54 HISTOIRE - 'iDELy emlBm^&fÊÊÊmM
par un fluide mucilagineux, qui , de même que celui qui se
dans les-globules d'une poussière fécondante , que c.eilui pri sort
des vésicules spéfllatiques de la p^-Luî^r® , ainsi,que
champignons dont nous , avons parlé,1 précédemment , ¿st ffiÉent
immédiat de la fécondation. L'orifice des nidulaires estfermé
par une menabrane fort mince -, mais qui ;ne ^se,d,échir^É||bendant
que difficilement. Ces graine® 5. dont_ ;a:Ugm§nte defrpur
en jour ; le vase ., d'un autre côté dont Jtôli bâMpi iendent à se
dilater, font effort contre-aette membrane^ i l^entuj a terme .«à.elle
- se .trouve trop foible tout-à?®oup ?ellgffi
sion dont les semences situées • ;aufwnd clu \as.e,, eoiume.ft>n le voit
pl. I I , fig. III, ,v., et insérées 4 ^s-;parois interne^,; déjeunent le
centre , et il est vraisemblable! que ,clef instant; est .celui où l& fluide
. spermatique,. qui entoure les . graines,,. pénètre{idaai|3l^ir inté|i(.;uij
par leurs petits cordons ombilicaux en mêmç^temp.s qufflgy injior
duit une portion.d'air atmosphériqù«^
Il est possible cependant que cette membrane, qui feriÉLol'prifioe
des î<r.n)i:LAT!ï«s , n'ait pas pour principal objet dp. déUïraiineç la
pénétration intime du fluidSsp-efrmatiqu«, Jdans lHnt|ri^urgd^fcur,s
graines... jîafécondation ,; comméîill>us ayoiïS'eu èfîf'a^ion
plusieurs fois, peut avoir lieu .san^îlmfoncouis dft l'impulsion
quoi qu'il en soit, cette membrane,est si.néc;isSaireq]®!^si:0:ii||^#se:
avant qu'il.en soit temps, les grainesngvprennent plu® d'accroissement
j et sans doute, que c'est par,ce que le flujdt^spiîrmatiquo
n'ayant pas pénétré dans leur intérieur, elles. FA§riéc(.)tH{(X!Si:
cueillez séparément des2ytuulaikiîs , dont v.ous aurez çréyéja ineîri-:u
brane aprèslunvintërvMlft.d'un mois¡¡p, environ *,eA.celles dontla,
membrane se.së^i^m^é/s. d.'eHeHmêmeilais§.e?'7lfs ^¿iÔ^l ie^à
l'air, mettez-les ensuite.dans, des vases séparésjdans lesquels il y
aura un peu d'eau.}' au bout de .deux.au .trois jour^MousjÊrj;ëz.:que
toutes4es graines de celles dont'vous n'aurez pa» déchiré la mem^
brane se,trouveront au fond du vase^leur pédicule étant tourné
vers le haut ; les autres au contraire seront restées'à la surface
de l'eau , et auront leur pédicule tourné versdefond du||as%Îiç
Quoique. 2ce.tte. preuve..ne soit pas reyêtue&u|si complètement
qu'on pourroit le desirer des caractères deSa xonyietion , on peut
ftlWMIiyVT U v'VB E- i , • 111 55
néanmoins, eii conclure avec qiielque fondement, ce me semble, que
lesvsemences qui.se précipitent au fond d u va;sfe>,-ont été fécondées ,
•'ètr surfkcé» d e ^ f a i ï ne le^sont pas j
ce qui"porte• e m e o i e c r o i i è § | | e s t que'Morsque' l'on
fait' cettef^expérience avec dMBmeneê|p prises dans individu
encore éloignéidu termçfde la :f4ff '®daÈionH elles rêsg|ént aussi à la
s u r f ^B de' l'oau p t a n f e i q u s ^ l y l i q uVn « 'M^ ^ àms un autre
individu lôrig4tèmps après la^Sondaftsion s'y pi|fî©ipitent :: cependant
il me Une remarque essentielle}
je s d ! s i *même qu'elle n'échappe Pa$ à- dé mes lecteurs qui
' e ^ ^ e n i É p s o p ^ ^ ^ ' l c u r s - t f â l i a u x ' à l'avancement delà Botanique
; Rlle l(||^iera ^çpnnoitie|®mbiën il est important de répéter
les observations sur des objets qui semblent lei|inoins exiger d'attentiom,
ët. d^&mbj lè: d'erreurs^;gr@ssifMs "dèsMîons^ tirées
.;
d'un fait' Salé Be umî ^ t source, soit' qu'un gl^jet se prë-^
sente.îpour la;,]5smière fois, soirt, qu'on -veuille: vériiier si ceiqu'on
eiiWÊapi u»rl «flralfo Jt-l ilg
J'ai ditS pag; i5sj en parlant du fluidè spermatique des globules
féc'ëndans llfes plantes 'staminifères, que des chaleurs fortes et de
lohguâiuré^&;agMentii^ fluide dans^ces -globules-,-et le rendent
ConséquemimÉnt htor-s d'état de remplir la fon|||on .à']laquell^il est
appelé. Dansdës b-uSs^e^Ib^s^. PëffétadeiçêiBltalp'U'rs est ençotfç plus,
së^ible j éllèsp'n desgièchëhtfëntiaemén^sl® fluM«ë spNëvrmatique? } ;les
m i s «jeunes individus^ qui devroiënt èn-#tre re®si,plisry qu^oiqu^ dans
IjMeiieUr état en apparenl ^ se'ïrouvientivide®1^ leurs graines sont
piîitp®-mi^^g, -rrid!élj, "tout annonce 'q|||'îéili|| sont stérilésj; ;ét j
quoiqi#ori n'âit pas" créi'é la membrane qiïi.les recouvre ,: elles së
tiennent'à la >surface de l'eau 5 tancraHute-ées mêmes<3S«^M|<iaES, si
elles se trouvent dans im terrâin||r'ais , Vel'les- restent remplies- de ce
fluide spermatique ^ jusqu'à- ce que h;u rs graines soient parvenues
àdeur complet accroissementl; ;ce qui se eonnoît sans peine à la- surface
unip deufces grainiïs, a leur épaisseur ,;;à leur l'orme hémisphérique
',: et au peu de temps qu'il leur faUt pourllf{précipiter au fond
du Vase dans lequel on lçs a mises en expérience. -
Quelque grande que- soitfla différence entre une.KiDûLAïKE et une
TRufill, une KiTifâtriLAiBiE;,' , etc. cependant je ne vois pas