
MYRIGA gale.
Mjrriea Galé.
Nom Allemand. Gemeiner Gagel.
—• Anglais. Sweet Gale. Dutch Myrtle.
I l fleurit en Avril et Mai. fj.
Dioecie, tetrandrie.
Ord. Nat. de miihé L. Amentacèes.
5d rupe uniloculaire et monosperme. F Bug maies. i»e ttruïitf resrt *uneh
a ^ n ^ ' d ^ . ^Écailles d u t l t ’ t ^ T ^ % f f t t f « * * * * * la
*“*5' «* et garnies de dents en scie très-écartées. On voit dune Z r W W H H 1 Æ
;zrr"3xr,tîi'r:fÆr,ïîê- "• - ■»' - " Les chatons, tant mâles que femelles, s’épanouissent avant les feuilles. On voit an mil; ri
la planche un rameau garni de feuilles entièrement développés.On a fivurédu Z Z Z Î Q ■ * M n H I | | BW s t : t :
*■— 7 4 gjg d « I M y g 3S S K m Æ t a . î : “ at
“ “ “ V " " rencontre quelquefois parmi les plantes ordinaires. On voit eZuUe des Z ’
du pied femelle vers e Ma des écailles du chaton femelle, oui sont de la m L t f T ‘j*
P ^ - S S i 61 {t dmt i- f ^ ^ t dU y ■ * z , « „ ï j j ^ è :
L ieu ejt je . Dans nn terrain humide, tourbeux et sablonneux.
z l r ^ L S f ’p S 1 1 1 1 1 « vers le W a a l, à
de Groningue; suivant meese beaucoup dans ]es"bois de' la F et N °ordlaren dans la prov.
op Zoom et près de Waverveen; s u i v i t ” ™ * DTI Z cT eL e Y T , ' N R f t A »
DEBKOLK beaucoup en Drenthe; suivant m sijboff à BaamhZZ T . i su ,l v a n t “ • scheoeder van
bcuses entre Amsterdam et Utrecht n r e Z d Z Z Z Z n n Z S g , 1 “>.tro “vée dans les terres tour-
toutes les landes tourbeuses de Gronïngue, Drenthe et de la iW ? ' tres-8énera'™ e n t répandue sur
Usage économique. Les feuilles sont amères et ad'trini7<xnts>c \ «.
Myrthe, pourquoi on l ’aura vraisemblablement nommée en HolIandS*“ M v rth T ^ du
meme, propriété l ’a aussi lait employer par les peunles du N tirT Ï» ' Mytthe du Braband. Cette
de 1 Ecosse, en guise de houblon dans fa fabrication ded la bière i | f i § 8 § ^ dans lea Parties e'Ieve'<*
tete, pourvu qu’on les ait fait cuire »«p» ri?r blere* ^ l e s ne causent point de mal de
de l ’eau les fru its, qui sont doués d’une odeur a r o m a t i s e T r è / f o i B b i ^ uand on fait cuire dans
la surface de l'eau , qu’on peut receuillir et qui ressemble! de la cire y..,1'" 6 5“ 1’51“ 06 S^sse vient à
lit yrIca cenfera de l’Amérique septentrionale dont on j 1?’ ■ donc des raPP«rts avec la
avec notre Myrica indigène, ce Su' a été fait ° , ’ "u d“ bou8,es‘ ° n a fai‘ d« essais aussi
ont été infructueux (Ferh. van de l/oll. M a a l.cZ d J 'lZ T t X I x 'T J T o ^ ' “ ” s « • « •» «
cette invitation. qpou'rra B M B M K S i S
l i iE i E S I B 11 H f f e ““cet,c p1^
Am. d e. VII. p. 2q3). Une décoction dcs f t u i l l e ? ^ “ «“ isf da thé ( u ï r f
paysans dans le Nord de l’Europe mettent so uven/de ce» bran’ï “ ' 6 a ’ u p0“ S et les Puuaiscs. Les
cruer une odeur agréable et en L r t e r le. S S * / « dn '••Ê S f cP l lui communi-
On peut en faire des fagots pour chauffer le four et des balais Les ebf™* ’ . i les ,Puces (ou™»),
les feuilles, qui sont refusées par tout autre bétail (Pan suecus). chevaux el lcs chevres mangent