iìil,l i¡»1 liËllil
i l « l l illlwllll
;
S i i l i I I
II "IIIi lMi H
iliSli
I1n91 i1l9i2
36o OR D R E QUATRIEME.:
de la î^MÉ. ESPÈCE, le EÔÎLET«BLÎQUE ; 'ce dernier n'est jamais parfaitement
sessile, il est même fort rare qu'il n'ait pas un pédicule trë§- •
;
distinct ;é de plus, quand il est sec , il a son écorce fort tendr||Épè's®n
y applique le coin de l'ongle , ou tout autre corps dur , l'impression
y reste comme sur un corps dont on auroit grattle vernis: D'ailleurs
. sa .chair n'èst jamais filandreuse. Voyez ce que nous avi&ns
dit à-ce sujet pag. 33-.
Usage. Ce bolet est connu sous les noms d'.CGiuuc de chêwss,
d'AG^E-ïc FEMEX.EE j-îdè BOLI.A ; mais lis savans ^comme"lêivulgaire ,
ont confondu sous ces dénominations le BOLET ONGULÉ , le IBIÔLET
."»AM_T;I)0:UVIER , le: BOLET' ST/BÉHE'U.X. et plusieurs* autres qui
ont avec celle-ci quelqu'analogie; iet de cette confusion de noms
il résulte quë beaucoup de personnel ignorent 'qu% C^sttslllui dont
no us parlons, qui, lorsqu'il ës't jèune , lorsqu'il a encoréKSa. chair
filandreuse et mollasse, nous fournit Vagaric avec leqUèon^arrêté
lesqhémorragies J: • et Vamadou dont on fait un -si fréquenl IISI<*'.
JNbus croyons donc qu'on.ne pousiliaura pÉs mauvl§l:gré d'sktfjl;
dans quelques détails sur la manière dé préparer ce champignon , '
soit qu'on en veuille faire do l'agaric clrirurgical, 3sôit qu'on desire
en faire de. l'amadou.
Pour faire de l'agaric , on choisit parmi 1®É plus jeunes individus
•ceux qui présentent le plus de. été lîéed^^^iif
dant qu'ils sont encore frais , ou > après lés-âtbif fe.it trémpei- quelque
temps dans de l'eau simple , on sépare touté la partie tubu-jg
lée ; on en coupe ensuite la chair par tranches ; on la bâ/t- avec un
maillet ; on la dé tire dé droite: et de gauche 5 on la mouilfefde temps
eh temps j on la feit ensuite sécher, puis^ji la bat ènffre-j mais
à s'ei;; .on la frotte entre les mains| jusqu'à' ce quelle? soit bien
douce y bien moelleuse -, plusi eïle:
. è S t - i ù o l l e i j ï Miaî^'i^l^fboucÉ.%.'
l'orifice des vaisseaux, et empêche le sang d en sortir $ ce n®jj|;
B ^ Ì S S i 8 ¿ " ¿ i v i t l u s ^ l e i çette|espèc4;qi i i, avànt q\ie^'âtre"parvehusAl'â|êf|fuii
« " ^ j ^ j M a n t depuis îpramt t ' ^ : mais iLfaut qu'il; y.^éii-ait d&ÌpSaj,
c o u p ptns*grands enctire car jeÎfcouserve ui:e pièce d'amadou fort ¿paisse qui a.,vâè aune
é t demie dë- îong, sur 'une-largeur de deux.tiers olì enyi'ron.
pomt ;
./G E j a « £ wXlOff A * « , . e 4 £ 36 r ,
pomt, -emmmmw ^ n ^ M disentI q u ^ a g i s s e ¿olnàmeatypique
$ Êâ M q^ f e , . f e i t P o t e e n bmakmi - i
• HHH^^fl W^M mmmmm
mm immimmmmmmi m
M I H ^ H H H H • • • • H Par^a^ohepom^ nL^ a v o n è ^ i t pluS
haut, ¡g H i
•m mM fait Hd ^ fHc mBmBÊ—BÊMÊISMÊÊIÊMÊIM • IW mMBBSmm IB %m-n^wi M&n Mtre'Hle, MMM • • HMMM^ M
m p ^ s u i ^ a n t , pour
M M MM| ™ ™ M H M H H H M I H H H |
planch^pla^chSS
B O L E T A M I D O U T IE K. B O L E T U S i G N i ^t m u s .
I w mm
I ^ m m i
' B o l p t i S igna'aïuii. Boìtl ^ f ^ ^ l » ^ ; « , ^ ! ^
frrdQti i&é^ LeÎB| i™^iEKes t ¿^iiisesfeile^ et
Y 7 y y