portent les fruits dont ils se nourrissent-is’Oiss
ces oiseaux, y descendroient. Le fait, au'rëstc, que je rapporte ici, n’es
pas le seul que nous ayons à opposer à l’opinion contra de Biifto.1
au-delà des tropique*. C’est si nsi que dhéiiftte jour l’expéiiene«
détruire les erreur* du ^énie. Cherchons la vérité dans des Ciots cons
, sans préti itablir sur de sirn*
Yirudra peut-être un second Buïfon, qui, s’emparant de tous ces
et 1* » ennoblissant par la magie du style. • en fera sortir de» tnsîHA
lumière qui, en écljûraot les lior»î«sw. finiront peut-^^Jpgffti con
noissances <*n histoire naturelle. Vouloir établir ces coinuMS&aiic&S suj
des idées enfantées par l’orgueil ou l’ignorance, c’est vouloir, dans ur
désert aride, élever un monument durable sur un sable mouvant, qu<
le vent agite, soulève et finit par disperser au loin : l’édifice, laissé sam
fondement, croule alors sur lui-même, et n’offre plus aux yèux étonnés
qu’un amas informe de débris épars ou confusément entassés!