: r î - i
I 'î'.iV
• • i ' i i i ' i
i - , (i
'IM''
i l i if
l i
iiiii
Les OS sont des c
:arLibsme,«.cjuis-e
'¡res onginaiiement
se remplissant et en
X qu'ils sépareut.
s'en durcisse I
s'eiicroùtant des sucs salins et I
On relire des os, par le moyen de i'ébulliti
maliere gélaUneiise, semblable à celle que fournissent
Jes autres orgaiies blancs des animaux. Api ès celte opération
, il ne reste plus que ce qu'on appelle leur terre,
c ' e s t - à - dire un composé d'acide phospliorique et de
diaux. Outie la gélatine et le phosphate calcaiie, on
trouve encoie dans les os du carbonate de soude, et
quelquefois une petite quantité de sulfate calcaire. La
partie cartilagineuse de l'os, qui est aès étendue dans les
jeuues sujets, est celle qui fournit la gélatine. C'est à
elle qu'appartiennent l'huiîe , l'aniiuoniac et le charbon
qu'on «xtrait des os par le feu. Les cornes osseuses,
telles que celles du cerf, donnent les mômes produits.
Les os soiit, à raison de leur consistance, pierreux,
durs, spongieux.
A raison de leur volume et de leurs dimensions,
grands, moyens, petits, longs, courts, larges, plats.
A raison de leur forme, arrondis, iriangiilaires, cubiques,
quarrés, trapézoïdes, crochus.
A raison de leur symraélrie, pairs, impairs.
A raison de leur position, supérieurs, inférieurs; antéiicurs,
postérieurs; Jatcraux, sur une ou deux rangées
, hois de rang,
A raison de leurs articulations, mobiies, immobiles.
A raison de leurs usaces, pariétaux, frontaux, niaxils,
eic.
charrue,
n de l a ressemblance, pisiforme
Dn cornets ou volutes, sémi-iui
u les tour
nistes grecs appelloient ainsi le «
:s dans lesquelles les testicules s
OssiLET, s. m. Ossiculum. Petit os.
Les osselets de l'organe de l'ouïe sont au nombre de
trois dans l'homme et dans les qnadrupedes.
Il n'y en a qu'un dans les oiseaux et dans les reptiles.
Ils sont très durs dans la plupart des animaux, et de
substance presque friable dans les cartilagineux.
OSSECX, adj. Owcuj. Qui est de la nature de l'os.
Le suc osseux. Les arteres osseuses.
O s s i f i c a t i o n , s. f. Fonction par laquelle les parties
osseuses s'accroissent et se développent. L'ossification
est une espece de sécrétion. Voyci Os.
OsTÉooiNiE, s. f. Partie de l'anatomie qui «aite de la
génération des os.
OSTÛOLOOIE.S. f. Discours sur les o s , sur leur structure
et5ur leurs usages.
L'osteologie fraîche traite des os environnés de leur
périoste , de leurs cartilages, etc.
L'ostéologie seche traite des os dépouillés do toutes
O uÎE, s. £ Audiius. Celui des organes dcis sens par lequel
on reçoit les sons. Voyez Or e i l l i ! .
O uÏES, s. f Branchiae. Ces organes ¡îropres aux poissons
sout |>lacés -sous un opercuie particulier dans la cavité
brancliiale. Les ouïes sont composées de q-uatre petits
osselets courbes, parallèles, inégaux, appliqués les
ams contre les autres, et garnis, sur leur partie convexe,
de petites appendices molles, libres, et semblables
aux barbes d'une plume. En s'écartaul les unes des au-
P.A L
très, les ouïes donnent passage à l'eau ; lorsqu'elles se
rapprochent et que les opercules sont fermés, l'eau
est arrûtéo dans la cavité branchiale.
Ou RAQUE, s. m. Urachus. Conduit ou ligamentqui s'étend
de la partie supérieure de la vessie vers ¡'ombilic, et qui
se continue dans le corJon ombilical du {oetus.
L'ou raque est creux ou solide.
O v a i r e , s . m. O'/anum. Organe plus ou moins arrondi,
propre aux femelles, et qui est placé près de Vuterus ou
L'ovaire est simple ou unique dans les oiseaux, double
dans les femelles des quadrupcdes.
Formé d'ceufs grouppés dans les oiseaux, dans les
reptiles et dans les poissons.
Recouvert d'une membrane sans oeuis, au moins apparents,
dans les femelles des quadrupedes.
0vAi,AiRE, adj. Le trou ovalaire est une ouverture de
forme ovale, creusée entre le pubis et riic/i/um de
chaque côté du bassin.
O v a l e , adj. Ovalis. Qui a une forme alongée, mais dont
une extrémité est arrondie, tandis que l'autre est aiguë,
comme celle des oeufs.
Le trou ovale du bassin.
OviDcrc,s. m. Ovidactus. Conduit tortueux qui dans les
oiseaux s'étend de J'ovaire vers !e cloaque. Comme il
n'y a dans ces animaux qu'un ovaire, il n'y â non plus
qu'un oviduc. Ce conduit correspond à la trompe utérine
dite de FaUope.
OviPAiiE, adj. O^'iparas. On n'a pas assez exactement
déterminé en quoi consiste le caractere des animaux
ovipares. Leur génération s'opere par le moyen d'oeufs,
qui, grouppés dans l'ovaire, et fécondés par le mile,
sont ensuite portés vers la cavité utérine, soit pour s'y
développer, soit pour être déposés, à leur sortie de cette
cavité, dans un lieu dont la chaleur est propre à l'accroissement
du germe q u ' ^ contiennent. Ainsi, soit que les
petits éclosent dans le ventre ou hors du ventre de leur
mere, lorsque c'est un oeuf qui les renferme, ils appar-
;nt i\ la classe des
dans
.vipare a Viper
Dans les v 5, dès le
.e tous les reptiles,
i t d e la conceptior
parn
Je germe est logé dans la cavité de la matrice
paroît poinl Être renfermé dans un oeuf qt
tie de l'ovaire, et qui s
cond discours de ce volui
DvûÏDE,adi. Quiakforn
Duv£Rt u i i e , s . f. ^/jcriw
soit détaché. Voyez le se-
!, pages 39 et43,
d'un oeuf.
Fente, trou. Voyez Cavité.
Dans les poissons, 1'
fente située h k ¡«utie latérale et postérieure de la têti
qui s'ouvre entre les opercules et le tronc; elle aboui
à la cavité de la bouche, et elle est bouchée par les ouïe
(M. Gouan, sur les poissons. )
P a i r , adj. Qui est symmétrique des deux côtés.
P a i r e , s. f. Paire de neris , conjugmio ncn'urum. Se dit
des nerfs considérés dans leur origine. On commence,
en les comptant, de devant en arriéré. Voyea pages 48
et de l'explic
. Palai
•.s planches daii
r. La partie :
Le palais osse
.-oile du palais..
upéri
ige.
de la
i immobile. Le palais mobili
h ' ^
P À P
P a l a t i n , adj. Paladnus. Qui est relatif au palais.
Le trou palatin. Leconduitmaxillo-palatin.
PALATO-rUARYKGIEN, HY P i a o - PH AU YNGIE N ,
Qui est relatif au palais et au pharynx.
P a l m a i r e , adj. Palmans. Qui a rapport i-i la pm
ou formé
-umé delà
! erap
Ligament, muscle, aponévrose, palmaire.
Muscle palmaire grôle, cutané. (Tarin, Fbc. anat. )
Palmé, adj. Palmatus. Se dit des doigts réunis par des
membranes.
P a l m i p e d e , adj. Palmipes. Se dit des animaux et surtout
des oiseaux aquatiques dans lescjiiels les doigts
réunis par une expansion membraneuse font l'office de
nageoires.
On désigne parl e nom de sémi-palmipedc ceux dans
lesqueb les doigts sont seulement bordés par des membranes.
P a l p e b r a l , adj. /"aZ/Jci/w/ij. Qui appartient aux paupières.
Les glandes palpébrafcs.
P a l p e r , f f l^nre, Conrractara. Ce mot est reçu dans la
physique animale et en médecine. Toucher les corps,
en parcourir avec la main la surface pour en comioitre
les formes et la consistance.
Pampiniforme, adj. Qui a quelque ressemblance avec
une branche de vigne ornée de ses feuilles. .
On a donné le nom de corps pampiniforme à l'entrelacement
des veines spenna tiques qui se dirigent vers
le testicule.
Pan-acué , adj. Qui a la forme d'un panache. Se dit des
appendices frangées dont Q^t surmontée la. tête de quelques
vers.
P a n c r é a s , s. m. Pancreas, Pancrene. Viscere abdominal.
Glande que l'on croit analogue à la parotide, qui
sépare un suc utile à îa digestion, et dont le conduit
excréteur s'ouvre dans l'mtestin grêle, près d
cholédoque.
Pancreas simple dans l'homme et dans les quadrupcdes.
Double dans les oiseaux. '
Le grand et le petit pancréas.
Pakcréateque, adj. Qui estrelatifau pancréas.
Les vaisseaux, les nerfs, le conduit pancréatiques.
P a n i e r de pioeon ( en ). Se dit des valvules qui ont
la forme d'un panier de pigeon. On les désigne par les
noms de valvules sigmoïdes de l'aorte et de l'artere pulmonaire.
Ne vaudroit-il pas mieux les appeller sini]jlement
les valvules de l'aorte et de l'arlere pulmonaire?
Les valvules aorliqucs. Les valvules pulmonaires.
Panse, s. fi ic/ 'a, yîu/«c,-j. Le premier estomac des ruminante.
Le second estomac de ces animaux esl^désigné par
les noms lie bonnet ou reticuium; le troisième par ceux
de/emV/et, ¡ivre, millet, liber, crlnacaus, cchiniis,
omasus; et le quatrième enlin par ceux de caillette,
abomasus, seu ventricuhis iutestinalis. Celui-ci est l'estomac
proprement dit. C'est dans sa cavité que s'épanche
le suc gastrique, et que se fait la digestion. (Peyer,
Mcrycohgia, page io5et suivantes. )
Papimaire (Procasus). On appelle ainsi le renflement
pulpeux du nerfolFactiÎ
P a p i l l e , s. f Papilla. Petìte émiaencc formée par l'expansion
de la pulpe nerveuse.
Les papilles sont presque toutes de forme arrondie.
Il y on a de pyiamidaîes sur la langue.
Tome 1. Discours
Durbe ielle que si
ux, les rayons do
li tombent s
P A R
Se dit aussi du mamelon du seiu.
P a p i l l e u x , adj. PapiUasus. Qui est (
, adj. d'un grand nombre de papilles. Terra
botanique.
l e d e l a Pa r a b o l e , s. f. La parabole est une o
l'on place à son foyer un corps lumine
lumiere qui partent de ce point, et qui
concavité de la parabole, se réfléchUsent tous parallèlement
à l'axe, et réciproquement les rayons de lumiere
qui arrivent parallèlement à l'axe, se rassemblent tous
au foyer. L'étude de cette courbe donne des résultats
applicables à la théorie de la lumiere et du son.
P a r a l l e l e , adj. Se dit des lignes, des bords et des
parties qui gardent toujours entre elles une égale distance.
PARAMdRiE, s. f Parameriae. Nom donné par Jes Grecs
à la région interne de la cuisse.
Paramesos , s. m. Nom donné par les Grecs au doigi
annulaire, aussi appellé digitus niedicus.
P a r a s i t e , s. m. Se dit des corps vivants qui sont attachés
à d'autres, et qui se nourrissent à leurs dépens.
P a r a s t a t e s , s. F. Parajtatae. Dans les écrits d'Hipppcrate,
cette expression est synonyme du mote;)W/<^;ne
D'auties ont donné avec Bartholm Je nom de parastates
à l'origine de cette production. Les anatomistes modemes
l'ont employé pour désigner deux glandes, chacime
du volume d'un pois, de couleur brune, de substance
mollasse, et qui sont situées une de diaque còlè,
entre Jes parties latérales et postérieures du musclj
bulbo-caverneux, et le bulbe de l'uretre. ( M. Sabatier,
traité d'anatomie, torn. 2,pog. 434. )
Les glandes de Mery ou de Cowper.
Les prostates Liférieures. Les petites prostates. Les
parastates.
Parencephalas. Mot grec par leiduit
quel on désigne le cervelet
le de l'o
adj. Qui est relatif au parenchyme.
Parenchyma. Substance dilTérenta
cartilage, du ligament, du tendon
et du muscle, et qui est propre au tissu des glandes. On
y trouve, comme dansJe muscle, des vaisseaux de toute
cspece et des nerfs. Les divers phénomènes, soit naturels,
soit morbiiîques, ne permettent point'de douter
qu'il n'y ait aussi des fibres irritables. C'est un ¿issu cellulaire
tendre, spongieux,et d'une structure particulière,
que les anatomistes n'ont pas encore bien déterminée.
'ARiÉTAux (les os) , Ossa parletalia, snc arcualla.
Deux os pairs, très larges, servant à former la partie
supérieure latérale et moyenne du crâne. Ils sont plncés
entre les os du front, l'os des tempes et l'os occipital.
AROTiDE, S. f Parotis. Glande salivaire d'un voluuie
considérable, qui occupe l'espace compris entre la partie
inférieure du conduit auditif externe, l'apophyse
inastoïde, le bord postérieur de la mâchoire inférieure,
et le muscle masseter sur lequel passe liorizontalemeot
le conduit excréteur de cet organe.
Les petites parotides de Haller sont placées le lon^
du bord supérieur de ce conduit.
AROTtDiKN, adj. Parotideus. Qui appartientàla glande
parotide. J'ai donné ce nom à l'un des muscles de l'anricule
des quadrupedes.
Le nerf, le conduit parotidien, ou conduit de Stenon
\RTAOÉ, adj. PartUus. Qui est divisé en plusieurs por