riger 13 ®s" erfeursffür la tfiftariéë ,-erî là-^ifWt catfréCâveC
lobfervation dëlatiÉüde-, ^ à :n€ paÿcofngètJl?aîr dë ven:if«
A U T O U R D vU M O N D I, 27
Je dois à cette méthode d’avoir eu connoiiïance de terre ,
prqfque au moment où me la montrait mon eftime. Ceux
d’entre.nousqui onttçuiqurs calculé leur,chemin à l’Queft,
d’aptes l’effinie journalière, tende coqçqntant de corriger
la différence en latitude que leur.donnoit l’observation mér
ridienne, étaient,à terre^ jong-.tpips avant que npus ne
l’euffions apperçue. Auroient-ils été endroit d’en Conclure
que l&côte duBréfil eft plus à i’Oueft que ne le marque
M.Bellin ? >
En général, il paraît que, dans cette pa$ie ,Jes cou-
mns.ypietp: s ' & pQitent qyelq^gfgjs au^ord-^ff,. plvs
. fquyent au Sud-Oueft. Un cpup.d’oeil fur le giffement de
la côte fuffit pour, prouver qufüs ne fdoiyqnt fiüyre que
l’une^qu l’autre de ces deux directions, ,& il eff toujpurs
facile de diftinguerlaquelle régné, par-les différences Nord
ou Sud -que donnent ,-les pbüervations de latitude. C’eû à
ces rcqurans qu’iliaut imputqrjqs^erreursffréqi^ptqs dont
les Navigateurs;fe plaignent, & je pépié que ;M. JSdlin
place exactement .les cqtes -du Bréfil. Je f e r a is d’autant
plus.vqlqptiers> qqe-la'longitude de Rio-Janqiro’a été d éj '
terminée par MM. Godin & l’Abbé de la Caille, qui s’jr
rencontreront en 1751, qu’il y a-apfli eu devs pJ^Çerva-
ftiqps4 e longjtpde ffùtçs à£ernamhuc,& à Buénos-Apes.
Çes trois points, déterminés , il ne fçauroit y avoir d’erreur
çpnfidérable fur la pofition en longitude çle.s, côfës orientales
de l’Amérique , depuis le huitième ijgfqu’au trente-
cinquieme parallèle; de latitude auftralej & p’eff ce que
l’expérience rt.qus a confirmé.
Depuis Je 27 Janyier nous avions lefonff, & le 29 au
fpk, aous-vimes la.terre_, fans qu’il nppss fut permis de la
bien* gçonnqitre, parce qpe ,1e jqur.-étoit fur fôn ; déclin,
m
Obfervatioiri
far les côifc
rans.
Entrée dans-
la riviere de la
Plata. -