
 
		T   0   M   U S   D E C  I  M   U  S. 
 Fig. Pag. Pig. Pag. 
 1  De Chinet ,J 44 87  Des Indes.’ 
 i 3 43 89 
 8 15 4 6 91  .. 9 48 9 5  De l’Amériqi 
 10 19 5° 99 11 zv î i 101 
 M 2-9 39 117 
 18 33 60 1 ï 9 
 z z 45  De Chine. 68 13 5 M 29 69 l 37 Zÿ 32 37 70 r 3 9 - É3 73 145 34 67 74 I4 7 _ g 35 69 73 149 37 73 78 155 38 75  De Chine. 79 157 39 77  De Chine. 80 159  De  Chine. 
 41 83  Du  Cap. 90 l79 
 T   O  M   U S frLxV  1> E   c T l oe u s . 
 Fig. Pag.  -Jm Fig, Pag. 
 I& Z  l  J 49 101 
 6 p fD e  Madagafear. 5° 103 
 1 1 ZI î 1 105 
 12, Z l 53 109 
 1 1 43  Vk 55 1 13 
 2-3 49  De Madagaicar. 57 117 
 z8 55  I 58 119 
 38 7 5  De Madagaicar. 59 1 z 1  De Chine. 
 39 77  De Chine. 60 1 z j   De Chine, 
 43 8 5 \ z j ] ' 
 48 99. 
 norms  malabaricus. 
 T   O  M U  S   D U .  0 D E C 1 M U   S. 
 Fig. Pag. Figi Pag. Fig. 1  Pag. zI 1  É F 32 6 3 3 2 9 7 3 33 5 3 9 9 3 ' ^ 7 3 4 6y 5 4 i-a.i 
 4 9 3 8 7 2 64 i z f 
 5 1 1 3 9 7 2 69 J 3 i 
 7 l 3 42 77 7,0 133 1 0 Z I 4 4 8 1 7 4 1 4 5 1 1 2-3 4 5 83 7 7 r 4 7 
 1 5 31 -  4 9 91 7 8 1 4 9 2-3 
 2 8 
 4 5 . 5 ° 9 3 7 9 1 5 1 
 3 5 51 9 5 
 N o t a .   Les  mots  de  Chine,  des Indes,  du. Brefil,  du  Cap.  ôcc.  
 qu’on  lit  à  côté  des  noms  ou  des  chiffres  qui  déiignent  les  plantes  
 quon  trouve  à   lHîe de France,  indiquent que ces  efpeces  ne font pas  
 naturelles  a 1 Ifle  de France ,  mais  y  ont  etc  apportées,  ainfi  que  les  
 eipeces a cote deiquelles on  a mis par la Bourdonnais  ou  le  nom  .de  
 quelque  autre  perfonne  à  qui  cette  ifle les  doit. 
 Je  pofTéde un  allez  grand  nombre  de  plantes de  l’Ifle  de  France,  
 qui  parodient  devoir  fournir de  nouveaux genres  :  je  les  ferai  con-  
 noitre  quand  l’occafîon  s’en  préfentera ;  j’en  ai  déjà  fait  remettre  
 quelques^es  a l ,  S ^ éRoyalei g  LondreS v à !  ,le ■  prtfc  ;  
 les  autres  li  elle veut bien me le p u      ....... 
 J 'a i élevé  &   cultiv é,  à  l’Ifle  de  F ra n c e ,  toutes  les  plantes  d ’E u ro p e,  d ’A fie,  d'A frique  &   
 d  Am érique ,  dont ) ai pu  m e  procurer  des graines  ou des p lan s,  o ig n o n s,  Greffes  f e   l !   
 but  étoir de reco n n o ître,  pat  les  eflkis les plus attentifs  &  les  plus étlndus  le s pla’ntes‘„“ C   
 pourrott  cultiver  avec  fruit  pour  cette  c o lo n ie,  foit  pour  ion  propre  „ fag e ,  foit  pour  c t U   
 des pays  &  des vaifleaux  avec  lefquels-le  com m erce  &  fa  ppfltion  la  m ette n t  en relatio n  
 Je  fuis  parvenu  a  avoir  les  plantes  potagères  d ’E u ro p e,  &   celles  au ’V l l p " 'W , "*  
 l’ufage de  la M édecine ; ptefque tontes étoient  en état  d ’8tre  çonfom mées ou  em ployées  ma“iï 
 en général  d  une qualité fort inférieure à celle de ces m êm es  plantes  en  F r a n c e -   •  r 
 obEgé  de  fe donner plus  de  peine  pour  les  faire venir * 
 la  faifon  des  pltues  les pourrit  ;  la  faifon féche  les  fait  fécher  ou m o n ter  en  fleurs  en^n 
 pour  avoir  ces  plantes,  il n’eft pas néceflaire,  com m e  on  le p ré te n d ,  de tirer  les graines d û   
 C ap  de  Bonne-Efperance ,  d ’E u ro p e,  ou  de Bourbon  ,   car on  peut en recueillit dam   lé  n!  . 
 m ais  il eft bon de faire ce renouvellem ent  de tem ps en tem ps.  ^   > 
 Q uant  aux  plantes  qui n’ont en Europe-d’autre  recom m andation  que  l’a g rém en t,  oarceouK   
 les  fleurs  font  agréables  a  loe il ,  ou  odoran tes;  j’en  ai  cultivé  la  d m   m n l .   „   ^3- 
 eflais ;  m ais  elles  n’ont  réuffi  qu’avec  plus  d’attentions  &   de  foins  qu’elles  ne  d  L P i 
 ¡ ¡ t e   ;  l’o d e u r,  n i  les  couleurs  ,  ni  i l  beauté  des  fleurs  d o u t e   n’é é a n È   
 qu en E urope. Les giroflées ont m ieux réuffl  que  les  autres fleurs.  au  m jjai?  degrc 
 J ’ai  cultive  tous  les  arbres  fruitiers d ’E u ro p e ,  avecbeaucouD  r  c  -  ,  - 
 terrem   &  de  l’expofition ;  m es peines  n ’ont  pas été  récom penfées;  il y en a ’qui“nefleurM cnc