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L E G- A L A G O , f i g ü a e l
Gpittÿo sejtegalensís, caudatui^hetíKcens, auriéns magnis\> midis. .
Gaiago sewgttlt'iuiu* G f ) ï t n c i . - - Gafa.* >jom tic cet noânal j ;l ¡&néa¡U
C e genre diffère dn précédent pat les dents incisives qui sont au nôiut
bre de deux très - écartées à la mâchoire supérieure ; l’inférieure est ar*
mée de six incisives, comme les Makis ; eüééaoktff'ég^èmeni: dirigées obliquement
en avant , mais elles son t plus, minces et ne paroisscn t pas sus- .■
ceptibles de pouvoir entamer les corps durs, tels qué les jgraLves des plantes
légumineuses. Les canines supérieures sont assez grosses et arquées,' les •
inférieures sont couchées sur les incisives^ à Tune ét.l’autre mâchoire, lès'
molaires qui suivent la canine liii. ressemblé ut pour la formé et la position.
Enfin, on remarque à la mâchoire supérieure une molaire de plus.
C’est le professeur CeofFroy qui, le premier, a fait eoimoître cette ixité*
ressautc espèce. « Les L briattés du Golago, ditr-il, offrent peu de dilïé-
« res »ces de celles des Ssnges et des Ecureuils. Iis sont, en général, très-
«doux, presque toujours perchés sur les arbres,"et se nourrissent d’insec-
« tes quais saisissent avec facilité des mains de devant, et qu’ils dévorent
« avec une prestesse singulière. lia a’aicdtmpleut tk«aie lá'phipart <iea au—
a tres animaux quadrupèdes ; le mâle se piaCïf sur le dos de sa femelle:
« pendant; tout le tems de l’accouplement ils s’accroupissent très-■ bas. lia