n a O R D R E PREMIER.
1 7 m e . Espèce, p l a n d i è ^ S o y figure II.
MIJCOR, SPBJffiROC&HALE. MUCOR SPIIJEKOCEPIIALUS.
Mu COR cespitosus ; stipiiibü^vapillaceisßpwiplicibus j ' périr
carpiis solitariis, orèicularibuv : seminibus viridis.
Mocor vulgaris papitulo lucido, ,per maturitatem iugro„;;pedi^lo gnseo. Mich.
Muco* nmcedoJ^T fong'f&ê' ni pl i3aj|ig » R f n H j m n
, . S>ierb. fang. ^teplanet^
Caraet. Spêcif. Le MueoR SPHÄRopipHALii^st Î g | l u s f e ^ P : i
il se. trouve sur«toute^sortes J
.forme de .larges touffes, fig. ' A '
• ,<(*)' H:#piElnoUs .doirnê une figure de ce mucor , e 1 > , n >«t voir les péricarpes
de B B BMBH de (liamètijb ; mais .puisse micro. ^ L i j J j ^ g
H H M j j H pourquoici péricarpes.nesont-ils
8 M B I qu'ils "ne HB H D | B
H W H W M H paiiexexàpte^iiWstfait-il • H B ^ B
• M — gêné par ffl^^H ¡jsfin W j ^M • IHHH
que -de trois .ou.quaée por®5"longI tandis .
H B B B i H H H on ill bieii nn'iim
•juste dans un d e s s i n H B B HMS ^ ^ ^ ^ E I " • ' Q ^ l i ^ ' " C M B B I
M B — M ¡MWMMBBSiaill
B H — W M W ^ ^ ^ M l I '¿¡g» PTsaBB1 J1.'• i *
H B M | ^ B 5 9 ^l^Éientïdflf « ^ '
honte N I — H B W M S H J'ai observé avec les mlcrossèment
qu'il m'a été possible MBBI fi e M ïeaib vus à la lentille, 8aB de M micr&c&Te, ne I H S
lianes et demi H trois-lignes . d e i — R t' i S l OE H
¡ • M — Mg^^M H H M S dWe « « 13§||||1H|
lentille H I, les fait vôir à l^rde dés pll/'fortef^nlbmarson's - et B | B H g £ | g I
•privénû' H H H ^M^ffl ^SMHBnBuffl
dessin- laitranspare^ce'de.^ées.graines;^ il -m'accrnsera Q| B hH| h B .^»IbÉ '
et il sêrTd'autotBM à plaindre qu'il H H H à • ¡ ^ • M ^ B ?»
dévHel oppemens — i H dont il trouvera les H B I H cèSouIv raggei/fï^lSé sI,
. G ^ I ^ M I I - I . f jkf j l f f s ^. >i 3
grêles -> fort allongée ; il |âmais seul péricarpe au
sommet de chaque pédicule 5 ; ce péiicarpe i est sphérique , fort
jégùMer, blan'p d'abord et dia^iane ; peu à péûf|jn devient opaque
et d'uri brun ;ï|f|râtre: Sèss'Sjem.QÙeé^ jiigi is;, sont ;extrêmement
nombreuses , rond|® et transparentes ; lorsqùfeUes sont parvenues
à leur maturité, elles Sod&t'.î^rdJirei?elles ont une' odeur fortè et
un goût très-désagréable qu'elles -èoimnnini4ïieii.t. .à toutes lés substancesrsur
lesquelles; .èlles se trouvent à une certaine; dose 5 quelqu'ejffprt
que l'on fasse ?
on" 'voit point gpmmenrHpès, sont '
iBi^é^fc'périeafrpes {»lies pl'jppt pas' d'attaclie visible^ et l'on ne
voit point de filets qui'aient pu leur tenir lieu dè placenta.
OSéfSi l'on me?t d||n.s de l'eiau ,,sous la lentill® miposcopique , un
périçarpgïdu mucor spbssrocepbale , dont les graines soient mûr§| ,
il s'y crèvë?a%§ftun®là|ticité;digne de ||èmar(jT^jjSënveBppe^nfembraneusSqul.^
enferme.c^^plalnes ,Bsts-si min.GS qu'une fc^fyqû'elS
estïâ;réA®feon ne. sliré^Iiè:'sar le
pÉâicil^Jcomme..on le/voit^i'-figS^^JJ®.gr^ines^j 'dï'âJpjOrd;,4p|j§!jNf
dans l'çj^ra,^^faémiis%fentM©mme^ de^ gràin*dfgçb.apelet'.
J'aipit^ pageilàfj que j'eSp^Slfs prouver, jusqu'à l*ëvidënce qu'il
n'y;;>avio.it-,-past qui né fut lp produit de la
grain d'un individu d^l à mêmé>;espè'igé'; jeivài^ en effet en mettre
la prgtl^SsÎDUs It'.s^efix de mes lecteurs^ on Mur indiquant tous les
moyens de .répéter lés 'expériences: sur lesqm©||eslsBïte preuver;:ést
é|^^pr^;césjfxpériences méritent la; plus scrieuseiattgntion sur-tout
de la part délléux qui soutiennent que la putréfaction donne nais^-
sanc,età- des être^ organisés. \
J'ait d'abllfd voulu m'gssurer pourquoi | lorsqu'on met des confituïllij,
des herbes;cuites -, pu toute autre préparation, semblable dans
des PqIJII il'R^trqUî|fflde i^mois|s^u(Sda»-,l;^ .unsnBt.il neijslén
trouve pagdans les aut r e s ^u. e lqu| | expérienc.ei m'en ont bientôt
appris la raison. La graine des muq|^||^est-à-dire ^ c^tte poussière
verdàtre qui|s'écbappe'|§|^qu'on sécoue un tcorps'.sur lequel il est
venu d<!i];
a moisissure;-cette graine;, dis - je^ ést ambiante dans l'air;
H e^s(ifine qu'il est impossible d'empêcher qu'elle ne se dépose sur
une substance quelconque ? à moins quon ne lui ôtâfpute comtnuni