lée favorable; elle baiffoit al#rs 8f portoit dansTOüdL
Les vents: né tardèrent pas à tevetni à Qtaeft M Oeeft-
SndrOàefî:, & nous ne pûmes jamais avec laibonne
gagner fêle Rupert. La fiégate tnarcboit très^malv^^0^
©ptrfe mefure, &;ÈËt©ile avoir far pons nii:: avantage, incroyable*"'
N'èUsjreÉâmes tout le four f e les bords entré:
Elle Rupert &T une pointe du continent qa’o® nofitfne I0
pointe du R a^gey pour attendre le jpffantavec
péroisgagneroel© mouillage de'IttèahlïqtophioekflÈ* 4*.
Louis te Grand, ou celui de la baie Eli^abetk (>)• Mais
comme nous 'pétions., à louvoyer, j ’envoyai un cafiof
fonder dans3e Sud-El| de Elle Rupert, avec intention d’y
aller imoalleri jafqnau retour de la marée favorable* .lié
éanèt ôgfîalà y tefbafur fan.gtapin;.> mais;
rîouSenéïforiSfdéla^onftbés beaucoupifous lèvent, Nous èbUf
runiè’sUniferd'à terré-pou-rtâcfeer detlegagBier enrevkahtii.
fa fiégatè refufa deux fois de. prendre vent devant , ü fal-
lutvirer-vent arriéré ; mais auraoment àl*aàde,de\î*
riiânêeüVrë^ & do uoibaSeaux, elle :eommeniçaâ: amvef
forcedeiamarée. lafowvénifi auvent : uB'.èèmraM vftdfint
nous avoir déjà èrmrainfe'M une demè^ènsabkîïejdê terrée
je fis mouille» fis* § braies de fond: FanctëLtoiiabéeJ’ur
àe» roches ekaffa, fans qae k proximité ©fi nousetrensdé
. ( j i B e p p le cap Galant Mjtgfè k
baîeEMkbeih1, &-t^~couiVà-péuyrès-
fi» Ifej ^i^-N<MrfrC^a^8t^ÿfefeefe
de rtm...à l’ditre.peut être de- quatre
ligues. Dans cet intervalle il n’y a point
dç tpQuiiUg^ àJ^iîÔteàu cQndjient. Le
fond' y"eft trop- confidérable, même
tout à terre. La baie Eli&beth efl: ouverte
au SudcOneft, elle ? trois quarts
da lieue entre fes pointes, & à-peu-près
autgnt. dgitjpfoûdejiî^ jLaqôte qi^nd;
dé krfefie efl fiÆforreüfe', ainft qire.celîe
du S ud-Efi. Dans1 fit. ptrtîg fêptenttrps
\ iû è règne-.ufie* Bâtsfré c|nPfe,pï-olo»gS
ajH ÉÉÉgjl ;Lç. btpMttouillag£ d?ns
cettelBaie en par o Éràffés ,TôHdi de fe-
M e, gtsSÉet ! corail n & js? i^s jpar-
quas^ivatitçs j a b ^ n t e I f t ^e.ja çaiq.
au .Sud-w i#® -1^- «fcgqEÉq^fcÿèââta:
O p ç ft à. 3, J& * ointe iSt dé Vue de Ê o iÉ s-lè-ëtâm i au,
nd-Sudi-OfuriVf.dtSad'î là bârafè aie
Nor4-?Oueft-quai;t-Nord.. . .
la ferré, permît de filer du câblé ; déjà nous n’avionsplu$
que 3 braies & demie d’eau fous la poùpe & nous n’étions
qu’à trois longueurs de navire de la côte ; lorfqu’il
en vint une petite^^ btife j ttofis flûtes âufii-tot fervir . noè
vo lesI & la frégate s’abattit | tous nos bateaux fk ceux de
l’Etoile venus à notre iècours, étoienf devant elle à là ce*
morquer ;_ nousrfilions le cable furlequelron avoit mis une
bouée, & il y en aVoit près de la moitié dehorslorfiju’il
fe trouva engagé dâns A’entrepont & fit'faire tête à la frégate
qui courut alors le plus grand danger, ; On ; coupa le
cable, & la promptitude de la manoeuvre fauva le bâti*
ment. La brife énfuite iè renforça, & après' avoit encore
-couru deux bords inatilementVje pris le parti, de retourner
dans la baie du port Galant, où nousmouililmes k huit
•heures dufoir.par 20 braffes d’eau fond de vaze. Nos. bateaux
que j’avois laifles poür lever notre ancre revinrent
â i ’efttrée dè lanuit avec lancre êt lecable* Nous
n’avions donc eu cette apparence de beau tems que pour
être livrés à des alarmes cruelles,
La journée qui foivk fut plus orageufè encore qUeioutés
4eS précédentes. Le vent élevoit/dans le canal;destburbih-
ions d’eau à la hautetïr des montagnes,: nous en voyons
quelquefois plufieurs en même tems couirir dans des ‘dr^
reéfions oppofées. Le tems parut .s’adoucir va s les dix
heures, mais à midi un. coup de tonnere, le feut qtie nous
ayons entendu dans le détroit, fut coinniede lignai auquel
le vent recommença avec plus défadé: encore:que
le matin; nous-chaffâmes & fumes contraints de mouiller
notre grande ancre & d’amener baffes vergues] & mâts de
hunê. Cependant les arbuftes & les^ plantes éfoietit en