,o4 Oi l D R E P R E M I E R.
le rencontre. Il s'implante jusque dans les .couches moyennes de.
l'écorce, écarte les lèvres de l'épiderme qui les recouvre, comme on
le voit fig. P. Q , y forme de petits boutons blancs d'abord et cotonneux
, ces boutons deviennent ensuite d'un vert très-fonçc\^î
Obs. Le mucor perce-bois vu ÎLU microscope, est de toutes les
espècés, qui ont leurs graines nues^t isolées,.cèlle dont lès graines
sont les plus petites; ces graines , fig. a,'sbntpessaël et ins'éfeS aux
extrémités et tout le long des dernières ramifications de gesjpédicules
qui sont très-grèles , très-rapprochéset enlacés les uns dans les. autres
, comme on le voit fig. s.
jme. Espèce, planche 5 o4> figurer VIL?
MUCOR A « H A P P E S . MUCOID. CE Mo^s'irsm
Mirco b. cespitosus ; stipitibus ramosis >• setninibus subovatoelangatis
, ex -albo cinereis T spicato-racemosis.,.
Mueoic'botrytis. lîoi/r. iimg. fase. Ill, %.3, tab. j3ì?"
Carnei. Spécif. Le; MTFÔE®. A GRAPPRS; se .distingue facilement à
ses pédicules rarneux, fig. ,u. x , (it k ses. ¡scmençgs-.ùn peu ov.aleallongées,
d'abord blanches, puis cendrées'-pôï^èM^içiW^pi^
un pédicule fort court, et disposées en épis , ou
le long des.subdivisions.de ,ses pédicules , fig^ Commun
, il formelle larges touffes, fig. .T., .sur tout&j^||s dè^Snbigf
tances fermentestibles mais particulièrement sur des feuilles humides
et sur d'autres; débris de végétaux.
Rapproch. On ne pourroit confondre ce mucor qu'avec hraircÓR
DENDROIDE,.fig. IX. Les semences de l'un sont presqu'e^tieremënt
semblables à celles de l'autre ; mais' dans le mucor dendroide elles
sont portées sur des pédicules beaucoup plus allongés què dans le
mucor à grappes , au lieu d'être disposées étt grappes-ou-en épis,,
elles sont très - éparses et isolées,
8e . Espèce
G E H a n III." M û-CORS. io5
8rae. .Espèce pl,£y^i|Jp4 i VIII.
yMUCORl oMBgiS-É. M,E0ptOR m BE vlatus.
Mucor cespitosus , c£ albo nigricans ; semihibus rotundis ,
nibiLilissimis : stipitibus ad apiç_èm umbellatïm divisis.
Caractilspëqif'. LÈ[ISPJ-É^R W E ' L E ^ se trpuyo a.ssez cpmmulnément
sur4es|£ruits qui se gât^Mp^mt les confiture^pSur îés feuil|ls mortefi
il vienMàr tpuJïesH fig. i ; c'est le seul quittât ses graines portées
sur des pédicules dont les diyjlsns sjoient disposé'sSomme les
branchg d'un parasol, fig. a. Ses I^menceSîispnt rondes, très-petites,
sëssilesèt insérées sans ordxe le long dc^ehaque rayon de l'ombelle,
Rapprjpph. Au premieH»up-d'oeil on pourroigprendre ce mucor
pour l l ^ H a 'isiPEfegEEE, fig . X S | i s : dans le muiôrSspergille les
graine|||jont portées par de^Ké^©ilS;'simpIes elles sonfàgglulignés
droites %t idivergentes
qullfèrment unSàigrettJ, et non pas "une ombell«?®
9m\ planche 5c>4, figure IX.
MUÉOÎR;DetWpE. MoeoR nENr,Ji&MES.
Mticor çe^iMi^^i:èt^itibus^:T'amosissimis7 arboreis : seminibus.
suboyaio-élorpg-atis} eoc albo subJuce¢ibuS, spàrsis.
' Camçt. Si^^R'Lê mucorvdeh'DjRoïde pieiift^Suç diverses substances
fermentestibles: ; mais plus, communément sur des champignons
pourris ; \il;ïy forme. dfilargeS touffes^, fig. 3. ;Il.so distingue
surtout par sa forme , qui imite Mlle d'un petit arbre, fig. 4 ; ses
pédiçiàles se divisent et se subdivisent en mille.»«:! mille petits rameaux
, le long desquels sont inl|r4|§, l l a n s aucun ordre ,
des pédi^w|s allongés , qu|^po;rtent chacun une^petite graine ovaleoblongue
, blanche d'abord, brunâtre ensuite , fig. 5.
B d