
D U M O L O C H.
L E M O L O C i l ,
FAMILLE i kD* ., SECTION I I 1;“ 8.,, F it
S o n ia m oloch, ec a u d a ta , v e tilu u calvis , bjxrçàik f<trè Îongifadvio corpàiis vsU ere-gnsèù-tanw *
O n pourroit également attribuer k cotte espèce, dont l
roit tenté de ne la regarder que comme Tme^lirmlé-v
mais le Gibbon a la fa'cè basanée- et celui-çj l’a noire ;’ j
pieds gris et le reste du' corps nqir , tandis que le Mol
a ces mêmes extrémités un peu plus fbttcé.ç$. Cependant
de lu lace d’un gris-clair, le Gibbon aaiissi cette pair/,
gris bbuv ; le Moloeh a le poifdu corps long et lained
• Gibbon
Sans affirmer que ces deux singes sont d’espèce différente. i’ai era dcvoii , D - X , . "
les séparer jusquà ce qu’on ait acquis les- cnnncissances 'nécessaires pou;
les Eeupir., Je. n ai ppîiptt vu de souelr.de.; d: ru.-; anima»*: j lu:; caractères
qu<; présentent de simples-peaux bourrées ne me paraissent;t»as suffisant
pour établir le r.rai en histoire naturelle. Les peaux'.yûffisent, à la^vérilé „
pour faire de bonnes figures ;mais ce^n’est »as . ir. pou [a sci
(nts la. comparaison des parties solides et des organes intérieurs qu’on, peut
parvenir à la conifoissaneo exacte des espèces j et It&aqu’rm nê peut faire
cette comparaison, il Tant mieuxsocoutenteTde donner une bonne ii»ur&
d’un animal dont l’espèce, est incertaine et rester dans le doute, que do
risquer de grossir.la liste des erreurs par un jugement trop, précipite. On'
i m i l t i ï i l S Î