laic, qui
à 1 epiploon <
röseau.
G A Z
• TE, adj. Lacùpotor. (Poi
a pri
) Qui bok du
:ct aliment.
Est un 3es noms donnés par les Grecs
nnentum, que l'on a comparé à un
d'un ganglion,
G a n g l i o n , s.
<lans le
, adj. GanQlloJum
Ganglio. Tumi
. Qui a la fon
:r roug«âtre située
u dans l'entrelacement des nerfs.
1 de la forme les ganglions sont aîongcs,
•ovales, triangulaires, aiTondis, sémi - lunaires, iné-
^uliers.
A raison de 1-eur rappor t avec les autres parties, ils
sont supérieurs, inférieurs, droits, gauches, etc.
A raison de leur l a p p o r t avec d'auUes ganglions, ils
sont seuls, isolés, on conjoints.
Ç a r g a r e o n , s. m. Gurgtilio, Calamna, Columella,
Uvula, Scaphyle, Plectrum. Ces différents noms ont été
donnés à la luette.
• G a s t r i q u e , adj. Gastricus. Qui a du rapport à l'estojiiac.
Le suc gastrique est de nature acide.
C a s t r o c n s m e , s. m. Sura. Le gras de la jambe. Hippocrate,
qui a employé ce mot , désignent par celui
d'anlicneme la parue antérieure de la jambe, c'est-àd
i r e la face antérieure du lilna qui n 'est point couverte
d e chair.
C a s t r o - c o LI QVE, adj . Castro • coiicus. Qui est lelalif
à l'estomac et au coIoil
G a s t r o - é p i p l o ï q d e , aù\. .Castro-epiploïcus. Qui est
•relatifà l'estomac et à l'épiploon.
G a s t r o - h é i ' a t k j u - e , adj. Qui est relatif à l'estomac et
a u Foie.
G a u c h e , adj. Sinister. Quiest opposé aux p ani c s droites.
Un plan qui coupcroit verlîcalement le corps, de devant
en arriéré, en deux parties, le diviseroit-en moitiés
gauche et droite.
En supposant qu'un animal ait la face tournée vers
ie nord, le côté droit est celui qui répond au levant, et
l e côté gauche répond au couchant.
G a z , s. m. Les gaz que l'on trouve dans les différentes
parlies des corps vivants, ouquis'^en exhalent,
s o n t :
1°. Le gaz acide carboni q u e ' q u i se dégage souvent
dans l'estomac et les intestins des animaux. Il est dû à
l a fermentation alimentaire: lorsqu'il est peu abondant,
•il est peu-à-peu absorbé par les humeurs animales ;
s'il est en trop grande quantité, il est souvent très
•nuisible.
2°. Le gaz hydrogéné ou inflammable, qui se développe
quelquefois dans les mômes organes, et qui est
alors le produit d'une digestion viciée, d'un séjour trop
long des alimenls dans les premieres voies. Ce ga7.
existe dans les fortes indigestions. On le trouve toujours
e n plus ou moins grande quantité dans les gros iates-
•tins, à la fin des digestions.
3°. Le gaz hydrogéné, sulfuré o u hépatique, qui se
forme dans les intestms à la fin des digestions. C'est ce
gaz qui est la cause de la fétidité des vents qui sortent
par l'anus.
4°. Pendant l'acte de la respiration, l'air vital qui
fait partie de l'atinosphere se convertit eu gaz acide
•carbonique, qui est rejeté piu l'expiration, et la chaleur
G L A
qm s e dégage est absorbée par les poumons.
5°. Il paroît qu'il sort aussi par les poumons ime certaine
quantité de gaz azotique, .ou air plilogistiqué ;
mais il n'y a point assez d'expériences pour pieiidrc
u n parti décisif sur cet objet.
G î l a t i n e , Gelée., s. f. Gcàilina. Voyez lIoMr.vas.
G i t A T i N E u x , adj. Gefa/woii/f. Qui a la consistance de
l a gelée. Voyez Humeurs.
G é m i n î , adj. Geminatus. Se dit des parties qui sont
portées deux à deux sur un seul pédicule ou pétiole,
o u sur un seut point d'insertion. On appelle ternécs et
quaternées les parties qui sont portées trois à trois,
o u quatre à quatre sur un seul pédicule ou pétiole.
G e n c i v e , s. Î. GingU'o. Substance qui environne les
dents, et qui recouvre les alvéoles dans lesquelles ces
os sont enfoncés. Les gencives varient dans les différents
animaux par leur consistance, par leur épaisseur
e t par leur couleur.
G é n é r a t i o n , s. f Gcncraiio. L'une des grandes fonctions
des corps vivants, par laquelle ils se reproduisent.
Vo)
• G é k é r
, I-ÎEf
adj. Generics
, Sexi
, Qui tient à un genre.
ahereort, Mcntum. Oi
i dé-
signe par ces mots la partie de la mâchoire inférieure,
qui fait ime saillie dans la région de la sj'mphyse.
Génio-glosse, hyoïdien, phar>-ngien. Qui a rapport
au.géni, ài a langue, à l'os hyoïde etau phai7nx.
G é n i t a l , adj. Genitalis. Qui est relatif aux parties
sexuelles.
G e s o u , s. m. Genu. Région dans laquelle la cuisse et la
jambe s'articulent et où se trouve la rotule. La région
opposée porte le nom de jamt ( poples, ignys).
Gr.NRE, s. ni. Ceniis. Assemblage d'espcccs liées entre
elles par un caractere qui leur est commun , et qui doit
être établi sur la structure de quelques parties essentielles.
Les genres ne sont point dans la nature; ils
tiennent aux méthodes , aux systèmes, aux conventions
des hommes.
G e r m e , s. m. Germen. Ébauche de l'embryon.
Le germe d'un oeu£ Un faux germe.
G e s t a t i o n , S. f Gestatio. Temps de la grossesse ou de
le divers animaux. Le temps de la gestation
le est de neuf mois.
la portée
de îa femi
G i n o l v m e . s - m. Gtnglymus. Voyez Art iculat ion.
G l a b r e , adj. Glaber. Qui est sans poils. Une surface
peut être glabre sans être unie.
G l a d i é , adj. Ensiformis, Gladiatus. Se dit des parties
qui ont la forme d'une lame d'épée, c'est-à-dire qui
sont alongées , amincies sur les côtés , dont le milieu
est plus épais que les bords, et qui sont terminées en
pointe.
G l a i r e , s. f. Glaire de l'oeuf. Voyez Chalazes.
G l a n d ( le ) , s. m. Clans, Balanus. On appeUe de ce
xtrémité de la verge au miUeu de laquelle se
'orifice de l'uretre. On y distingue la base où
e la couronne , la portion arrondie, et son ou-
Dans quelques animaux, le gland est bifurqué. ,
s. f Glandula. Organe sécrétoire dans lequel
e un fluide d'une nature particulière, soit pour
nom 1'.
trouve
e évacué par ui
t pour y séjourr
repompé par des •
J e distingue des glandes
s condui
u moins en partie et pour Ctre
Qui
•exa'ét(
telle qi
G L U
n'ont ni parenchyme, i
ur, et dont la base est i
e plusieurs tissus membr
I hgan
i réservoir, ni conduit
ne simple membrane,
neux du corps humain ;
»icux, tel que la peau;
le les muscles; ou un
il que les os.
o u un tissu conti'actile, tel qi
tissu cartilagineux ou osseux, ti
Qui ont un parenchyme san
duit excréteur. Les glandes conglobi
dans ce cas.
ir et sans cone
t la rate sont
Qui ont un parenchyme, sans
avec un résen'oir interne. Les capsu
Qui ont un parenchyme,
u n réservoir externe. Les rc
des animaux, les testicules.
•Qui ont un parenchyme
sans réservoir interne ni
glandes salivaires, le foie dii
Qui
des bouches oi
e l e u i
Cryptes c
Les glandes
nduit excréteur,
s surrénales,
un conduh excréteur, et
ins, le foie dans l a plupart
e t un conduit excréteur,
îxterne. Le pancréas, les
• eval.
réservoir interne, et
s. Folliculi, cryptae,
1 parenchyme, ui
)nduits excrétc
glandulae passivae, seu vesiculajes.
Cr)-ptes simples, isolées, solitaires, simpUccs ce sofiiarlae.
Les glandes sébacées. Quelques glandes muijueuscs
du gosier.
Cryptes simples et rapprochées, grouppées, sans
communication cntie leurs cavités, agminatac, -congrogatae
Halleri. Les glandes arytcnoïdes; celles du palais.
Cryptes composées, grouppées, avec comiuuiricatioii
ivités, conglini/iatae. Les amygdales,
imposées et rapprochées, avec communî-
3 leu« conduits, dont plusieurs conduits
e réunissent en lui seul. Lacunes, lacunae.
du trou borgne de la langue. Plusieurs
follicules des intestins. Les glandes des sinus ou lacunes
d e l ' u r e f r e .
Les glandes différent par leurs formes : elles sont globuleuses
, lenticulaires, utriculaires (comme de petits
outres), en godet {capsulares), en grappe («çi/ii/br/nc.t),
fungiformes, pédiculées, ou pétiolées, sessiles.
LEux, adj. Glandulosus, Acinosus. Qui tient
lature des glandes; qui e d e la n est f o rmé ; qui en est
environné o
B, adj. Glaucus. Qui est d'un verd blanchâtre
ne farineux.
5. f. Glene, Glena. Voyez Articulatiok. '
E, adj. CIsnoïdeus. Voyez AnTicuLATioN.
s. m. Globus. Corps spliériqiic. Le globe de
G l o b u l e u x , adj. Globularis. Qui (
semble à un globule.
GLOSSO-PHARYNGiEN,STAPHyr.IN
langue, au phaiynx, ou à la luette.
G l o t t e , s. f. Glottis. Pente qui se
larynx-.
Glotte proprement dite, ou
céedcmerel'épiglotte. Ses dei
t arrondi ; qui n
adj. Qui lient à
iipéricure. Elle est ^labords
sont uimccs et
Glotte inférieure. Elle est située plus bas, entre les
ligaments ou cordes vocales, ou dans un appareil liganiemo
cai tilagineux, comme dans les oiseaux.
idj. Fiscidus. Qui est visqueux, qui s'attache
doigts.
ai
yiiN, s. m. Gluten. Haller appelloit ainsi la matière
'¡maie tenace , qu'il supposoit exister dans nos orgafoitement
G n A Si
nés, el qu'il regardoit comme le Jien qui colloit entre
elles les molécules de la substance terreuse. On reconnoît,
en lisant cette partie de son ouvrage, que ce n'est
qu'une de ces opinions vagues et incertaines dont l'ancienne
physiologie abusoit si souvent. Aujourd'hui on
sait que chaque partie a sa consUtance particulière,
dépendante de son tissu et de sa nature, et qu'on ne
peut pas regarder la partie téuace de tous les organes
comme identique.
C L U T . B s ( l e s ) , s. r. Glutloe. Les î
anciens appello! en t
» du „™. „ , ,„a
m de tubercules cjua-
ainsi les érainences nates et test
Ton connoît maintenant sous le
dri/un^aux.
G l o t i k e u x , (corps). Substance, on partie glutlneuse.
On appelle ainsi un des principes de la farina
de froment, qu'on en extrait par le lavage de lapûte,
•et qui à une ductilité remarquabl e réunit les propriétés
de se pourrir, de donner de l 'ammoniaque à l'analyse,
d u gaz azotique par l'action de l'acide du nitie, enfin
•de présenter tous les caractères des matieres animales.
Ou trouve une substance analogue dans les parties
organiques des animaux, M. de Fourçroi afait voir, par
des expériences ingénieuses, que la substance fibreuse
d u sang et la base des muscles sont de cette nature.
G o d e t ( e n a d j . Capsularis. Qui porte une excavation arrondie
dont les bordssont peu élevés. Glande en godet.
G o d r o n n é , adj. Qui est remarquable par une suite de
plis arrondis.
G o m p h o s e , s. f. Gomphosts. Voyez ARncuiATiow.
G o r g e , s. f La région antérieure du cou. Région cervicale
antérieure : elle est opposée à celle que l'on connoît
dans l'homme sous le nom vulgaire de chignon da
G o û t , s. m. Custus, Geusis. Celui des sen
on discerne les saveurs. Son siege est da.
de la langue.
GOUTTIERE, s. f. Siillicidiuni, StriiUura, Sinuositas
Demi canal. Voyez Cavi té.
GOUTTIERE ( en) , adj. Canallculatas. Qui a la forme
d'un deml-canal, d'une rainure.
G r a i n s g l andul eux , ^c//«. Petits corps arrondis ou
polygones, qui composent les glandes conglomérées.
G r a i s s e , s. f. Adeps. L'on appelle de ce nom Tune des
humeurs animales dont les caractères sont d'être plus
o u moins solide, blanche ou jaunâtre, fusible à une
douce chaleur, inilammable, immiscible à l'eau, et
dissoluble par les akalis. Il paroît qu'elle diffère des
huiles grasses ou fixes végétales, en ce qu'eUe contient
u n peu de substance gélatineuse. Voyez Humeurs.
G r a i s s e u x , adj. Adlposus. Qui est relatlfà la graisse. On
appelle du nom de graisseux ou adipeux le tissu cellulaire
qui contient la graisse.
par îei
s les I
G r a n » , adj. Magnus. So dit de certains corps dont le
volume surpasse celui d'autres parties de môme espece,
avec lesquelles on les compare.
G r a n d e u r , s. in. Magnitud'). Étendue de ce qui est
g r a n d . '
G r a n u l e u x , aà].'Granulosus, Granosus. Qui est composé
de petits grains arrondis et amoncelés, Les dents
de quelques poissons en fournissent un exemple.
G n A p 111 o ï D E, s. f. Graph ioides. Lesanciensappelloient
ainsi les apophyses styloïdes de l'os des tempes et de
l'os du-coude.