O R D J L I
diu/itur i miicorum ret'wulo
cLestitiita. Mu.corcs persaepà
simtfiigacissimi^ tactus eûamque
sujjlatus*- impatientes ,
eoriitit 'pëHcarpicc'pfus surit
tenuitatis quaeplerumquè nudo
oculo -vioc assequipoteris /
sphasroçarpi •ve.ro dili persistant,
aliqiiando etiam subcoriacei
} rhinimorum pericarjpia
Jacilè oculo nudo percipiuriù.
ir s practereà mucores
nunquarti basi membranaced
communi a£fîguntur qualiter
sphaerocàrpi,
Facilius MUCO RU M fiet
studium si in quatuor DIVISIONES
partiantur.
In DIVISIONE prima incitici
dentar MUCORES seminibus
midis et disjunctis.
In DIVISIONE secundé MUf,
CORES seminibus nudis in ramillis
divergentihus concatenatis.
In DivjsiQWE:tertiá$íuco-
RES seminibus in pericarpio
vesiculoso nidulantïbus.
P R E M I E R .
nent poitit sensiblement de liqueur,
et sont même charnus ; lès graines
des spha;rocarpes sont toujours retenues!;
par un réseau filandreux ,
tandis qu'on né 'voit jamais de réseau
d'aucune espèce dans les péricarpes
des ¡ mucors : les mûcors sont
presque tous extrêmement fugaces ,
disparussent pour la plupart au plus
léger souffle; leurs-péricarpes sont
en- général si petits qu'on- a - de la
peine à les distinguer à l'oeil nu ; les
splueraoarpes, Un contraire- , persistent.
long-temps ; plusieurs même
sont d'une consistance un peu coriace
, et les plus petits d'entr'eux
se distinguent très-facilement sans
le eW.ours d'un loupe ; ils. ont en
outre presque tous pour base commune
une membrane coriace que
les mucors n'ont jamais. >
Pour rendre plus facile l'étude dés
MTJC0E.6 , nous ën ferons trois DIVISION
V .
La pr^^pié renfermera, ceux dont
Içs .semences sont nues et,isolées.
La deuxième comprendrai ceux
dont lés semences- nues au sommet
des pédicules sont arrangées les unes
à|la suite des autres sur des lignes
diyergentes comme des grains de
chapelet.
Dans la troisième seront compris
ceux dont les semences sont renfermées
dans un péricarpe vésiculèux.
G E N R E III. MTJCOUS. 99
P R Ë M I È R E DI V I S I O N.; ; ;
Mifb'ojis , dont 'les semences sont nues et isolées,
E s p è e © j i p l a i i o h e r 5 o 4 - fig-
MUCOR e>ilîv osTr.kmr.. MUCOR czrR Tsosrx'n MUS.
MUcÂit cespit&sus -, stipifibus erectist; seminibus numerosissimis
, subrotundis$0è •étlèo aureis.-
Camct. ¿piciT- LeSiuçojv CTOÎTSOSPKII'ME ne vient que sur d'autres
champignons, et notamment sur BOLET^ j^UJFF^f ig^A ; ses Semences,
estrâmein^t nombreu^s et très-visi^lJi à l'oeil nu ,~sont rande
®:, diaphanes, WamcLcsii'âlw-d, puis d'un jaune doré ; tantôt
eUe$ sont «ne à tu*®*»* autant de péfiiçu^<slinples, fig. B ,
ou par autant de diyisipns du même pédicylç , tantôt elles se
trouventépa r^es" t'i graJïcÎ nombre le long des divisions des pédicules,
fig. D. On prendrait ces graines pour la poussière fécondante
d'un ISlel l^feloTent .|é même les^corps qui en approchent.
Obs. A la manière dont le mucor chrysospermè recouvre toute
Îa surface des champignons qu'il attaque, s'introduit jusqu'au fond
de leurs tube^ et èn |||aètré.- fl^Sp^tâii? 5 | | la facilité qu'on a
de le dessécher , de le ©onserver ; à la couleur de ses graines , au
mode de leur dissémination, on le prendrait plutôt pour une espèce
dùigenro des H/STICPT,AIBES que pour un muè^G, nous l'avons même
repré^înté comme tel , pl. 476^ figWV 5'mais l'ayant obçerVé aVec
plus d'attention depuis que nous avons publié cette figure , ayant
eu d'ailleurs l'occasion d'en ¡pjvre: les dévèloppemens, et étant bien
certains aujourd'hui qu'il a ïnpîns de rapport avec les réticulaires
qu'avec.les mucors , nous" avoWs cru dévoir ën former la première'
des espèces de ce ' g é i ï f e a v e r t i s s a n t toutefois nos lecteurs qu'on