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maoe a été-de fai plus graqdæreflontce dam
cetteilongue ctraverféeu :0»'aÜOTa©it’ l&feiàà,«kwf tentes
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cbfqte nuiriiqusifoififfiÆrs p^^àteterkpkidteaiJfai tefte
porni ménager. l’aati .douce, : nous: avons? toujours^«! le
pani- aveedei Kèaoefàlé©* ov
Le 2 Ayiàl'à:dix:teuiæS|dtt:in^ck aousapperçumesdans.
le NordiNordl-Efl: une; montagne. haute. &: fe)jtt::efi:atpée;
qui nàun-pmuütelééijljeia’nomm^ hjB'àkdôw cxîLta'pkidg
t a Mocé pomi teteconteître|
kniiqte; nous eûmes. lavue damer antre. terre dàa&l’ôiieék
quartfNtedyQueft;, .dont; la.eoîei non mmnsîéJevjée.dffiait;
à nos 1 yeux une étendue indéterminée» Nous, avions; le
plusurgeni béfoin d’unnrdâehfrqui nous; ptbcurât dirbois
& dés; rafirakhiflemens, :6c Cfnifed6fattcâtîd«lei1roiwer;^
cette teste.. Il fit pcéfqufè .éafan© ternie: IquE*?La .’hriïie Je
leva, le feit^ &nous courûmes fut la tefrajùfiqn’à:: deux
héures du matin queiinous renûmcspendant. ttois.teures ié
botd.au large?.Lefioleil fe leva enveloppé de nuages. &de
Brume* Jk. c©nefiat qtrà’ neuf heures /du matin ;qæ. nous
revîmes la terré dont la pointé? méridionale nous; réduira
Oueft-.quart Nord-Ouefi';' ©nnappercévoit plus le pie de
la Boudeufe que du haut des mâts. Les vents faufilaient
doeNoidi à n Nord-NonîÆfi: , 6e ' nous, tînmes; le plus près
pour altérée au vent de Vile. En approchant nous appert
çûmes au-delà de fà pointe, du Nord une autre terré éloii
gnée plus fepténtrionàle en co re fan s que nous puffions
alors difiinguer fi elle tenoit à la première île, on fi elle
en formoit une fécondé. I
Pendant la mât du 3 0au 4 nous louvoyâmes pour nous
élever dans le Nord» Des feux que nous vîmes, avec j oie*
A a
. 1768.
Avril.
Seconde dl-
.vifion de terres
; archipel
de Bourbon.
Vue deTaiti.
Manoeuvres
pour y aborder.