8o O R D R E P R E M I E R .
3. r a e E s p è c e , p l a n c h e 4 ° 4 *
T R U F F E 35 L A jfc'II E. ' TÙ BER s u M\ 3
TUBES, albo-siibriifesccns radice dcstitiituni, sçd basi radicali
instructum.
TUEEUA STEÏtB. fung.'.tah. 3a, fig» ,A A.
Caract. spécif. La TUBEFE BÎ^G|C:HIE n'a point de<ra CINES appartîntes
, mais. elle a une base radicalf^qui EN: fait Jc& fonctions ;
sa chair a une odeur un peu nauséabonde ; SPG napfljnt ELL^BT;
blanche en, dehors et en dedans' ; dans sa- vieillesse cllç;;<;.stven de-
• hors d'un roux saler, veinée; en dedans de lignes RRTUS' plus, ou,
moins;I foncées, Pour l'ordinaire fia surface quelquefois
cependant elle est inégales ou comme creusée de sillons sinueux
peu profonds , comme on le, voit par LOE fîg. (II 1) É. ,
OÉS. Li s sangliÉrs spièt^ifès-friands DFJMBTTE^ truffe; Sls'ïfeëïiërchent
principalement les plus grosses ; les petites, ils nffits mangent
pas', ou ils he mangent qu'à MOMGH
Rapproch. On ne pourrait confondre la TÉTJFFE HLAÎTCHÉ qu'avec^
la seconde variijjé d||la qui; est'd'un BLÀ^J
cendré; mais jamais la trufifé^omestibleVn'|L de BÂ^PÂ&AILM^ ét I
sa surface, relevé© de verrues ANGULEUSES;, i
celle de LA tkuf ik JU.Aivciei. Dans sa- jeuhplëflon la pieni'Îroit
aussi bien pour tout autré^champignQn naissant que pour ùnétruffe,
d'autant plus qu'ell^est ; quelquefois pSsqu'À fleur dé terre.; MAI|F
lorsqu'elle £ pris" tout son accroissement, sa dniir bigarrée de LIGNAI
blanches et FFIÈ lignes rousses , ne'laissc pa|I d' IN« t i tude| On m'a.
souvent apporté^ pour cette truffe , une tuberosité, qui se troupe au
pied des chênes , q u i n'est que le produit de L'EXT^ASATI«)® DESF
sucs, de l'arbre JIJÇAUSÉIL par la piquûre d'un insecte,. ;-Sifl'OJN eut ob-U
serv'é l'intérieur der ces tubercules-, ENY-AURAIT vu:utie INFINITÉ^DES.
petites loges remplies D?<éùfs. toutformes
et'L'on sè serôit aisément apperoii qu'ils n'ont aucun rapport
avec cette truffe.
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