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 ■  y g   PER'KÔQ.rET  LOHI'-PfOIRA.  . 
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 P L A IS  C H E   X C U . 
 Bouffe-  é.pâuteUes.,'-ef tâche  sur  te  dos  jaunes; ailes,  bout,de  ta  et plumes 
 dm  iaiàbesvèsft pleiù ; bec. jaune ; pi«d* nQitât$£& 
 Le Lori-Noira;  Bu uf.  première  espèce ;  pl.  enl.  n.°  ai6,  sou» Je  nom  de  Eàri des  
 miufucs.  Lori des Muluques ;  Buis s.  toro.  IV ,  pug.  2 UJJ. 
 C ,   Pf-rr<M|i»eî  muge  dille?©  de  P©s|*?ce  précédente  en  ce  qu il  a  sur  
 >  b-  ÿMfâ#  *?.#«  .  1b:.  o   porte  sur  la  poitrine,  et  qu’au  
 Hou  l  .  v  bleuês,  il  les  a, jaunes,  Chez 
 • v -. p |   tandis  quelle  est  rouge  
 dans  Eautre espèce,  ila eh ço re   les  plumes  des  jambes  vertes,  au  lieu  
 de Tes  avoir  bleues>  e t  le  des****  de  la  tête  du  même  rouge  que  sou  
 plumage  général ?'  au  lieu  de  l’avvir  -B o ite r ;«ggume  le  Lori  à  collier.  
 Ses  pennes  alaires,  enfin,  sont  en  partie  •«^nges  en  dessous,  tandis  
 que  r.r  dernier  y  a  les  siennies  jaunes.  Ajoutons  que  le Lori-Noira  a  
 le  bec  .jaune,  les  pieds  noirâtres,  et que  son  plumage  ést  d’un rouge  
 gf  nnUaut  qiie  celui  du  Lori  a  coBier.  Mais  toutes  ces  didéreuces  
 >'  I  espèces  T^rernes ?  C'est  ce  dont1  il. est 
 ppjjÿffife  ces  tleux^oiseaux., 
     ■ 
 réfléchit  sur  les  grandes  variations  qu’éprouvent  les  Perroquets  dans  
 cloiiiesiii*»*«'  y   fiéwm^Rment  des  couleurs  qui  leur  sont  
 '  de  cent  individus  Lorjs-Noira 
 vus’,  il  n’én  est  .uietìn  qûi  nVôt  vécu  en  çage.  Aussi  crois>je  
 en  attendant  des  rénseignemens  positifs,  considérer  à  part  
 des  deux  oiseaux  en  question,  et  leur  conserver  les  iioms 
 l’état  de  
 que j ’ai 
 <-n  Ni'ira  se  trouve  dans  les  mêmes  
 encore  on  les  y  voit  ensemble  dans  
 r»i’a  assuré  du  moins.  Si  cela  étoit  
 oour  1«  croire  de  la  mêmuee  espect