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Eaî j
Eaidj
Eaibou,
Eaiabou-nidci)
Eame,
Eani,
Eao ,
Eatoua,
Eeva,
E ie ,
Eivaeoura ,
E iv i,
Eite,
Eht& y
Emaa,
EmaOy
Eîtiettat,
Emoe,
Enapo ,
Enene,
Enta,
Enninnito,
Enoanoà y
Enomoiy
Encro-te-papa-,
Enoua ,
Enoua Taitiy
Enoua Paris,
le feu. , >
pèrruche.
vaféi
vàfe qui fert â mettre le manger,
boiffon faite avec le -
toutes façons de fe battre,
les nuages, & fleur çn ^outon ou non
ouverte.
la Divinité. Le même mot exprime aufli
fes Miniftrçs, ainfi que les Qçnies
fubalternes bienfâifans ou' malfaifaiis.
deuil.
voile de pirogue.
danfe. ou fête des Taitiens.
petit.
entendre,.
mouche.
fronde.
requin, veut dite âiifli mordre.
donner.
dormir. .
hier.
décharger. .
dedans, furi
s’étendre en bâillant,
fentir bon.
terme pour appellèr, venez ici.
affeyez-vous, .
la terre & lès différentes parties,
le pays de Taiti. ‘
le pays de Paris.
D E l ’ I L E T A I T I . 391
EO y fuer.
Eoe-tea, flèche.
Eoe-pai y pagaye ©u rame.
Emoure-p.apa . l’arbre dont As tirent le coton ou la
bourre pour leurs étoffes.
Eone<y fable, poufliere. '
Eônou y tortu#P\
)Eotè, baifer.
Editai, 1 pluie.
Eouao y voler, déroberai-"
Eououa y . Boutons fur te vifàge.
E 0Ôêy*âi - Torétr
Eqùtioa y bru, Belle-fille.
Eôuramai j ,,';fuitsiiiô' ■’ ■
Eauri. y danfeür;-1H
Evuriaye., ■ danfeüfe:' 0
Epdo y vapeur lumirteufe qui file dans lê ciëî#
que le peuple Sfôiime étoïkfm fik%
A Taiti on les regarde comme- dés
génies mal£àifeft‘& '
Epata y coup de langue pour appeller lafemme^
■> papillon^ -1'
Epija, oignon.
Epoiwtacty fi filet. Il fett à-appellèr aux repas.
'iEpoupohiy . fouffler le feu*
Epoure, prier. -.4
Ep ou ta y bleflure j ce mot exprime aufli lecic»*
trice.
Eray ’■ foleil.
Era-ouao, ' foleil levant.
Era«oùopOy • foleil couchant» Ml