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; Quoique ptersbnàe c-è -qufe je sache > n'ait eu counoissaiîce jusqu'ici
de la véritable causé d u charbon-, on à cependan^îrouV^ un
f
ihbyén d'en sprésèrVeï en gfande partie les moissons ' Ce 'moyen est
connu- pàr^tout-fS^c'ëst* quand il est
cautions nécessaires ; mais on pourrait, qe crois, rehdr®'Wpr@eMé
plus T simple ? „moin coûteux y plus la portée du l ^oi ^ eur , et on
en ghtiendrêtit- certainement le meme succès ^ ceséroît do passç-r le
graiia destiné ppur lesjsemaùlçs£dans une,si^iplç dissolution de terie
glaise. Toutes l e s fois.que , par un intermède .quelconque jM^ donnera
un lest au? petites graine_s<de„cètte réticulai^è ^ que deytenueè
portées par les vents, sur
trop pesantes. eU^sne pourront glus être;
les." épis aux approches^ de la floraison ; l abi é s ne sercaitjpoint^cliarrjjonnés
. pourvu toutefois que Jtous les cultivateurs d'uije même
contrée aient fait. subir à leurs semences la^ mème^ipréjaratijOn. •
8"? é i Espèce plancliè '3 2 6.
R É T Ï CUL A IRE bî.AÏÎCÎÏE. RETICULARIA AI.BJI.
RETICU LAKI A major 5 puh/inata ; thecis coralloïdibus, ÇORIAR
cpis , sprrùrù£eris,. t
Catact. Spécif/ La ¿SIIBÇTTLAIÀE-. BLANCHE est là qùi .ait
"ses semences renfermées dans des espèces d'étuis coriabe^, e,t taillés
en branches, dé CORAIL > iig. c , E , elle est. presque déj & parvenue a
son développement complet , qu'Sl&^est encdré^aus^i |goïi|-quê afe
l'écume ; elle se desséche très-promptemerit, , Otpour péu qu'on ^y
touché , elle'se réduit en poudré , et 11 IJO resfe^dë toute: la plânte
que ces" étuis noirâtres qui portent les semqnCes.^
Obs. Cette réticulairè se trouve quelquefois sur des..végétaux
morts ; mais plus ordinairement ¡c'est sur des plantes,vivantes qu'on
la rencontre.) c'est m.èruo le,' plus souvent sur des ramaux d'arbustes
; elle s'y. attache fortement, et les dessèche en grande, partie
si elle ne les fait pas périr.
Rapp.