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l’état de nosbéfdlns bifeuit§s vin ,• fetinevj 4,vknde‘
fÀîc‘he î'^ lêgt'inësJ>l& /ëHê^priai déf%oe§ - faite --feùrnir ‘
notre eau^àdte^ ^ay^^de ; la ^ôSï^a^nieV ^ é t# !fën-’
gëlrhês 1 èmiriêmefeiks â; nous fâgir ^W ë rp é û r Ple ins
de'nottè^réjbuf. 'G?éft'Ce que noYrë fîiflés d'ans uné-gràiidé
belle-maifonÿ^ûé l’on-appelle iner %^ènt ^ dans i la-
quellë ôn èft lëge‘& hd^rfi^poto'dené' nfdaiës-fzi]m\;i
lïéfti fcoBrprisdél â ë ^ e f t i i^ f e s ^ c ^ f a ^ ^ ^ e ipiftolèj
dê notre mofinoiev Cette niaifori appartient à 4Ta Compagnie
, quif afferme à un particulier] lequel a^ par ce moyen,'
le -p^îÆëgé1'fe4!cl^iÔP:>,d^
dant îles - Vaiffeaùx de gfe^ë nè fdnt £§#§> fôûmis1 f cette
loi j St ëk éônfééjhènéë -1-Ètat-màjofdé 1 Etoilé S'étatolften.
pënfibn dans urier!B^i&rt;bdttti®ifè« '44’Oüs louâmes -auffi
fer dansCctte gtândé ville V-voulani fut qtout erciparcouriir
le^°ênvîroüs,' pius beâüxrnfin^
Cës voitures dé louage font à^deiax ^places-, trainees par
deux chevaux, & lé prix , chaqu,eqour ,-én eft un peu1 plus
de dixfrâncSi | P | ' ; •'• :v r>-V ;:’ 9i) j '
&*P*? le ttoiâéîneijjiïtr de notre
arrivée " une viffte dé Cérémonîè 'aü Général, : que le Saw
bandat enm^f ^prévjenu^Il SO® reçut dans une fécondé
maifon de plaifance * nomnïé'e'/acaïra^iaqueUe.eft àqâeu-
près àu tieréde la diffancéde Batavia' à la màifon oii, j’a^
Ÿ5&&e-4e "premier füVtti'| p n é #àttàis mieux: comparer
le dïemin qui y menë',-qu?aux plus bqatix boulevards dè
Parisien lêsffuppofànt encore embellis à droite. & à gauche,
par déS'Canaux &nereaer>eourame,i Momæuffions
dû faire' Suffi--d’âutresHvifites, d’étiquette introdints. d e
même par le Sabandat“, fçavoir chezle Dire&eur-générai;
chez
A V T O U R D'V M O N D E .
•chéz le Préiîdént de Juflice, St chez le-Chef de la marine.
M. Vandersluys ne nous en dit rien', St n©us;:n.’allâmes
vifitenque le dernier, n
t ..Son titre e&Seopen/iagen. Quoique cet Officier.n’ait.au
fervice I d;e; Ia.CompagnieqUe le, grade de1 Contre-Amiral,
celui-ci eff néanmoins -Vice-Amiral dés Etats;, par une faveur
particulière du Stathouder. Ce prince a voulu diftin-
guer ainh.un homme de;qualitétque:le dérangement* de
fâv.fertune a',f forcé ’d'e quitier ', Iai mari'ne’ 'desr Etats. quIilf a
bien fervit, pour venir prendre ici.ie p'olîefqu’il.y occupe,
ï Le Scopèh.hagjenreff membre de'ia-haute.Régence;
dans, les affembléesdedaquelle ilaféancë&voix délibéra?
tivelpour les affaires1 de marine j/il jouit auffide tous les
honneurs des Edetheersî Celui-ci; tient un grand état,riait
bonne.chere ferdédommagedesmauvais momens. qu’il
a fouyen>;paffés à la mer-, en occupant une maifon déli-
cieufebors de la ville; -,
Çendapt quejnous reliâmes, ici,, les principaux de,Bata-t Amufemens
via s’emprefferent à nous, en rendre le féjour âgïféable. De
grands rçpas'jà, la ville St. à Ik çampagrieiÿfdes^aneéÉs,
des ’promenades charmantes j lajvariété« dei c@nt -objets, r éi& ’
nisdci & prefquèftous'.nouvëapx pour .nous1, Je coup'd’oeil
dé lentrepôt
que celafle fpeâacle dmplufieursjpeuples qui^bieh qu’op-
ppfés entièrement pbur les moeurs,, les ufages, la religion,
ferment cependant utie: mêmélfqeiété j. tout concouroit à-
amufer les yeüx ',t.à:inftrùira le navigateur, à.intéreffer
meme le philoféphé. IL y aide plus ici une Comédie qu’om
dit biffez bonne 5 nous jfavonî» pu jugenque de tefaile qui'
nous a-paru jolie;; n’entendant-pas ; 1 a d a ng.ue c e.fut bien
â.ffez pour nous d ysaller uuëffois. Nous fûmes infiniment;
; V y