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maximâ affînitateaccedunt
à quibus tamèn satis discrë- "
pant habita• , adolescentes
moîlitie carras é'éi per escpUcationejn
invòlucro , si adest,
plerumque fridblïli, etnunquam
versus apicem ruptibili
lycoperdi pericarpii more.
Ñeque edam cum muco-
Hi bus. , {gen I l i y), nec cum
T R I C B I I S , (genJV,) RKTTculariJe
confundendae ; mucorum
semina nunquam ínter
fibras ìntricatas , nunquam
retículo membranaceo
impediuntur.'XFormam primariam
seminum et reticoli
capillacei emissione Jr&úci^
lariae exuunt \ neç integrae
persistant ut trichiae ^ ;à: quibus
insuper pericarpiifigurâ
nunquam cylindraceâ distinguuntur.
P R EMI E R .
mais elles en diffèrent assez/par la
mòllèsse de "ïftur cliair, quand elles
sont jeunes ; elles"'onÈàussi un port
tout différent ài elleS!sont poUr-
; vues d'ùxie env elopp e®i embrane use,,
{^ettóen^|f>ppe , dans leur développement
parfait, est pïdinairement
trè|»p§.ble , ^et nf®f crève jamais
• àjspn s ^ pÇt . , jeommgv le péti2,
carpe des vesserloups.
On pûurroit aus^i confondre, lès
réticulaires.ayic lesM^àïCs,, (genro
IIÏ^) et avec les capilliîtes", ( genre
IV.5 ) mais les mucors n'ont jainais
leurs semen^l^ rp^nues, p » ; U,n'
seau fibreux ou membraneux, comme
les réticulaires, Pour ce qui èst des
capillines, leur péricarpe chevelu, et
constamment d'une forme cylintlrique|
Jpersis|p dans^són enger longtempfgaprès
la dispersion do leurs
semences, au contraire des réticulaires
, dont lé péricarpe n'e^t j sgi
mais cylindrique ,,.^e;t dont le ré|&au
cliev.èlu disparoît avec les,semences,
ce qui leur fa jt perdre promptement
leur premiere forme.
G E N E E 11.1 R I t,i WÊmB £®. E S. 85
" i R . É s p e c e , p l a i ï c h l f : fig-'
_v, _EÉ,TIGUL AIREM^a^W^E,.^ ,, RJETIC^^A^A ^CARNOSA ^
RE TI C U zARiApulvinâtà, gossypina \ infils càhiòsa, îocuîôsa ;
prima untate jiffjïïusculâ..
f||Var". i. Zìi- . i r ^ S y , superficie ex^dl%pJucéscente.
.rtaSèin migpeifiuces,gènte. .-
Car act. specif. La iî ktt.cxtt,a ì». r à a . ti/k-ttt. se distingue facilement
dès son adolescence par sa chair :cettàraetBfevîdte^ien.teen-cfere
Iflus ,-sjensible à,meSur^qipSlèl e&'jpxç*
venite tóìfflteiflB dei là disspninait|on deesa p ô i i ^ r e ^ n ' pou^oit là
coup»! 0ri®ncbest{3@ommèi u n ewwp E „ au - cpntraiijeidMlpEesqiHe
toutes lesthitresjespèécs de rétiéulaires
H o u c i S Sa surface, est ordinàirement çotonniéu^e^ surn-tout dans
sa jeijni^^M
: i; Van; On distingue .deux variétés de [cettëgfespèçe, l'une qui; est
jeune&fejj qui devientelnsuifteibrun'âtre,:
et dont on voit la figure pl.
jaune, ou d'une vcouleur>fsulfurine, d'un brùn noirâtre^ ensuite ;r
nous n'avons p a s . « | n é la figure dë^cettc de rni e i r è^ ^M, parce
qu'>ëife aùê "n^LiypA^epi^sentée- que par sa,
c^aeiir.
Oè â L a réticulair^charnue ¿ne; se troige jamais;ij,ue sur. terre;
comn%la plupart; des i ^ t ^ à ! 8 ® ^ ! ¿ "T1 ^ ^ 1 ^
s'attache point ? aux végétaux Bgur approp^jp sucs ; ; elle
croft avec l e n t e u r e t persisteront! ant plpsie.urs. mois. Sa forme
varie beaucoiip, mais pluâ'-communément elle est arrondie ou en
coussin.
y