& beaucoup plus large que n’esfl.la ^eine vis^ffKis les Invalides*
On vous fait entrer dans un canpt étroit& long ,
&,dont un des bords eft de moitié plus haut que-l’autre ;
on fqroe enfuite deux chevaux d’entrer dans l’eau, l’un à
ftribord , l’autre à basd>ord du canot, & le maître du
bac -tout nud , précaution. fort fage affurément, ; mais
pep propre à rafluret. ceux qui ne lavent pas nager, ft>ur
tient de fon mieux au deffus. de la rivière la tête des deux
chevaux , dont la befogne alors eft de vous pafîer. à là
nage de l ’autre.côté , s’ils, en qnt-la foi-çe. .
Opn Ruis arriva à Montevideo peu de jours après
H -Il-y-vint, en même ternes deux gqëJettes. chargées
l ’une de bois & de rafraîchiffemens, ,1’autre de bifcuit-&
de farine, que nous embarquâmes -en remplacement de
notre confommation depuis Breft. 'Les frégates OElpagno-
Jes étant également prêtes , nous -nous;di|pQ@.mes à fortif
de la rivière de laPlata,
a u t o u K: d u M o n d >.e ; 31
C H A P I T R E I I.
Détails fur "tei:*Etdblijfemens des'Ëfpa^nols dans'td rivière
de laJPlatüf
R l ^ l a P'iatdou là'Rivîeréd'uïgèht, né' cbiïfe-pbint fous
lè miêîhëdorti'dëfftà^ fôTOëéyEliëfmf f S - êti fxïüWé&
XaMgêr'veirs1 lès feîzë degrés trente ' minutes Stid/fèus;
lïûômdePàràgirhi,“quelle donne ;âfune imxhenfeétendue
de pa/s-qu’e l l è M p ‘ Elle fé'joint Vers - le: vingffep-
tiefnh dégiré aveé pfend le hënvavëb
lëséadx: Ellfe' cddîê1 eîifcitèu dfoîf au( Sud jufqué par lë
ttente^amemedegiré? éfte’yfëçoifl’^ ^ f & prendfote
cours àl’Eft fdüsilëhiürivde'-/d! Platà, ^^lledùnifè'fvëëiï-
£n .jufqu’à là mer.
yEes^eë^faphës fëffîfésy q^î|iè:Jpfëmîeî^dëE^àftfi^uÉ
l’origine de- co grand fleuve nu lac des- ^afagës V’fëfdht
ttompés-',- & ■ lés autres1 Eerivainsdnt fuivi leur difëhf à Cet
egàiA L eüftéhcë dfec cëdaiëp qh’bhc à dejkâlp dhëFcKe
vainement y e f L L e îfe f-
qéiîs -de Vàldéliîiâs" Sël^dïi^GéëVlii^ Mèiie^èl, “hprnf'ëtë
riOMSés, l’dnpafl’Efpà^è -l’adtiè pS- léd > b ftU g^ ^ f
régler dàhsxës* ë@fitfft#îè¥1 lirrfitës de^pdfféfflA^rb^ëë^
OfficîërsEfpagho'ls &
Portugais1 pàrc.durur ënt, depuis f 751 jtiTqu’eh -i 75 p,toute
cefto portion déT-Amëriqtie. Une partie' deSvÈfpaghbis
remonta le fleuvedyPara^uâr, comptant entrer pafïette
voie dans le lac dès Xaragès 5 - les Portugais de' leurcôtë-,
partant de- Màtagrdflb-,-éfabTiiTèmênt' dé leunnafiBnfiVr Ia>
rontiere-xntëneuré du Bréfii par douze d’egrés ’de latitude
On eft dans'
Terreur fur la
fource de ce
fleuve,