En anatomie, on désigne p:
du corps qui est composée de 1<
ventre.
>i des gros vaisseaux,
branches. Le tronc di
Se dit
.NQuñ, adj. Tru
ntra etc< upel
menteuses, réu
Les trousseai
I . Fasciculus. Fai.
ics parle tissu cell
X considérée sans
poitrine et du basci
es quel s sortent des
l'artcre aorte,
roît avoir été interausversalement.
« de parties fila-
Par leu
Par leu directioi
.. Vc
luxiliaires,
obliques,
. liS-m
etc.
arrondie.
iage , et placée-entre les
ies lépidoptères; elle
l.imes convexes d'un
incaves de l'autre, qui, en se réunissant,
ent un cylindre creux, propre à laisser passer les
mielleux des fleurs dont se nourrissent ces insectes.
i bec esc cette partie qui forme la bouche des lié-
Tubercui.e, s . m. Tuberculus.tmm
Les tubercules quadrijnmeaux du cerveau.
TuBhRcuLK, TuBEttCOMUx , adj. Couvert de tuber
cules. (M, Gouan, sur les poissons, page 34. )
T u a d R O S i T i S , s. f. Tuberositas, Tuber. Apophyse pei
saillante, dont k longueur surpasse beaucoup l'éleva
tion, et qui sert à l'insertion des tendons.
TuauLEUX, adj. Qui est cylindrique et iistuleux; qui;
k forme d'un tube.
T u i l î , adj. Imbrica
Tunique, s . f Tun
I. Voyez Imbriquî.
i. Membrane. Expansion qui
d'enveloppe à une pa
les membranes de l'a
quelconque. Les tunique
T u r d i n í , adj. Qui est court et de forme conique. Qui ¡
la forme d'une toupie. ( Dictionn. de M. Bulliard. )
Tuyau, s . m. Tubus. Tube, canal.
Tny.u
V A I
liai, laiteux, urlnifece, membra
U
N
GUICULÉ, adj. Unguiculaïus. Mot employé par
Linné pour désigner les pieds des animaux qui sont
pourvus d'ongles proprement dits. Tels sont ceux qui
composent les deux grandes familles qu'il appeUe/^roe
et s'yres.
Unguis, s. m. Os lac^mal, os magniangali. Petit os qui
a k ténuité de l'ongle, et qui est placé vers le grand
angle de l'oeil.
Unoulé, adj. Ungulatus. Mot employé par Linné pour
désigner l'ongle des pieds des grands quadrupèdes qu'il
a rangés dans les classes des pecora et des bclluae.
Uni, adj. Lisse, égal, poli.
U n i - c a p s u l a i r e , adj. Qui n'a qu'une ca psi Je.
U k i - l o c u l a i r e , adj. Qui n'a qu'une loge, qu'une cavité,
;oquille.
cor uni-loculare.
Uni-lobé, adj. Qui n'a qu'un lobe.
Uki-valv£, adj, Qui n'a qu'une valve, qu't
Se dit d'une iàmille entiere dé coquillages.
Uni-valve, bi-valvc, multi-valve.
U n i - v a I v u l a i r e , adj. Qui n'a qu'une valvule.'
UiiAOïOK. Nom donné dans les écrits d'Hippocrate à k
pointe du coeur. (Hipp. /. decord. iy,\2.. )
Urakiscos. Nom donné par les anciens à k voûte du
palais. ( M. de F. Gorr. )
U r e t e r e , s. m. Canal qui porto l'urine des reins à k
UiiETRE, s. m. Urethra. Canal par lequel l'urine coide
de k vessie au dehors.
U r i n a i h e , ad). Qui est relatif à l'urine.
Urine, s . Î. Urina. Voyea Humeurs.
Usage, s. m. UtiUtéde chaque organe. Après avoir décrit
une partie, on finit pat en exposer les usages.
UvÉE, s. {. Uvea. Membrane de l'oeil qui est teinte d'une
couleur noire.
UvntAiRE, adj. Qui est rektifà k luette.
V a g i n , s. m. Vagina. Canal qui conduitàla matrice.
Son orifice est lu vulve. (Tarin , Vocab. )
V a g i n a l , adj. Vaginalis. Eìyirotdes. Qui sert degaîne,
qui tient lieu de gaîne.
La membrane, k tunique vaginale du testicule.
Se dit aussi de ce qui concerne le vagin.
Vague, adj. Nerf, paire vague, Par vagum. Le nerf de
k huitième paire ou moyeu sympadiique de Wînslow.
Vaisseaux, s. m. Vasa. Se dit des iiiyaux ou conduits
propres à l'écoulement des différents fluides.
Les uns servent àia circulation du sang; ils sont artériels
ou veineux; do k lymphe (lesvaisseaux lymphatiques)
; du cliyle ( les vaisseaux lactés ) ; des humeurs
séreuses non colorées ( ils se trouvent aux extrémités
des ancres et des veines ).
Les autres vaisseaiK servent aux sécrétions, et ils sont
biliaires, uriniferes, spermatiqiies, déférents, etc.
A raison de leur forme, ils sont disposés en trépied ,
en lourbillou, etc.
A raison de leur dimension, ils sont longs, courts,
capillaires.
V E N
V a l v u l e s , s. f. Valmlae. Membranes qui s'éleventct
s'abaissent dans un sens seulement, et qui tiennent lieu
de soupape.
H y a une valvule dans k cloison des oreillettes du
coeur du foetus 5 il y en a dans le coeur lui-même, dans
les deux ouvertures veineuses, et dans les deux ouvertures
artérielles des ventricules, dans les veines sanguines,
dans les veines lymphatiques, etàl'origine du gros
boyau.
il y a aussi dans les intestins des replis auxquels on a
donné le nom de valvules, quoiqu'ils puissent s'élever
et s'abaisser dans plusieurs sens.
V a r i é t é , s. f. Varietas. Est, dans l'ordre systématique,
une des nuances de l'espece.
Variqueux, adj. Varicosus. (corps ). Se dit du plexus
des veines spermatiques près des testicules. Corpus
pampiniforme, corpus pyramidale, variciformes parastaiac
( CastelL lexic. ).
Va S C O L A I R E , adj. Vascularis. Qui est relatif, qui apparu
tient aux vaisseaux.
Les membranes va seul aires.
Vasculeux, adj. Vasculosus. Qui est rempli de vaisseaux.
V a s t e , adj. Vastus. Très étendu.
Le muscle vaste interne, externe dans l'homme; le
muscle long- vaste dans le cheval.
V é h i c u l e , S. m. Ce qui porte, ce qui communique, ce
qui])ropage.
L'air est le véhicule du son.
Veiné, adj. Qui est couvert de nervures fines, de
ramifications comparables à celles des veines.
Veines, s. f. Venae. Conduits par lesquels le sang coule
des rameaux vers le tionc, tandis que dans les arteres il
coule du tronc vers les rameaux.
Parmi les veines, les unes contiennent le sang ; et il
y en a trois systèmes.
Celui des veines pulmonaires, celui des veines caves,
celui de k veiue-|)orte.
Les autres contiennent un fluide sans couleur ou
bkncliàtie; et elles se divisenten deux ordres:
Elles sont noueuses et valvukires ; ce sont les vaisseaux
lactés ou lymphatiques.
Ou elles sont très déliées, sans valvules; etcesont
]es veines séreuses que l'on trouve à l'extrémité des
;s sanguin
Lav
irtérie e des înciens est l'artere pulmo-
Veineux, adj. Qui appartient aux veines.
V e i n u l e , s. L Vénula. Petite veine.
V e l o u t é , adj. Villosus. Dont k surface estcouverte d'un
grand nombre de petites élévations moEes, pulpeuses,
serrées les unes contre les autres, et que l'on a comparées
aux poils du veloîirs.
Velu, adj. Pilosas. Qui est couvert de poils.
V e n t r a l , adj. Ventralis, Abdomuialis. Qui est relatif
au ventre, qui s'insere dans k région de l'abdomen.'
Les nageoires ventrales d'un poisson.
V e n t r e , s. m. Venter, Abdomen, Cavité placée entre le
diaphragme et le bassin. VoyezRioioN.
Les dénominations de ventre supérieur, en parlant
de la cavité de la tête, et de moyen, en parknt de
celle de k poitrine, sont vicieuses.
Se dit aussi de k partie charnue des muscles. De li
l'expression á^ bivcnier, quia doux venires.