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\NCLi!S'nBSTrux. Candii.
o u grand près de la racir
p e t i t .
\ n g u l a i - r e , adj. 'Angular.
qui sort d e son ouverture.
r. l l y en a d e u x, l'un externe
s du nez, l'autre interne ou
r. Qui est relatif à îin angîe;
y. d e la saillie qu'O fait ; qui
est placé auprès de cette saillie.
A n g u l e u x , adj. Anguhsus. Dont la surface est remarq
u a b l e par plusieurs angles ou saillies. Dans les surfaces
r a b o t e u s e s ou inégales les saillies sont plus mullipliées^
mais elles o n t moins d'élévation.
A n i m a l , s. m. Corps vivant dans lequel, indépendamm
e n t de la nut r idon, de la circulat ion, des sécrétions,
d e la générat ion et de la respirat ion, que l'on remarque
aussi d a n s les végétaux, on distingue des sensations-et
<les mouvement s spontanés qui lui sont propres et que
l ' o n ne trouve dans aucun autre ordr e de corps.
L ' i r r i t a b i l i t é et la sensibilité sont donc les caractères
spécifiques d e la vie animale.
A s n e a u , s. m. Annulas. Production dont l 'ouverture est
à - p e u - p r è s drculaiie et dans laquelle un corps arrondi
•est engagé. C'est pour l'ordinaire dans le Heu d'un rétrécissement
ou collet que l 'anneau est placé.
L ' a n n e a u , quant à s a forme, est applat i , an-ondi., circulaire
, ovale :
Quant à s a n a t u r e , osseux, cartilagineux, tendineux,
l i g a m e n t e u x , charnu, vasculaire, ner\-eux:
Quant à sa posi t ion, horizontal, vertical, oblique :
Q u a n t à s a composition, simple, d'une seule piece,
composé ou de plusieurs pieces.
I c i je distingue l'anneau du collet; ce que ne font
•pas les botanisUîs. Voyez leOictioQDaire d e M . Buliaïd,
pag. 33.
Les botanistes appellent anmtlacus, colleté, ce qui est
•entouré d'un anneau, d'une production minulaire.
A n n u l a i r e , adj. Annulons. Qui a la forme d 'un anneau.
L e cartilage, le l igament , le doigt , annulaires.
A n s e , s. f. Arcus. Sorte d e bride, de lien attaché par
ses deux extrémi tés et courbé en arc.
Anse ligamenteuse, tendineuse, nerveuse.
A n t a g o n i s t e , s. m. Antagonista. Se dit des muscles
dont les efforts sont opposés : tels sont , par exemple,
les reieveur s et les abaisseurs.
A n t é r i e u r , adj. Anterior. Ce qui est placé en devant. Il
est oppos é à postérieur. Que l'on conçoive un plan vertical
c eupant le corps de droite à gauche en deux paities
: l ' u n e sera antér ieure, et l 'autre postérieure.
Lorsqu'il s'agit de déterminer la position respective
d e deux organes, on appelle antérieur^ celui qui s'app
r o c h e le plus d e la surface antér ieur e du corps.
On joint le m o t a /K^ n e u r à c e u x de supérieur ci inférieur,
pour désigner la position mixie de certaines parties.
Antico-superior, Anlico-inferior.
Ain'niucii.i{, ai]. Anc-lielicus. Qui est relatif au cattilage
de reiei l l e appellé ant-hélix.
A k t - h £ l i x , s, m. Éminence du cartilage de l'oreille ou
. a m i c u l e , situé élevant \hélix. (Tarin, Vx>cab. )
A n t i - c a r d e , s. m. Anti-cardium. Excavation légere qui
s e trouve vers le cartilage xiphoïde ; l e scrobicule du
l e s r a p -
c i z f , adj. Anci-lragicus. Quia quelqi
;l'éjninence du cartilage de l'oreille
p o t t s ave c appeUé
Anti-iragus.
A n t i - t r a g u s , s. m. Éminence dn cartilage d e l'oreille
A P O
o u auricule, que l'on trouve devant le tragus. (Tarin,
rocab.)
AKTHROPOGRAPHiï, s . f y i / i £ / i ropcgraplùa. Description
d e l 'homme. lì est compos é de solides et d e fluides.
A n t r e , s. -m. Antrum. Cavité dont l'ouverture est plus
é t r o i t e que le fond et qui a une grande profondeur.
Voyez C a v i t î et Si n u î .
A n u s , s. m. Mot empmnté du latin, par lequel on désigne
l'extrémité de l'intestin rectum, qui se termine
par u n sphincter.
L ' a n u s est p k c é , dans la p lupar t des -animaux, àl 'ext
r é m i t é du corps ; dans quelques uns il l 'es t sur une de
ses sur faces, supér ieure, ou inférieure.
A o r t e , s. f. Aorta, Arteria magna. Grosse a r ter e qui so r i
d u ventricule dont l 'épaisseur est la plus considérable ;
c e ventricul e est situé du côté gauche dans l'homme. A
raison de sa direction, elle est ascendante ou descend
a n t e : à raison des régions oii elle se trouve, elle est
t h o r a d i i q u e , ou abdominale.
A o r t i q u b , adj. Aonicus. Qui est relatif à l'aorte. J'appelle
le ventncule aorcique, celui que les analomistes
•désignent sous le nom trop vague de ventricule gauche.
A p a t h i q u e , adj. A patine us. Qui n' a point d e sentiment,'
qui est insensible. C'est danS'Ce sens que ce mot est emp
l o y é par les botani s tes , qui distinguent, dans les Heurs,
des parties sensibles ou « / »wu j e i , et des parties insensibles
ou apathiques.
A p o d e , adj. Apodes. Sans pieds. Se dit des serpents.
•{¥Ae\n,HerpeColog. Linné, Sj î î . nac. )
A p o N É V R 0 G R A P H i E, s. f Apouevrographia. Description
des aponévroses.
A f o } j ì v r o s b , s . f Aponevrosis. Sorte de membrane composée
de filets tendineux qui se croisent en différents
sens et dont la surface est comme luisante e t satinée.
Les aponévroses sont ^ s p o s é e s en gaînes de différent
e s formes. El les sont un a s semblage de lames et de band
e l e t t e s en maniere de rubans. Elles sont superEcieîies,
o u profondes. Elles forment des mailles, des réseaux,
des anne aux, des tissus dont l'épaisseur varie.
A p o k é v u o t i q u e , aà]. Aponevroticus, Qui a du rapport
avec les aponévroses. Ligament, membrane, toile, ann
e a u , ruban, filet, tissu, aponévrotiques.
A p o p h y s e , s. £ Apophysis. Éminence continue avec le
c o r p s d e l ' o s . VoyezÉMisENCES.
Les apophyses varient ; par leurs formes. Elles
50nt aiguës, styloïdes, xiphoïdes, épineuses, pyramid
a l e s ; obtuses, mamlllaiies, odontoîdes, coronoïdes,
clinoïdes, en c r ê t e , en tubérosité; an'ondies en bosse,
« n têt«, en col, en marteau; applaties, en ailes, ou
p t é r y g o ï d e s ; recourbées en bec (coracoîdes), en crochet
(unciformes); bifurquées.
2°. Par leur étendue. Elles sont longues, courtes,
g r a n d e s , petites.
3'. Par leur direction. Elles sont montantes, descendantes
, r e n t i a n t e s , verticales, transverses, obliques.
Par leur position. Elles sont supérieures, infér
i e u r e s , antérieures, postérieures, latérales.
S°. Parleur synnnétiie. Elles sont paires, impaires.
6'. Par Ifiur ressemblance. Elles sont dites styloïdes,
mamillaires, basilaiics, coronoïdes, cunéiformes, coniq
u e s , vaginales, mastoïdes, etc.
f . Par leur consistance. Elles sont spongieuses, pierreuses.
8°. Par leurs usages.
EUcs sont.
( c o l .
dlaithrodiales. ) töte.
M.dyle,
; \ en forme de dent
( d ï n l i f o n n e ) .
synarlhrodlales, ( en queue cl'aronde.
\ en coin ( cunélfor-
I me).
Non-articulaires.
' tubérosilfrs.
, irochanters.
I lignes ûpes.
9', Par les régions qu'elles occupent. Elles sont dites
r a z a l e s , orbitaires, temporales, etc.
A p p a r e i l , s. m. Apparattu. Se dit de quelques parties
considérées dans leur ensemble et dans leurs rapports
avec d'auti^es organes.
On dit l'appareil ligamenteux.
Ai'pendi-ce, s. f. Appendix, Addkamemurn. Prolongement
de quelque partie organique; ce qui paroît seïvir
d e supplément à l 'organe principal.
On dit tappendice vermiforme. Ce mot est masculin
au singulier dans cet t e p luase. 11 e s t féminin au pimiel;
les appendices vermiformes et épiploïqucs, les appendices
membraneuses et osseuses des poumons des ol-
A p p e n d i c u l é , adj, Appcndicidatus. Qui se termine par
une ou plusieurs appendices ; teime e rapnmt é de la botanique.
A p p l a t i , adj. Depfessas, Compressas. Ce 'quiest serré,
comprimé dans une de ses dimensions.
Applali de luiut en bas, déprimé, -depre.isusi latéral
e m e n t , comprimé, compressus ( suivant M. Gouan,
Hist, des poissons, in^".)
A p p l i q u é , adj. Adpressus. Se dit d'un organe dont la direction
est parallele à celle d 'une autre partie qu'il touclie
dans le sens de sa longueur. L'une ou l 'autre de ces
pieces est, poiu" l ' o r d i n a i r e , comprimée dans le lieu du
contact.
S e di t des feuilles, en botanique. (Linné, Philos, bot. )
A p p u i , s. m. Fuleriim. Soutien, support; ce qui soutient
un organe. Linné appelle ainsiX/u/cm) les extrémités
sur lesquelles le corps des animaux est appuyé.
A pp u i ( point d' ). Dans un organe mobi le, c'est le point
autour duquel se meuvent et sur lequel sont soutenues
les parties qui le composent. Il est impossible de connoltre
la nature des mouvements du corps humain, si
l ' on n' a pas auparavant déterminé leur point d'appui.
Appuyé, adj. Adnatus, Adncxus, Sessiiis. Qui est soutenu
immédiatement, et sans l ' intermede d'un pédicul e , sur
une autre partie. Se dit des fouilles e n botanique. (DIctionn.
debotaniq. par M. Buliard. )
A p r e , adj . Asper, Scaber. Dont la surface est couverte
d'Inégalités qui la rendent rude au touclier.
Tòme l, Discours.
i c h e s
a r b r e s .
:. Elle
A R T
A p t è r e , ad). Aptcrus. Qui n'a point dai les. Se dit d'une
classe d'insectes. (Geoffroy, Hist, des insect. Unné,
Fundam. entomoL )
A q u e d u c , s. m. Aquat-ductus. Conduit que l'on comp
a r e aux canaux par le moyen desquels l 'eau coule d'un
l i eu dans un autrç.
A q u e d u c de Fal lope, de Sylvius, d e Cotunni.
A q u e u x , adj. Aquosus. Se dit des fluides des animaux
qui sont très limpides et qui parolssent être de la nature
d o l 'eau, dont ils différent cependant beaucoup.
L ' h u m e u r Uffiewedel 'cei l , des l a rme s , du labyrinthe.'
O n donne aussi le nom Haqueux aux conduits par
lesquels passent ces humeurs. Les conduits aqueux de
A r a c h n o ï d e , adj. Arachnoïdeus. On désigne ainsi les
membranes très minces, dont on compare la ténuité à
•celle des toiles des araignées.
La membrane arachnoïde de l'oeil, du cerveau."
t T a r i n , Vocab. anal.)
A k b r e ce vie, s vn. Arborvitae. Ramifications bl;
qui ^'épanouissent à la maniere des branches d'à
â u milieu de la substance grise, dans le cervelet.
A r c a d e , s. i.Arcus^Arcuatio. Partie figurée en a
d i f f é r é d e la voûte,"en ce que celle-ci a plus d e largeur :
l ' a r c a d e est plus étioite.
Arcade zygoinatique, snrciliere, alvéolaire.
A r ì o l e , s. î. Areola. Espace circulaire remarquable, sur
une éminence arrondie, par une couleur ou une saillie
qui lui est propre. On appelle le cercle qui environne
le mamelon, l'aréole des mamelles.
A r I t e , s. £ Osselet mince et aigu qui se trouve dans la
cl)air des poissons.
O n appelle vive aréce une éminence angulaire, un
p e u iranchante, et alongée, que l'on voit sur quelques
parlies des os.
A r g h s t é , adj. Argenceus. De couleur d'argent. Cettecouleur
brillante est cel l e des écailles de plusieurs poissons.
(Linné. )
A r q u é , adj. Arcuatus. Courbé e n arc.
A r r o n d i , adj. Subrotundus. Dont la forme est à-peu-près
r o n d e ; qui approche de la ibnne orbiculaire ; dont la
surface est disposée de manier e que tous ses point s sont
¿ - p e u - p r è s également distants du centre. Ce qui est arr
o n d i ne diiFeie que par quelques irrégularités de ce qui
est rond.
A r t e r e , s. f. Arteria. Ona donné le nom (Vaneres à des
canaux membraneux et musculaires, dont la surface Interne
est lisse e t sans valvules, dans lesqueb on observe
des mouvement s de pulsat ion, et qui portent le sang du
coeur aux poumons et à toutes les parties du corps. ,
Elles different par leur origine. L'artere aorte sort
d u ventricule gauche, l'artere pulmonaire sort d u ventricule
droit.
3°. Parleur forme. Il y a des arteres capillaire
a r t e r e s d i s p o s é e s en trépied, en feuille defiguie
Z". Par leur position. II y a
superficielles, cutanées, antérii
p é r i e u r e s et Infor
, des
tervertébrali
plantaires.
,4». Par leur étendue. 11
des arteres profondes,
; u r e s , postérieures, su-
•s, latérales, droites, gauches,
n é s , interosseuses, intercostales, ini
n t e r a r t i c u l a i r e s , dorsales, palmaires,
a de courtes (les vaiswmm