4 HI S T O I R . 1 j D ;EJ§ijÇiHl ArM-P I ( » Q « ^
KOCABPEOTRlFOR'fflEj-pl. II., fig.I.; H.r
> qui SiOllVpijjSÇJlt ,, .e,t cl'o.ù; il
sortit comme d'autant de capsules des .graines'iioires t;rèsjrondes,
opaques , et sans ; a u c un -mélange d | | fluide ; igj§| petites jGagiuJes',
car c'est ainsi qu'on doit les appeler ? nei) ;çhangent point par, la
desâcoa4qji bien au bout de dix ans.
que dès l e s ;pr£mi5éiis insfâns de leur maturité. Il n'en est pas de
même de l a ,poussi|ji|e d'une antbègeune fois de ^ é c h ^ e ,
en%:ëgt tcbargée -d^r id^s i ld^ : ellè^est difoirn^Ljén uix
m o t , au poinigd© n^j jgf t f g b l e r ;en rien|j|lce qu'Hl étoit dans son
état^dg. fraîcjieur. Je ne dois, pas. oublier^ de tgpi;éjvenir oSui .qui
voudroit observer les. graine§; de,,cbampignons de la maniè|fejqu&
jis^viensgd'indiqu'êri^qjufil ne faut pagi qu'il emploie des lentilles
obj;ecti.ves;du fo^e^fcï pîll&vcqurt ; s'il se^seft du^mM^^pope de,
DEIIBEBAB-Ç-S , ( préférabljSans; contredit à tous^ceux q S ^ ^ S ^ n t
conrius' jusqu'ici , la l ç n ^ ^ e l ^ e ^ l l f ^ . ^ f s t ^ ^ l ^ q^Wfn^| |nt
le' mieux-pour ;eette~qpération j^pa&lPf1 éloigneSent derl'o^|t,
l'évaporation de l'eau., lorsqu'elle s'éekattffe ,. n e l'obscrarçit point ,
coïgfcme^cela af,.
Ce, que. îje, de dire, .au sujet des mamcs~ d^cb^mpignc^S,
convient également^7fellesj-des ;EO,w||§é.ES
TiQfr^des'ALGtJjiiif n'estrqu'aprfeav«ai^yMiill^M.mill!e^périences.
y que .à ce sujet i
HEM^ T IG nè^s?y sont pai laigStrç^mper j ilsontf.
M M ; . ' G Ï | S « Ï B J etr
bien vu que cetjtjè p o û ^ î ^ ^ _ q u i ^ r t r o u ® e dans^jÉafcasiâNst.dans
lesagOBiGÈRES, estEeur véritable graine. ,
Les grainll des champignons, de .m^erne que cellg des autres
végétaux, diffèrent dans le nombre ,1a situation f|l'ins;ertion , dans'
leurs dimensions, leuisl^ormès, lé|g§< ^couleurs, leur- cpnsistanc®|
etc: ; celles djs.^uB.icTJLAiREs§et notammentdè.'^^àjMà^fflP.ÉAAIr^!
ÏHYLLEE , d e | l plupart des CLAyAiBiES, des HEfovELLES.,;.des^K£>iELLi-:s,
de||k iizizEOTiEiMAçoir, de plusieurs agar ics e,ti de.quelques BOiÉÈTs,j
celles de laRÎTiçfQiLAiRE DES BLEDS , sont si^fines, qu'il faut la^lentille
microscopique pour, les appercevoir fvec unie „certaine netteté.
Il n'en est pas de,même de la TB.tjffk js~crau; , dfc. la. iiÉTIÇIJLAIJU-:
DES j A B l i j . . de la plupart des .sïjHAERpcARPÉs,, de la yEs|l|Mgp3»
ORA3JGEE , de la VESSE-LOOT VEE.B.TJQUETJSE , de Celles de laTISTÇri.XÇÇ^
•; : I M » O. y p B i E . ' S
de .l-SGAK.TCjpOAiEs^iBLa, d^l'AGAM'Ç&AGilïi;,'etc. ; onlesivoît trèsbjjjn
à IfjSlentille n°. 31 il fi en a même qu^i lpn distingue facilement
¡¡6ns séjours d'une loupe. ; ®t quoiqu'au premier coup d'oeil les
grainej|«4e deux espèces s||re§s;èmb|gnt beaucoup ? avec u n peu d'usage
„et d'attention on nl lÉtefoncbafpas celles d'une espècevavec celles de
.l'autre., on v*rra.-qfue Igs une|& pl . I I , figs III sont constamment
VfJu^Sfen d e ^ p u f - » t que Msàauti' s , fig. x. ne le sont jamais. JÎ
Dans la plupart dfpchâmpignons les graines sont rondes , p l . II,
fig. I. A. J c'est ainsi que vous verrez celles de I'AGARIC COULEUVRE ,
, DE'.^'H5 DU BOLET
OBLI^S^I du , ©tC.
D a n 0 q u ^ ^ q B ^ ^ ^ T î r l ^ ^ Q ^ i o b l l I i g v l l ^ pl.'II ,:',fig. I . 'nve.1
^llgs^spnt «llesgjdu BOT»ETT TUBÉ ^ ^ / X , dé .plusieurs^ Snëces d'HEL—
V-LLLr.^ de plusSu^s.^eiIzés ^ilfcjSUr-tout dé» la pi'zîza:'ECHiYAOPHiLE ;
y ^ j l l i ^ o i i l J i J H p j r m e ovoïde II fig.il.r&j dans!
¡i-M^Î laVli. ' • » ' ' " y " ^ « s l ^ ^ s l ^ s ê p ^ l l f i ^ p ^ p i i û dans I'AGA—'
.aie T0'(3'CJ.LATRE , oJ,c-. Pour l'ordinaire; el lj'Y{S)Ji t l iss^^l^'^LAâ^É^a^'
dant ,quelquOE-uneswde v'plues , figHl T. Y J il yren ¡¡raussi
q u M n t ge-rruqu^uses :pu deifâ.jtBâTFïE.
^MI^'^^ff'iB»11
'' 1 H :> li'CESSE^afe; VEB;B;âSB^rSE.,
H P H ^ 'ÊGI I- , L'AGARIC:MICACÉ,
, H t q ^ ^ ^ e ^ aul ^ ^Àê ^ ^ ç s ^ t ^ ^ ent a j r è s qui
ont leurs -graMigSi p o r l ^ s n a r uni^t i t ¡piédicift^—pl. II , fig. I.
f^'ijp , piw.»<-pi'î To'iïs" lé«cbampigno.iis--<>Jit "buirs graines:|sessil(;s ;
,m a l É ^ yMn a qui sont inséEéS par petits pelotons sur des filamens
f a m e u x pl. H, , fig, I . r ; on * en .voit des^exemple^ danscplu^fèurs
Mgi^EROJÉABPES , dainsî; quSques RET^SLAIRES , quelques! VESSEd'autres
.sont insé^e^al^ètaatîv^ènt'i^-deJbngtoeéîfibres
très-déliées , iiMlaKiB c'Mi-s de la plupart des vÈssE^BOtrps dés
: b î | t ^ u l a i b e ^ , pl. I I , fig. I. ; d'autrGs sont entourées d'un rescau
fiIandi'cux, comme^celles des. xiu:i ri;s , pl. I I , /¡g. V ; d'autres
encore sont portées par divpotits filets {courts, ¡telles sont celles des
,AG>Bics^ des BOLE^ST,. pl. I I , fig. .VIII. IX ; quelquefois un1 filet
pprtBqu'une.seuleïgrjà^fp,; pl. I I ; £ g . IX. fcj-.quelquefois;àussi
cliaque. filet qn porte deux ou d avant agequi sont rapprociiées en
toui%„, pl. I I , fig. IX. | | On voit aussi dan^plusieuripREiiiELLES , Hi