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OEppelleülàqbiieiedesRois, â^)'^tbi^-lrâiÉÔotsï[idîla:36ôMî-
-»’aerirfçsià pg5rdfjfc b i0 v.
3 n J’ai' appris d’AQtowroû! qoeeri^iron Mit Mois avant tiotre
abrivée dansi&Eïiïë p H waiffeâd AngloM^y "afeordé.
:Oefi,3cElui qu<e Goxianiantfcit; M.' Wallas. Le même hé$k*:d
quiaieusa fait déoonÿiartoétfe^îlel, ^ a ceiridMtiei AngM§>,
pendant que nôus^étions/à:la rivierê.’ de 'la-Plata»I Ils]yofit
dféjourné un. moisy & j à.l’éxÇeption d’upe attaque :qué leur
iont faite des infiilaifes qui fe'Æattbi^ntd’enkverlè^aiffeau,
.'tOiUts’ieft:pafféràrâmiable.iM.oilàÿfensdbutebd?:où proviennent
& la, connoiflarice'du fer > que pouf avonis trouvée aux
Taitiens, & :.lè noiqrd’àofif/ï qu’ils'iùndonàénti,?. ûîoffi aflez
.femblable pour le fpn‘ au moi: AngjtaisfmM Wjm% qui fe prononce
airori.. J’ignore maintënant. fi les Taitiens, avec la
connoiffance; du fer , -doivent: auffi aux- Angloïs. c'ellè Ides
• maux ..vénériens ; que? nous^ÿfeavens trouvé; naturaîiFés'',
i comme onde verra bientôt, i
CHAPITRE
A U T O U~ R D U M O N D E . 2} 3
C H A P I T R É I V.
0^art de-Tàïti*j: 'découverte•détibüvelles'*îleshàvightïori
[I | fëfqwâ-Pa,^fortie dés-'^rdrides Cycladès. ■
N' a v,u combien la relâcHe àTaiti avoit(été mélangée
de bâen;,&: .de m af| l’inquiJétu4e^&.ile- danger y avoient
accompagné nos .nas1j.ufqu’a,ux;derniers inftans, mais ce
pays épitjpqu^nqus^ un ami quqpo.us aimions avec fes dé-<
fautSij Le 16 Avri^/ài h^it;heu^eJs7du-matin ,;nous étions ï7^-
environ.Mdixrlieuesjdans ie Nord-Efi-quart-Nord de là
peinte feptentrionale, & je pris,de là mort point dé départ.
A-dix heuresnqus.apperçûmes une,terre %us le vent, qui
parçifloit,foymeritrois îles, on .voyqit^encore: rextrémité
deTaiti. A midi, no(us. reconpûmesj parfaitement que ce ,
que nous, avion^ pjd^pour trois |les n’en étoit qu’une-feule,
dont lesibmmets nousayôient paru, fiqlés ^dans l’éloigne-
ment. Par-deffus cette.nquvellq,terre', nous crumes^en voir vûe <TOu<-
une p.lqs éloignée. C ette ;île en d’une, hauteur mpdioçrq
& couverte d’arbres $. qp peuti’appercevQjr-en: mpr-dq huit
ou dixlieues. Aotquroula, nomme Ournaitia. Il nous a fait
entendre d’une maniéré non équivoque, qu’elle étoit ha*
bitée^pat une nation amie de la tienne, qu’il y avoit été
plusieurs rfbis ^qu’il y avôit une maîtrefle, & que nous y
trouverions le même accueil & les mêmes rafraîchi|Temen$
_qu!à Taiti. I
Nous perdîmes Ournaitia de,vûe dans la journée, & je Direâiond«
dirigeai ma foute de maniéré, à ne pas rencontrer les îles laroute*
Pemiçieufes .que les défaftrçs de l’Amiral Roggewin nous
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