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LE VIRÉO N A FRON T JAUNE , Víreo flaoifrons. Pl. 54,
V. d’un v en jaune sur la léie el le manteau ; il’un ven cendré sur le croupion : front, tour do l’oeil
gorge poitrine et ventre jaunes; extrémité des couvertures des ailes et bas-ventre blancs. Mâle’
Olivâtre en dessus ; d un gris blanc eu dessous ; flancs jaunâtres. Femelle.
U F beau vert jaune, plus foncé sur le corps que par-tout ailleurs , couvre les parties
supérieures de cet oiseau, à l’exception du croupion qui est d’un vert cendré; un jaune
pur borde le front entoure l’oe il, règne sur la gorge, le devant du cou, la poitrine et
le haut du ventre, dont le bas est blanc; les pennes des ailes sont noirâtres, les primaires
grises en dehors et les secondaires blanches; les petites et les moyennes couvertures
sont bordées et terminées de cette dernière couleur; la queue est pareille aux
premieres pennes alaires, et ses deux latérales onl à l’extérieur et i la pointe un liseré
blanc ; le bec el les pieds sont noirs. Longueur totale, quatre pouces huit lignes.
^ La iemel e a les parties supérieures olivâtres; les Inférieures d’un gris blanc ; les flancs
jatmalres ; 1 extrémité des couvertures des ailes d’un blanc sale ; les pieds gris
Cette espèce habile les Etats-Unis pendant l’été et les quitte à l’automne. De lous les
oiseaux de 1 ynév,q„e .septemi-ionale, décrits par Buffon, le Tangara gris-olive, Tana-
gra grísea, Lifn . Gm. est celui qui a le plus d’analogie avec cc Viréon. Comme ce
langara se trouvea la Louisiane, je présume que c’est un individu delà même espèce,
et, daprès son plumage, je le crois une femelle. Le Tangara ollvct a aussi quelque!
rapports dans es couleurs avec l’oiseau de cet article; mais il eu diffère par son bec
autrement conformé, par sa taille plus longue et par la tel.ue vcrtc-olive de ses parties
inférieures. Pennant a réuni l’olivet et le gris-olive sous la même dénominaiion spécifique
; cependant les différences indiquées ci-dessus suffisent, je crois, pour en faire
deux especes séparées; en outre, le premier ne fréquente point l’Amérique scpleninonale
et ne se trouve q u i la Guiane, ofi l’autre ne se montre pas. ■
De ma collection.
I C T É m E S.
Caescrinee Boc ml».... g,™. » 1... d. p„a. ^
à.p.«.pn.. d .gJ. lo„s»e„i, a bord. »„ p.» „„ „A i. „ g J J
<I».lre do.gi. , troi. d.v.„i, „„ derrière . l'imeraédiairo .oudé avec l'esterno à ., base ot lolalement .dpard de l'interne. ’
L’I C T É R I E D U M I C O L E , lotería dumicola. Pl. 55.
I. d’un gris vert en dessus; deux traits blancs et une tache noire sur les cétés de la tête ; ailes et queue
brunes; gorge et po.tnue d’uu jauue orangé ; ventre blanc. Md le. Point de tache noire su s cêté!
i s n r t i i o m - r r r ^ ^ î- -
Le Merle vert de 1. Caroline , B„„. Mo.clcapo eiridi., Gv. Chattering Hyca.cher, Larn.
Buisson et Buffon présenlem cet oiseau comme un Merle; Linnæus est du même
sentiment (Tmd,« «cens, 10" édit.) ; Latham et Gmelin en font nn Gobe-moncl.e Ce
partage d opinions prouve qu.l est difficile de distinguer la place qui lui convient - 'tous
ces me ’«embfont ne lavoir décrit que d’après Catesby , qui l’a appelé YMowhreasted
Chat, Babdlard à poitrine ,aune , à cause de son chant et dc la iouleur de sa
poitrine. Nu autre Ornithologiste ne dit l’avoir vu en nature, en sorte que, selon tonte
apixarcnce iln a ete rangé méthodiquement que d’après la figure publiée par Catesby'
mais cette figure n’étant pas correcte , elle a dù faire naître des sentimens div erftZ!
( j) pft I " , n® 9.
T ome i.