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née;s ; s^;.gÉaines_,s,on%]tóndes, .extrêmement fines,. ,et insérées ,à >de
jJffitJjts filftisr'élastigUje^ ,ri(ííg.v3)ív? «fe. même .qu^jçiglles de, tou tps les
filandreuse, „¡de
.mêmed(îïiGor(;i;(juo ;cjoJle5s:4es: capilliïtiîs.,: des- si'ii/ffiiiocAitxtjiS, des
,>írvjy I .. •• -itftîf OO.TÍ'
1 Obs\ Les" graines de Îa-JéticulairP dës olës -,u po#Ms ^pár ÎêsVents
sùrles'épis êiicorç dafts|Surfourreau atfendeHtque ïes Mtes'áe ¿Ü
"épis" se développent; elless'irisinuenï ëMi^^^
gañes ai la iécoridàtiôn sont entoures1, pé'àèïrenilùsqu^àûx grairis
encoré' tencteí: et ''^ùcàl^gMè&sL^y''* enracinent / ^'e'h' approprient:
les &UGS nutritifs J" s'y .'développent: et dounèWM^Îlë^naifsinéfe
à' une pyQpg|ëuy ". quantité.
finëslqu/ëilës réssèmMe'iit dmèïîarbon^lduit en p ^ ë r f ; , déía'es t
venMqù'pn a^Ô^e'à^éei^rét^ml^e^Îlaoïù' d^Maroonj'
cette" réticulair^ sur le fourreau d'un épi; cet épi est entièrement
cbarbonné|| t^est(|'%9 Et au contraire j
ces grain• , m >nt trouvées en petite quantité,, que toutes les fleurs
il a qu'un-r eertain nomh^'fde
grains dSBt épi qui soient 'charbâfané^Kommé'-^ le vpt par la
^ ? qui réprésente unëpï%?avGÎrïë ^ ' ' dont - urié^par tie des grâins
sont sains. Ces grains, commS|jm?en suis bien-«»^àMctf", rd¿n¿
des individus aussi vigoureux que d'autres grains
pris sur d ë l lpB non cHarboimA'^çùTOï rp^m eQhcîure "aVecraSsez
queje xiharbpn. n'est, point une maladie
p a r t i ^ S ^ . . áu^i gramidl»,,: ¿o|ñmé leV pe¿sént MM7'!
c é îfest pas non'plus le produit
d'uiiirisectgy comme beaucoup d'auteurs nous l'assurent, ët eomma
n b u £ 'il iltí'est pas
vrai que les petites gráinS "dev'litt^
anguilles. Quand il s»tro'uye'dè's ^
de eefgtainësyeêiî aigmáleulesl<kr dont
7 é m « suis "bien assuré par nëmbrfe<d'ôbsërVationsJf&ités et
ave%'lë:-plijs ¿grand sein y'tarit- au microseope simpîe,. qu'au microscope
composé.